Billets à 700 DH pour 100 DH, marché noir et frustration autour du match Maroc–Niger inaugural
Ouverte ce mardi matin exclusivement via la plateforme Webook, la billetterie a été prise d’assaut dès les premières minutes. Le canal unique de distribution, choisi par le comité d’organisation, a rapidement été saturé sous l’afflux simultané de milliers d’internautes tentant d’obtenir une place pour ce match inaugural. Très vite, plusieurs catégories affichaient complet, alimentant un sentiment d’injustice parmi ceux restés sans billet.
Dans la foulée, des offres de revente ont commencé à proliférer en ligne, avec des montants multipliés par six ou sept par rapport au prix facial. Ce décalage brutal entre la tarification officielle et les prix pratiqués sur le marché noir a déplacé le débat : au lieu de célébrer l’ouverture d’une infrastructure présentée comme un symbole de modernisation, les discussions se polarisent désormais sur l’accès inégal et la dérive spéculative.
Ce qui devait être un moment fédérateur pour le public marocain se transforme ainsi en cas d’école sur les limites d’un système de vente centralisé sans garde-fous apparents contre l’accaparement et la revente abusive. À quelques jours du coup d’envoi, l’enthousiasme cède le pas à une forme d’amertume chez des supporters qui espéraient vivre sur place l’inauguration du nouveau Stade Moulay Abdellah.
Dans la foulée, des offres de revente ont commencé à proliférer en ligne, avec des montants multipliés par six ou sept par rapport au prix facial. Ce décalage brutal entre la tarification officielle et les prix pratiqués sur le marché noir a déplacé le débat : au lieu de célébrer l’ouverture d’une infrastructure présentée comme un symbole de modernisation, les discussions se polarisent désormais sur l’accès inégal et la dérive spéculative.
Ce qui devait être un moment fédérateur pour le public marocain se transforme ainsi en cas d’école sur les limites d’un système de vente centralisé sans garde-fous apparents contre l’accaparement et la revente abusive. À quelques jours du coup d’envoi, l’enthousiasme cède le pas à une forme d’amertume chez des supporters qui espéraient vivre sur place l’inauguration du nouveau Stade Moulay Abdellah.