Une réapparition sous tension
Depuis le 13 février, TikTok a retrouvé sa place sur les App Stores américains, après une période d’indisponibilité due à l’entrée en vigueur d’une loi adoptée en 2024.
Cette législation impose à ByteDance de céder sa filiale américaine sous peine d’interdiction totale aux États-Unis.
Avec près de 170 millions d’utilisateurs américains, la plateforme est dans le collimateur des autorités pour des raisons de sécurité nationale.
Washington craint notamment que les données des utilisateurs ne soient accessibles par Pékin, un soupçon qui alimente depuis plusieurs années les tensions entre la Chine et les États-Unis.
Cette législation impose à ByteDance de céder sa filiale américaine sous peine d’interdiction totale aux États-Unis.
Avec près de 170 millions d’utilisateurs américains, la plateforme est dans le collimateur des autorités pour des raisons de sécurité nationale.
Washington craint notamment que les données des utilisateurs ne soient accessibles par Pékin, un soupçon qui alimente depuis plusieurs années les tensions entre la Chine et les États-Unis.
Un avenir toujours incertain
L’administration Biden a promulgué la loi en janvier 2025, contraignant ByteDance à vendre TikTok.
Mais à la veille de son investiture, Donald Trump a suspendu son application pour 75 jours, le temps de négocier un éventuel compromis.
L’ancien président a notamment suggéré que les États-Unis prennent une participation de 50 % dans l’application, une proposition qui reste en suspens.
Pendant cette période de flou, TikTok avait temporairement disparu des boutiques d’applications.
Bien que la plateforme ait été rétablie dès le 21 janvier, Apple et Google tardaient à la rendre à nouveau accessible en raison des lourdes sanctions prévues par la loi : jusqu’à 5 000 dollars d’amende par utilisateur pour les fournisseurs d’applications et d’accès à Internet.
Mais à la veille de son investiture, Donald Trump a suspendu son application pour 75 jours, le temps de négocier un éventuel compromis.
L’ancien président a notamment suggéré que les États-Unis prennent une participation de 50 % dans l’application, une proposition qui reste en suspens.
Pendant cette période de flou, TikTok avait temporairement disparu des boutiques d’applications.
Bien que la plateforme ait été rétablie dès le 21 janvier, Apple et Google tardaient à la rendre à nouveau accessible en raison des lourdes sanctions prévues par la loi : jusqu’à 5 000 dollars d’amende par utilisateur pour les fournisseurs d’applications et d’accès à Internet.
Une pression qui reste forte
Si le retour de TikTok sur les App Stores marque une accalmie, la menace d’une interdiction définitive plane toujours.
Donald Trump a fixé un ultimatum à ByteDance jusqu’au début du mois d’avril pour céder ses activités américaines.
L’issue de ce bras de fer reste incertaine : ByteDance acceptera-t-il de vendre ? Les autorités américaines maintiendront-elles la pression ?
En attendant, TikTok poursuit ses activités aux États-Unis, mais son avenir semble plus que jamais suspendu à des décisions politiques et économiques majeures.
Donald Trump a fixé un ultimatum à ByteDance jusqu’au début du mois d’avril pour céder ses activités américaines.
L’issue de ce bras de fer reste incertaine : ByteDance acceptera-t-il de vendre ? Les autorités américaines maintiendront-elles la pression ?
En attendant, TikTok poursuit ses activités aux États-Unis, mais son avenir semble plus que jamais suspendu à des décisions politiques et économiques majeures.