Le Festival de Carthage, l’un des événements musicaux les plus prestigieux du monde arabe, revient cette année avec une programmation qui fait rêver : Nassif Zeytoun, Nancy Ajram, Najwa Karam, et la star internationale Saint Levant sont au rendez-vous. Mais une absence flagrante saute aux yeux : celle des artistes marocains, pourtant habitués à briller sur cette scène mythique.
Alors que des noms comme Saad Lamjarred et Hatim Ammor ont marqué les éditions précédentes, cette année, c’est le vide total côté marocain. Et ça pique encore plus quand on sait que les artistes tunisiens, eux, sont régulièrement invités aux grands festivals marocains, comme Mawazine, où Nordo et Saber Rebai ont récemment fait sensation.
Un débat qui fait du bruit
Sur les réseaux, les fans marocains ne cachent pas leur frustration. "Carthage sans Saad, c’est comme un tajine sans épices !" écrit un internaute sur X. D’autres pointent du doigt le manque de réciprocité dans les échanges artistiques entre le Maroc et la Tunisie. Quand les stars tunisiennes brillent au Maroc, pourquoi les artistes marocains sont-ils absents à Carthage ?
Même les spécialistes de la musique s’interrogent. Pour certains, cela reflète un changement dans la stratégie de programmation du festival, qui semble privilégier des artistes déjà bien établis ou des talents émergents internationaux comme Saint Levant, l’artiste palestinien-américain qui mélange rap, électro et vibes orientales.
En attendant, si vous êtes fan de musique arabe, le Festival de Carthage reste un incontournable, avec une programmation qui promet des moments forts. Mais pour les fans marocains, une chose est sûre : cette édition laisse un goût amer.
Alors que des noms comme Saad Lamjarred et Hatim Ammor ont marqué les éditions précédentes, cette année, c’est le vide total côté marocain. Et ça pique encore plus quand on sait que les artistes tunisiens, eux, sont régulièrement invités aux grands festivals marocains, comme Mawazine, où Nordo et Saber Rebai ont récemment fait sensation.
Un débat qui fait du bruit
Sur les réseaux, les fans marocains ne cachent pas leur frustration. "Carthage sans Saad, c’est comme un tajine sans épices !" écrit un internaute sur X. D’autres pointent du doigt le manque de réciprocité dans les échanges artistiques entre le Maroc et la Tunisie. Quand les stars tunisiennes brillent au Maroc, pourquoi les artistes marocains sont-ils absents à Carthage ?
Même les spécialistes de la musique s’interrogent. Pour certains, cela reflète un changement dans la stratégie de programmation du festival, qui semble privilégier des artistes déjà bien établis ou des talents émergents internationaux comme Saint Levant, l’artiste palestinien-américain qui mélange rap, électro et vibes orientales.
En attendant, si vous êtes fan de musique arabe, le Festival de Carthage reste un incontournable, avec une programmation qui promet des moments forts. Mais pour les fans marocains, une chose est sûre : cette édition laisse un goût amer.