2025 n’a pas été une année parfaite. Mais elle a été une année pleine. Pleine de signaux positifs, de confirmations, de promesses tenues.
Il y a des années qui rassurent, et d’autres qui rassemblent. 2025 aura fait les deux. Une année où le Maroc n’a pas seulement résisté aux vents contraires, mais où il a aussi engrangé des victoires symboliques, culturelles, diplomatiques celles qui comptent autant que les chiffres.
D’abord, il y a eu le football. Et ce n’est pas un détail. Les victoires sportives de 2025 n’ont pas été de simples parenthèses émotionnelles. Elles ont été des moments de respiration collective, des rappels puissants de ce que ce pays sait produire quand il aligne talent, discipline et vision. Le football marocain a confirmé qu’il ne vivait plus sur un exploit passé, mais sur une dynamique installée. Gagner devient une habitude, pas une surprise. Et dans un pays jeune, cela compte plus qu’on ne le dit.
2025 aura aussi été une année charnière pour la jeunesse, en particulier pour cette génération Z souvent caricaturée, parfois redoutée, rarement écoutée. Le mouvement, multiple et hétérogène, aurait pu se radicaliser, se fracturer ou s’éteindre dans la frustration. Il s’est au contraire transformé. Moins dans la rue, plus dans les projets. Moins dans la rupture, davantage dans l’invention. Start-up, création de contenu, engagement local, nouvelles formes d’expression citoyenne : le dialogue n’a pas été parfait, mais il n’a pas rompu. Et c’est, en soi, une victoire démocratique silencieuse.
Sur le terrain diplomatique, 2025 restera comme une année de consolidation. La résolution onusienne sur le Sahara est venue confirmer une tendance lourde : le dossier sort progressivement de l’ambiguïté internationale pour entrer dans une phase de reconnaissance pragmatique. Rien n’est “réglé”, mais beaucoup est désormais clarifié. Le Maroc n’est plus sur la défensive. Il avance, argumente, convainc. La diplomatie marocaine n’a pas cherché le bruit, elle a privilégié l’alignement gagnant. Et cela porte ses fruits.
Économiquement et socialement, l’année aura été exigeante, parfois rude. Mais là aussi, des lignes ont bougé. Le discours public s’est fait plus mature, plus centré sur la productivité, la valeur, l’efficacité. Les réformes ne sont pas toutes populaires, mais elles sont de moins en moins cosmétiques. L’État a appris à cibler. Le privé, à prendre plus de responsabilités. Les citoyens, à exiger davantage de cohérence.
Et puis il y a ce qui ne se mesure pas toujours : l’état d’esprit. En 2025, le Maroc n’a pas sombré dans le cynisme. Il doute, il critique, il débat — mais il ne renonce pas. Il continue de croire que l’effort peut payer, que la stabilité est une richesse, que l’avenir n’est pas écrit ailleurs.
À l’aube de 2026, l’espoir n’est pas naïf. Il est lucide. Il sait que les défis restent immenses : emploi, eau, éducation, inégalités, gouvernance. Mais il sait aussi que quelque chose s’est consolidé cette année : la confiance dans la capacité collective à avancer.
2025 n’a pas été une année parfaite. Mais elle a été une année pleine. Pleine de signaux positifs, de confirmations, de promesses tenues. Une année où le Maroc a montré qu’il pouvait gagner — sur les terrains, dans les esprits et sur la scène internationale.
Et c’est avec cette énergie-là qu’il entre en 2026 : debout, confiant, et résolument tourné vers l’avenir.
D’abord, il y a eu le football. Et ce n’est pas un détail. Les victoires sportives de 2025 n’ont pas été de simples parenthèses émotionnelles. Elles ont été des moments de respiration collective, des rappels puissants de ce que ce pays sait produire quand il aligne talent, discipline et vision. Le football marocain a confirmé qu’il ne vivait plus sur un exploit passé, mais sur une dynamique installée. Gagner devient une habitude, pas une surprise. Et dans un pays jeune, cela compte plus qu’on ne le dit.
2025 aura aussi été une année charnière pour la jeunesse, en particulier pour cette génération Z souvent caricaturée, parfois redoutée, rarement écoutée. Le mouvement, multiple et hétérogène, aurait pu se radicaliser, se fracturer ou s’éteindre dans la frustration. Il s’est au contraire transformé. Moins dans la rue, plus dans les projets. Moins dans la rupture, davantage dans l’invention. Start-up, création de contenu, engagement local, nouvelles formes d’expression citoyenne : le dialogue n’a pas été parfait, mais il n’a pas rompu. Et c’est, en soi, une victoire démocratique silencieuse.
Sur le terrain diplomatique, 2025 restera comme une année de consolidation. La résolution onusienne sur le Sahara est venue confirmer une tendance lourde : le dossier sort progressivement de l’ambiguïté internationale pour entrer dans une phase de reconnaissance pragmatique. Rien n’est “réglé”, mais beaucoup est désormais clarifié. Le Maroc n’est plus sur la défensive. Il avance, argumente, convainc. La diplomatie marocaine n’a pas cherché le bruit, elle a privilégié l’alignement gagnant. Et cela porte ses fruits.
Économiquement et socialement, l’année aura été exigeante, parfois rude. Mais là aussi, des lignes ont bougé. Le discours public s’est fait plus mature, plus centré sur la productivité, la valeur, l’efficacité. Les réformes ne sont pas toutes populaires, mais elles sont de moins en moins cosmétiques. L’État a appris à cibler. Le privé, à prendre plus de responsabilités. Les citoyens, à exiger davantage de cohérence.
Et puis il y a ce qui ne se mesure pas toujours : l’état d’esprit. En 2025, le Maroc n’a pas sombré dans le cynisme. Il doute, il critique, il débat — mais il ne renonce pas. Il continue de croire que l’effort peut payer, que la stabilité est une richesse, que l’avenir n’est pas écrit ailleurs.
À l’aube de 2026, l’espoir n’est pas naïf. Il est lucide. Il sait que les défis restent immenses : emploi, eau, éducation, inégalités, gouvernance. Mais il sait aussi que quelque chose s’est consolidé cette année : la confiance dans la capacité collective à avancer.
2025 n’a pas été une année parfaite. Mais elle a été une année pleine. Pleine de signaux positifs, de confirmations, de promesses tenues. Une année où le Maroc a montré qu’il pouvait gagner — sur les terrains, dans les esprits et sur la scène internationale.
Et c’est avec cette énergie-là qu’il entre en 2026 : debout, confiant, et résolument tourné vers l’avenir.