Lecture intégrale, mot pour mot, de la chronique de mamoune acharki : à Gaza, l’eau devient la dernière frontière de la survie. Entre infrastructures détruites, salinisation de l’aquifère, usines de dessalement à l’arrêt et accès humanitaire incertain, chaque litre compte. La chronique traverse les rouages de la pénurie: réseau de distribution, énergie, logistique des convois, risques épidémiques, jusqu’aux solutions locales — collecte d’eau de pluie, filtres artisanaux, microdessalement — insuffisantes face à l’effondrement structurel. Appel clair au droit humanitaire: protéger les infrastructures hydriques, garantir l’accès, sécuriser l’assainissement et stabiliser l’énergie. Une lecture sobre et rythmée, fidèle au texte original, pour éclairer une urgence vitale trop souvent reléguée en marge de l’actualité.