Pesticides, perturbateurs endocriniens, additifs… Ces substances invisibles n’affectent pas tout le monde de la même manière. Chez les femmes, la masse grasse stocke plus facilement les polluants, augmentant leur vulnérabilité.

Certaines professions très féminisées, comme la coiffure, le nettoyage ou la caisse en supermarché, amplifient cette exposition quotidienne. Même les produits ménagers utilisés à la maison en rajoutent une couche.

Conséquence : un risque accru de cancers, d’endométriose ou de troubles hormonaux. Les chercheurs rappellent que la vraie réponse ne viendra pas seulement des gestes individuels, mais d’une action collective pour réduire ces toxiques dans l’environnement.