Des perspectives pour l'avenir économique du Maroc :
Cette édition a exploré les leviers financiers et stratégiques permettant d’orienter l’épargne nationale vers les projets structurants du Maroc. En réunissant divers acteurs publics et privés, ainsi que des experts du marché, l’ASFIM a offert une plateforme unique pour échanger des idées et réfléchir sur les perspectives du secteur de la gestion d’actifs.
Dans son discours d’ouverture, Mostafa Hassani, président de l’ASFIM, a souligné l’importance du thème choisi : « Ce thème incarne à la fois l’ambition du Maroc et la responsabilité de notre industrie. Le financement du développement futur du Royaume dépendra de notre capacité à mobiliser durablement l’épargne nationale et à l’orienter vers les secteurs porteurs de transformation économique. »
Au cours des deux dernières années, l’industrie de la gestion d’actifs au Maroc a connu une expansion exceptionnelle avec une augmentation de 230 milliards de dirhams d’encours. Les investisseurs institutionnels ont accru leurs placements de 76 milliards de dirhams, tandis que les entreprises et les ménages marocains ont également renforcé leur épargne investie.
Khalid Safir a ajouté : « L’épargne est avant tout une ressource de souveraineté. Elle garantit la continuité de l’investissement, réduit notre dépendance aux capitaux extérieurs et offre au Maroc la capacité de financer son propre développement. L’épargne d’aujourd’hui sera les investissements de demain et les emplois d’après-demain. »
La conférence a comporté deux panels principaux : le premier consacré à la loi 03-25, qui marque l’émergence d’une nouvelle génération d’OPCVM adaptés au nouveau cycle économique, et le second dédié à la mobilisation de l’épargne nationale pour le financement des projets futurs. Ces discussions ont permis d’aborder des propositions concrètes pour faire de l’épargne marocaine un véritable moteur de croissance durable.
Mostafa Hassani a conclu en affirmant que la décennie à venir serait celle des grandes réalisations, notamment avec la Coupe du Monde 2030, la transition énergétique, la décarbonation industrielle, et le développement des infrastructures. « Ces projets structurants nécessitent des ressources stables et durables. Notre industrie a naturellement vocation à accompagner cet élan national en canalisant davantage d’épargne vers le financement des grands chantiers du Royaume », a-t-il déclaré.
À propos de l’ASFIM :
L’ASFIM, fondée en 1995, fédère tous les acteurs de la gestion des organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) au Maroc. L’association regroupe 21 sociétés de gestion marocaines et vise à faire de la gestion d’actifs au Maroc une référence à l’échelle continentale, positionnant le Royaume comme un hub régional pour capter l’épargne et attirer des investisseurs souhaitant intégrer le marché africain.
Dans son discours d’ouverture, Mostafa Hassani, président de l’ASFIM, a souligné l’importance du thème choisi : « Ce thème incarne à la fois l’ambition du Maroc et la responsabilité de notre industrie. Le financement du développement futur du Royaume dépendra de notre capacité à mobiliser durablement l’épargne nationale et à l’orienter vers les secteurs porteurs de transformation économique. »
Au cours des deux dernières années, l’industrie de la gestion d’actifs au Maroc a connu une expansion exceptionnelle avec une augmentation de 230 milliards de dirhams d’encours. Les investisseurs institutionnels ont accru leurs placements de 76 milliards de dirhams, tandis que les entreprises et les ménages marocains ont également renforcé leur épargne investie.
Khalid Safir a ajouté : « L’épargne est avant tout une ressource de souveraineté. Elle garantit la continuité de l’investissement, réduit notre dépendance aux capitaux extérieurs et offre au Maroc la capacité de financer son propre développement. L’épargne d’aujourd’hui sera les investissements de demain et les emplois d’après-demain. »
La conférence a comporté deux panels principaux : le premier consacré à la loi 03-25, qui marque l’émergence d’une nouvelle génération d’OPCVM adaptés au nouveau cycle économique, et le second dédié à la mobilisation de l’épargne nationale pour le financement des projets futurs. Ces discussions ont permis d’aborder des propositions concrètes pour faire de l’épargne marocaine un véritable moteur de croissance durable.
Mostafa Hassani a conclu en affirmant que la décennie à venir serait celle des grandes réalisations, notamment avec la Coupe du Monde 2030, la transition énergétique, la décarbonation industrielle, et le développement des infrastructures. « Ces projets structurants nécessitent des ressources stables et durables. Notre industrie a naturellement vocation à accompagner cet élan national en canalisant davantage d’épargne vers le financement des grands chantiers du Royaume », a-t-il déclaré.
À propos de l’ASFIM :
L’ASFIM, fondée en 1995, fédère tous les acteurs de la gestion des organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) au Maroc. L’association regroupe 21 sociétés de gestion marocaines et vise à faire de la gestion d’actifs au Maroc une référence à l’échelle continentale, positionnant le Royaume comme un hub régional pour capter l’épargne et attirer des investisseurs souhaitant intégrer le marché africain.