Quand l’UNESCO met les biens culturels volés sous les projecteurs
L’UNESCO a décidé de faire bouger les lignes du patrimoine mondial… mais cette fois, sans sortir de chez soi.
Fin septembre 2025, l’organisation a lancé son musée virtuel des biens culturels volés, une plateforme qui pourrait bien transformer la manière dont on perçoit les trésors disparus, du Louvre au plus petit village marocain.
C’est comme si El Majdoub rencontrait Netflix, version éducation et alertes anti-pillage.
Présentée lors de la Conférence Mondiale sur les politiques culturelles à Barcelone, l’initiative vise à montrer que la lutte contre le trafic illicite peut rimer avec innovation et accessibilité numérique.
Fin septembre 2025, l’organisation a lancé son musée virtuel des biens culturels volés, une plateforme qui pourrait bien transformer la manière dont on perçoit les trésors disparus, du Louvre au plus petit village marocain.
C’est comme si El Majdoub rencontrait Netflix, version éducation et alertes anti-pillage.
Présentée lors de la Conférence Mondiale sur les politiques culturelles à Barcelone, l’initiative vise à montrer que la lutte contre le trafic illicite peut rimer avec innovation et accessibilité numérique.
Une initiative qui mixe tech et culture
Le concept est simple mais puissant : grâce aux technologies numériques de pointe, l’UNESCO met en lumière des œuvres volées à travers le monde, tout en sensibilisant le public au danger que représente le trafic illicite pour le patrimoine collectif.
La plateforme, conçue avec l’architecte Francis Kéré et en partenariat avec Interpol, permet de naviguer dans un musée virtuel où chaque objet raconte une histoire de disparition et d’espoir.
Le financement par l’Arabie Saoudite renforce la dimension internationale de ce projet, qui s’inscrit dans une stratégie globale coordonnée de sensibilisation.
C’est un peu comme si ton smartphone devenait une passerelle vers des trésors cachés que personne n’ose encore toucher.
La plateforme, conçue avec l’architecte Francis Kéré et en partenariat avec Interpol, permet de naviguer dans un musée virtuel où chaque objet raconte une histoire de disparition et d’espoir.
Le financement par l’Arabie Saoudite renforce la dimension internationale de ce projet, qui s’inscrit dans une stratégie globale coordonnée de sensibilisation.
C’est un peu comme si ton smartphone devenait une passerelle vers des trésors cachés que personne n’ose encore toucher.
Repenser notre rapport à la culture
Alors, faut-il y jeter un œil ? Absolument. Ce musée virtuel n’est pas qu’une vitrine : c’est un appel à protéger le patrimoine commun, à comprendre les histoires derrière chaque objet volé et à repenser notre rapport à la culture.
Une visite qui se fait en pyjama, mais qui laisse son empreinte dans la tête. Et qui sait, la prochaine fois que tu croiseras un artefact marocain dans une expo internationale, tu te souviendras de ce musée virtuel où chaque trésor a retrouvé sa voix.
Une visite qui se fait en pyjama, mais qui laisse son empreinte dans la tête. Et qui sait, la prochaine fois que tu croiseras un artefact marocain dans une expo internationale, tu te souviendras de ce musée virtuel où chaque trésor a retrouvé sa voix.