Classement a16z : ChatGPT domine encore, mais Gemini et Grok accélèrent
Si l’écart reste net sur le web (le trafic de Gemini ne représente encore qu’environ 12% de celui de ChatGPT), la dynamique mobile est bien plus resserrée : l’assistant de Google revendique déjà près de la moitié des utilisateurs actifs mensuels de son rival, porté par la distribution native sur Android, où se concentre la très grande majorité de son audience. La bataille se déplace ainsi de la prouesse technologique vers l’ancrage quotidien et la rétention.
D’autres concurrents progressent. Grok, l’assistant de xAI, grimpe à la 4e place sur le web et bondit à la 23e sur mobile après le lancement de Grok 4. À l’inverse, Meta AI peine à décoller : 46e sur le web et toujours absent du top 50 mobile. En parallèle, les acteurs chinois gagnent une visibilité internationale accrue : Quark (Alibaba), Doubao (ByteDance) et Kimi (Moonshot AI) se hissent tous dans le top 20 web, reflet d’un marché domestique fermé où les alternatives locales prospèrent faute d’accès à certains services occidentaux.
Le classement enregistre moins de nouveaux entrants (11 sur le web, 14 sur mobile), signe d’une phase de consolidation. Des startups comme Lovable ou Replit incarnent toutefois la vague émergente du “vibe coding” et de la génération accélérée d’applications. Derrière les courbes de trafic se dessine désormais une question clé : qui transformera l’expérimentation en habitude structurante de l’expérience numérique quotidienne ? Google, grâce à Android, estime avoir trouvé son levier.
D’autres concurrents progressent. Grok, l’assistant de xAI, grimpe à la 4e place sur le web et bondit à la 23e sur mobile après le lancement de Grok 4. À l’inverse, Meta AI peine à décoller : 46e sur le web et toujours absent du top 50 mobile. En parallèle, les acteurs chinois gagnent une visibilité internationale accrue : Quark (Alibaba), Doubao (ByteDance) et Kimi (Moonshot AI) se hissent tous dans le top 20 web, reflet d’un marché domestique fermé où les alternatives locales prospèrent faute d’accès à certains services occidentaux.
Le classement enregistre moins de nouveaux entrants (11 sur le web, 14 sur mobile), signe d’une phase de consolidation. Des startups comme Lovable ou Replit incarnent toutefois la vague émergente du “vibe coding” et de la génération accélérée d’applications. Derrière les courbes de trafic se dessine désormais une question clé : qui transformera l’expérimentation en habitude structurante de l’expérience numérique quotidienne ? Google, grâce à Android, estime avoir trouvé son levier.


