Ce 23 juillet 2025 marque le vingt-sixième anniversaire de la disparition du Roi Hassan II, une figure majeure de l’histoire contemporaine du Maroc. Plus qu’un hommage formel, cette date ravive chez les Marocains une profonde nostalgie mêlée de respect pour un souverain dont l’empreinte reste indélébile dans la construction du Maroc moderne.
Intronisé en 1961, Hassan II demeure dans les mémoires comme l’unificateur du Royaume, l’homme d’État qui a consolidé l’indépendance et forgé l’identité d’un pays en quête de stabilité. Son nom reste étroitement lié à la Marche Verte – moment fondateur et épopée pacifique – dont on célèbre cette année le cinquantième anniversaire, et qui permit au Maroc de recouvrer le Sahara, alors sous domination espagnole.
Mais l’héritage de Hassan II dépasse le cadre territorial. Sous son règne, le Maroc a connu une ouverture politique progressive, amorcée dès les années 1990. Dans un contexte encore empreint de tensions, le monarque engagea une série de réformes constitutionnelles et institutionnelles destinées à élargir la participation politique. L’organisation d’élections pluralistes en 1997, et l’arrivée de l’opposition aux commandes du gouvernement, marquèrent un tournant historique dans la vie politique du pays. Ce mouvement d’ouverture, initié par Hassan II, sera poursuivi et amplifié par son fils et successeur, Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Hassan II était aussi un souverain de la parole. Volontiers accessible aux journalistes, notamment ceux de la presse française, il multipliait les entretiens, cultivant une relation directe et assumée avec l’opinion publique. Par sa voix, il expliquait sa vision, justifiait ses choix, et partageait ses projets pour le Maroc, renforçant ainsi son image de chef d’État érudit, éloquent et proche du peuple.
Vingt-six ans après sa disparition, la figure de Hassan II continue d’habiter la mémoire nationale. Son règne, traversé par des défis majeurs, fut aussi celui de la consolidation des institutions, de la diplomatie stratégique et du progrès graduel. Aujourd’hui encore, son œuvre inspire les nouvelles générations, et son héritage demeure une boussole pour un pays engagé dans son développement, fidèle à l’idéal d’unité, de souveraineté et de modernité.
Intronisé en 1961, Hassan II demeure dans les mémoires comme l’unificateur du Royaume, l’homme d’État qui a consolidé l’indépendance et forgé l’identité d’un pays en quête de stabilité. Son nom reste étroitement lié à la Marche Verte – moment fondateur et épopée pacifique – dont on célèbre cette année le cinquantième anniversaire, et qui permit au Maroc de recouvrer le Sahara, alors sous domination espagnole.
Mais l’héritage de Hassan II dépasse le cadre territorial. Sous son règne, le Maroc a connu une ouverture politique progressive, amorcée dès les années 1990. Dans un contexte encore empreint de tensions, le monarque engagea une série de réformes constitutionnelles et institutionnelles destinées à élargir la participation politique. L’organisation d’élections pluralistes en 1997, et l’arrivée de l’opposition aux commandes du gouvernement, marquèrent un tournant historique dans la vie politique du pays. Ce mouvement d’ouverture, initié par Hassan II, sera poursuivi et amplifié par son fils et successeur, Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
Hassan II était aussi un souverain de la parole. Volontiers accessible aux journalistes, notamment ceux de la presse française, il multipliait les entretiens, cultivant une relation directe et assumée avec l’opinion publique. Par sa voix, il expliquait sa vision, justifiait ses choix, et partageait ses projets pour le Maroc, renforçant ainsi son image de chef d’État érudit, éloquent et proche du peuple.
Vingt-six ans après sa disparition, la figure de Hassan II continue d’habiter la mémoire nationale. Son règne, traversé par des défis majeurs, fut aussi celui de la consolidation des institutions, de la diplomatie stratégique et du progrès graduel. Aujourd’hui encore, son œuvre inspire les nouvelles générations, et son héritage demeure une boussole pour un pays engagé dans son développement, fidèle à l’idéal d’unité, de souveraineté et de modernité.