Ce jeudi 14 août, le Maroc célèbre le 46ᵉ anniversaire de la récupération de la province d’Oued Eddahab, une étape clé dans le processus de parachèvement de son intégrité territoriale. Cet événement historique reste gravé dans la mémoire nationale comme un symbole d’unité et de mobilisation autour de la première cause du Royaume.
Le 14 août 1979, les oulémas, notables et chefs de tribus d’Oued Eddahab se rendaient au Palais royal de Rabat pour présenter à Feu SM Hassan II leur serment d’allégeance. Par ce geste solennel, ils réaffirmaient leur attachement indéfectible au Trône Alaouite et à la souveraineté marocaine, balayant les manœuvres des adversaires. Le regretté Souverain accueillit cette allégeance comme un « dépôt sacré » et promit défense, sécurité et développement à ses « chers fils » du Sud, scellant ainsi la réunification des terres marocaines de Tanger à Lagouira.
Ce jour-là, Feu SM Hassan II remit également des armes aux représentants tribaux, un acte hautement symbolique signifiant la détermination à défendre l’intégrité territoriale et à garantir la sécurité dans les provinces nouvellement récupérées. Quelques mois plus tard, lors d’une visite historique à Dakhla, le Souverain réaffirma la symbiose parfaite entre le Trône et les habitants des provinces du Sud, relation qui a su déjouer toutes les manœuvres hostiles.
Depuis cette date, l’État a multiplié les efforts pour intégrer la région dans la dynamique nationale de développement. Ce retour historique s’inscrit dans un long combat entamé des décennies auparavant, marqué par la récupération de Tarfaya en 1958, de Sidi Ifni en 1969, puis du Sahara marocain lors de l’épopée de la Marche Verte en 1975.
Sous le règne de SM le Roi Mohammed VI, les provinces du Sud ont connu un essor économique et social sans précédent. Le Souverain a lancé de grands chantiers structurants visant à transformer la région en un pôle économique majeur. À Oued Eddahab, les projets d’envergure se multiplient : le port de Dakhla Atlantique, la voie express Tiznit-Dakhla, la West Africa Free Zone, le programme d’irrigation de 5 000 hectares par dessalement d’eau de mer, ainsi que des investissements dans les énergies renouvelables.
La province bénéficie également d’avantages fiscaux, d’une position géostratégique et de ressources humaines qualifiées, soutenues par un réseau d’instituts de formation. Trois zones industrielles portuaire, Assalam et Al Massira accueillent des activités dans l’industrie alimentaire, la construction navale et les matériaux de construction. La pêche maritime, l’industrie, l’agriculture, le tourisme et les énergies vertes figurent parmi les secteurs phares qui attirent capitaux nationaux et étrangers.
Le nouveau modèle de développement des provinces du Sud, lancé en 2015 à Laâyoune à l’occasion du 40ᵉ anniversaire de la Marche Verte, continue de consolider la région sur les plans économique, social, culturel et environnemental. Quarante-cinq ans après sa libération, Oued Eddahab s’affirme désormais comme l’un des moteurs du développement et de la prospérité du Maroc.
Le 14 août 1979, les oulémas, notables et chefs de tribus d’Oued Eddahab se rendaient au Palais royal de Rabat pour présenter à Feu SM Hassan II leur serment d’allégeance. Par ce geste solennel, ils réaffirmaient leur attachement indéfectible au Trône Alaouite et à la souveraineté marocaine, balayant les manœuvres des adversaires. Le regretté Souverain accueillit cette allégeance comme un « dépôt sacré » et promit défense, sécurité et développement à ses « chers fils » du Sud, scellant ainsi la réunification des terres marocaines de Tanger à Lagouira.
Ce jour-là, Feu SM Hassan II remit également des armes aux représentants tribaux, un acte hautement symbolique signifiant la détermination à défendre l’intégrité territoriale et à garantir la sécurité dans les provinces nouvellement récupérées. Quelques mois plus tard, lors d’une visite historique à Dakhla, le Souverain réaffirma la symbiose parfaite entre le Trône et les habitants des provinces du Sud, relation qui a su déjouer toutes les manœuvres hostiles.
Depuis cette date, l’État a multiplié les efforts pour intégrer la région dans la dynamique nationale de développement. Ce retour historique s’inscrit dans un long combat entamé des décennies auparavant, marqué par la récupération de Tarfaya en 1958, de Sidi Ifni en 1969, puis du Sahara marocain lors de l’épopée de la Marche Verte en 1975.
Sous le règne de SM le Roi Mohammed VI, les provinces du Sud ont connu un essor économique et social sans précédent. Le Souverain a lancé de grands chantiers structurants visant à transformer la région en un pôle économique majeur. À Oued Eddahab, les projets d’envergure se multiplient : le port de Dakhla Atlantique, la voie express Tiznit-Dakhla, la West Africa Free Zone, le programme d’irrigation de 5 000 hectares par dessalement d’eau de mer, ainsi que des investissements dans les énergies renouvelables.
La province bénéficie également d’avantages fiscaux, d’une position géostratégique et de ressources humaines qualifiées, soutenues par un réseau d’instituts de formation. Trois zones industrielles portuaire, Assalam et Al Massira accueillent des activités dans l’industrie alimentaire, la construction navale et les matériaux de construction. La pêche maritime, l’industrie, l’agriculture, le tourisme et les énergies vertes figurent parmi les secteurs phares qui attirent capitaux nationaux et étrangers.
Le nouveau modèle de développement des provinces du Sud, lancé en 2015 à Laâyoune à l’occasion du 40ᵉ anniversaire de la Marche Verte, continue de consolider la région sur les plans économique, social, culturel et environnemental. Quarante-cinq ans après sa libération, Oued Eddahab s’affirme désormais comme l’un des moteurs du développement et de la prospérité du Maroc.