Par Saïd Temsamani
Dans un contexte marqué par la fin d’une législature charnière et l’attente d’un nouveau cycle politique, le secrétaire général du Parti de l’Istiqlal, Nizar Baraka, a livré une lecture lucide du moment que traverse le Maroc.
En évoquant la notion de « Maroc émergent », mise en avant par le Roi Mohammed VI lors de l’ouverture du Parlement, Baraka ne s’est pas contenté d’un simple commentaire politique : il en a fait un cadre de responsabilité nationale, un projet collectif qui engage à la fois l’État, les institutions et les partis.
« Le Maroc émergent n’est pas seulement économique, il est aussi social et territorial », a-t-il souligné, insistant sur la nécessité d’un développement équilibré, fondé sur la justice sociale, la réduction des inégalités régionales et le partage équitable des opportunités. Pour lui, la grandeur d’un pays ne se mesure pas uniquement à son rythme de croissance, mais à sa capacité à garantir la dignité et la confiance de tous ses citoyens.
Dans un contexte international et diplomatique sensible à la veille d’une décision du Conseil de sécurité sur la question du Sahara marocain , Baraka a également salué les avancées de la diplomatie marocaine, officielle et parallèle, tout en soulignant que « ces succès doivent se traduire par une consolidation interne, par plus de cohésion et de confiance dans nos institutions ».
Mais c’est surtout sur le terrain intérieur que son message a pris une dimension critique. Il a appelé à changer de mentalité gouvernementale, à « passer d’une culture de moyens à une culture de résultats », rejoignant ainsi les orientations royales sur la nécessité d’une action publique plus efficace, plus mesurable, et surtout plus proche du citoyen.
Autre axe fort : le lien avec la jeunesse. Nizar Baraka a regretté que « la voix du parti n’atteigne pas toujours les jeunes », plaidant pour une communication renouvelée, transparente et participative. Il a également réaffirmé l’urgence de réactiver le Conseil consultatif de la jeunesse et de l’action associative, afin d’offrir un cadre institutionnel à l’engagement des nouvelles générations.
Enfin, dans un ton à la fois apaisé et ferme, le leader istiqlalien a appelé à dépasser la logique étroite de majorité et d’opposition, estimant que « le temps politique des réformes dépasse largement le temps gouvernemental ». Une manière de rappeler que le Maroc d’aujourd’hui a besoin de continuité stratégique et non de ruptures électoralistes.
Ainsi, le message de Nizar Baraka dépasse le cadre partisan : c’est une invitation à repenser le rapport à la politique, à redonner au travail public son sens et sa crédibilité, et à inscrire l’action nationale dans la perspective d’un Maroc réellement ascendant, fidèle à la vision royale et porté par l’intelligence collective du pays.
En évoquant la notion de « Maroc émergent », mise en avant par le Roi Mohammed VI lors de l’ouverture du Parlement, Baraka ne s’est pas contenté d’un simple commentaire politique : il en a fait un cadre de responsabilité nationale, un projet collectif qui engage à la fois l’État, les institutions et les partis.
« Le Maroc émergent n’est pas seulement économique, il est aussi social et territorial », a-t-il souligné, insistant sur la nécessité d’un développement équilibré, fondé sur la justice sociale, la réduction des inégalités régionales et le partage équitable des opportunités. Pour lui, la grandeur d’un pays ne se mesure pas uniquement à son rythme de croissance, mais à sa capacité à garantir la dignité et la confiance de tous ses citoyens.
Dans un contexte international et diplomatique sensible à la veille d’une décision du Conseil de sécurité sur la question du Sahara marocain , Baraka a également salué les avancées de la diplomatie marocaine, officielle et parallèle, tout en soulignant que « ces succès doivent se traduire par une consolidation interne, par plus de cohésion et de confiance dans nos institutions ».
Mais c’est surtout sur le terrain intérieur que son message a pris une dimension critique. Il a appelé à changer de mentalité gouvernementale, à « passer d’une culture de moyens à une culture de résultats », rejoignant ainsi les orientations royales sur la nécessité d’une action publique plus efficace, plus mesurable, et surtout plus proche du citoyen.
Autre axe fort : le lien avec la jeunesse. Nizar Baraka a regretté que « la voix du parti n’atteigne pas toujours les jeunes », plaidant pour une communication renouvelée, transparente et participative. Il a également réaffirmé l’urgence de réactiver le Conseil consultatif de la jeunesse et de l’action associative, afin d’offrir un cadre institutionnel à l’engagement des nouvelles générations.
Enfin, dans un ton à la fois apaisé et ferme, le leader istiqlalien a appelé à dépasser la logique étroite de majorité et d’opposition, estimant que « le temps politique des réformes dépasse largement le temps gouvernemental ». Une manière de rappeler que le Maroc d’aujourd’hui a besoin de continuité stratégique et non de ruptures électoralistes.
Ainsi, le message de Nizar Baraka dépasse le cadre partisan : c’est une invitation à repenser le rapport à la politique, à redonner au travail public son sens et sa crédibilité, et à inscrire l’action nationale dans la perspective d’un Maroc réellement ascendant, fidèle à la vision royale et porté par l’intelligence collective du pays.