Une réflexion autour de l'IA et de la durabilité
Lors de la première journée, les participants ont engagé une réflexion collective sur trois moteurs essentiels pour bâtir un Maroc responsable : l’intelligence artificielle, les talents et la durabilité. Cette édition, placée sous le Haut Patronage Royal, s'inscrit dans un contexte de transformation numérique et d'essor de l'IA, qui sont perçus comme des leviers indispensables pour un Maroc résilient.
Faïçal Mekouar, président de l’OEC, a souligné l'importance de cette rencontre : « Nous entrons dans une nouvelle ère où l’intelligence artificielle, la durabilité et les talents redéfinissent nos métiers et notre économie. Notre message est simple : la technologie doit servir l’humain, jamais l’inverse. »
Mekouar a également évoqué le potentiel de l'IA pour automatiser près de 40 % des tâches administratives, tout en atteignant 79 % des objectifs organisationnels. Amal Al Fallah, ministre chargée de la Transition numérique, a ajouté que le Maroc multiplie les initiatives pour intégrer l'IA dans divers secteurs, notamment par la création de hubs digitaux et de programmes de formation.
Les ateliers du congrès ont mis en avant comment l'IA peut optimiser des domaines tels que l’audit, la fiscalité et le conseil, tout en assurant la confidentialité et la maîtrise des données. Les intervenants ont insisté sur le fait que, bien que l'IA joue un rôle prépondérant, l'expert-comptable reste indispensable pour apporter un jugement humain et éthique.
Les travaux du second jour se concentreront sur la préparation des talents de demain et l'intégration de la durabilité comme outil de compétitivité. Les discussions porteront sur les stratégies que les cabinets peuvent adopter pour attirer et former des professionnels capables d'évoluer dans un environnement numérique et durable.
Le 10ᵉ Congrès de l'OEC illustre la volonté du Maroc de se positionner comme un acteur majeur dans le domaine de l'intelligence artificielle et de la durabilité, tout en renforçant le rôle des experts-comptables dans cette transformation. Les échanges promettent d'ouvrir de nouvelles perspectives pour la profession et d'encourager l'innovation au service d'une économie responsable.
Faïçal Mekouar, président de l’OEC, a souligné l'importance de cette rencontre : « Nous entrons dans une nouvelle ère où l’intelligence artificielle, la durabilité et les talents redéfinissent nos métiers et notre économie. Notre message est simple : la technologie doit servir l’humain, jamais l’inverse. »
Mekouar a également évoqué le potentiel de l'IA pour automatiser près de 40 % des tâches administratives, tout en atteignant 79 % des objectifs organisationnels. Amal Al Fallah, ministre chargée de la Transition numérique, a ajouté que le Maroc multiplie les initiatives pour intégrer l'IA dans divers secteurs, notamment par la création de hubs digitaux et de programmes de formation.
Les ateliers du congrès ont mis en avant comment l'IA peut optimiser des domaines tels que l’audit, la fiscalité et le conseil, tout en assurant la confidentialité et la maîtrise des données. Les intervenants ont insisté sur le fait que, bien que l'IA joue un rôle prépondérant, l'expert-comptable reste indispensable pour apporter un jugement humain et éthique.
Les travaux du second jour se concentreront sur la préparation des talents de demain et l'intégration de la durabilité comme outil de compétitivité. Les discussions porteront sur les stratégies que les cabinets peuvent adopter pour attirer et former des professionnels capables d'évoluer dans un environnement numérique et durable.
Le 10ᵉ Congrès de l'OEC illustre la volonté du Maroc de se positionner comme un acteur majeur dans le domaine de l'intelligence artificielle et de la durabilité, tout en renforçant le rôle des experts-comptables dans cette transformation. Les échanges promettent d'ouvrir de nouvelles perspectives pour la profession et d'encourager l'innovation au service d'une économie responsable.