Une fable amazighe sur la liberté et la résistance culturelle
Le jeune réalisateur marocain Ali Benjelloun signe un premier long-métrage marquant avec Goundafa, sélectionné dans la section « Horizons of Arab Cinema » du Festival international du film du Caire 2025.
À travers une fable amazighe poétique, le film explore la résistance culturelle face à l’extrémisme religieux dans un village de l’Atlas, où la musique et les traditions deviennent des actes de rébellion.
Porté par une distribution marocaine et une mise en scène lumineuse, Goundafa rend hommage à la liberté d’expression et à la femme amazighe, gardienne de la mémoire collective. Une œuvre qui confirme l’émergence d’une nouvelle génération de cinéastes marocains engagés et visionnaires.
À travers une fable amazighe poétique, le film explore la résistance culturelle face à l’extrémisme religieux dans un village de l’Atlas, où la musique et les traditions deviennent des actes de rébellion.
Porté par une distribution marocaine et une mise en scène lumineuse, Goundafa rend hommage à la liberté d’expression et à la femme amazighe, gardienne de la mémoire collective. Une œuvre qui confirme l’émergence d’une nouvelle génération de cinéastes marocains engagés et visionnaires.