Un calendrier d’envergure : 9 stades, 6 villes, tout le pays mobilisé
Le tournoi se déroulera du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026.
Il s’étale sur six villes hôtes : Rabat, Casablanca, Tanger, Marrakech, Fès, Agadir.
Au total : neuf stades, dont le nouveau Complexe Sportif Prince Moulay Abdellah à Rabat (69 500 places), rénové pour l’occasion.
L’ouverture oppose le pays hôte à Comoros national football team le 21 décembre. Ce maillage rassure sur la capacité du pays à accueillir un évènement pan-africain d’envergure tout en répartissant les flux; un aspect essentiel pour éviter les surcharges locales.
Il s’étale sur six villes hôtes : Rabat, Casablanca, Tanger, Marrakech, Fès, Agadir.
Au total : neuf stades, dont le nouveau Complexe Sportif Prince Moulay Abdellah à Rabat (69 500 places), rénové pour l’occasion.
L’ouverture oppose le pays hôte à Comoros national football team le 21 décembre. Ce maillage rassure sur la capacité du pays à accueillir un évènement pan-africain d’envergure tout en répartissant les flux; un aspect essentiel pour éviter les surcharges locales.
Un appel à l’Afrique… et au monde : Fans, diasporas, médias internationaux
Les ventes de billets affichent un engouement inédit : les premières phases ont vu un intérêt mondial, bien au-delà du continent. Des diasporas européennes, nord-africaines, africaines font le déplacement ; le Maroc pourrait attirer plus d’un million de visiteurs supplémentaires pendant la durée du tournoi, selon des estimations d’experts.
L’événement offre aussi une exposition médiatique massive : matches diffusés à l’international, retombées pour l’image du pays, buzz sur les réseaux sociaux. Au-delà du sport : l’AFCON devient un canal de soft-power, une vitrine de modernité, d’hospitalité, de capacités organisationnelles.
Pour le royaume, c’est une chance de revendiquer sa place comme hub panafricain.
L’événement offre aussi une exposition médiatique massive : matches diffusés à l’international, retombées pour l’image du pays, buzz sur les réseaux sociaux. Au-delà du sport : l’AFCON devient un canal de soft-power, une vitrine de modernité, d’hospitalité, de capacités organisationnelles.
Pour le royaume, c’est une chance de revendiquer sa place comme hub panafricain.
Tourisme, économie locale, et impulsion pour l’hospitalité
Avec afflux massif de supporters venus d’Afrique, d’Europe, des diasporas; la demande sur l’hôtellerie, la restauration, les transports, le commerce local va exploser. Le tournoi coïncide avec la haute saison touristique hivernale : l’AFCON peut transformer l’hiver 2025 en pic touristique, avec des retombées économiques importantes.
Plusieurs villes, notamment les plus culturelles comme Marrakech, Fès, Casablanca, offrent à la fois football et patrimoine : un mix subtil entre sport, tourisme et culture locale. Si bien géré, cela peut créer un modèle répétable, durable bien au-delà de la compétition.
Plusieurs villes, notamment les plus culturelles comme Marrakech, Fès, Casablanca, offrent à la fois football et patrimoine : un mix subtil entre sport, tourisme et culture locale. Si bien géré, cela peut créer un modèle répétable, durable bien au-delà de la compétition.
Défis réels :
Infrastructures, pression sociale, sécurité; le test grandeur nature. Mais accueillir un tel événement n’est pas sans risque :
- Mobilité et hébergement : les transports inter-villes, la gestion des flux, le logement tout doit être calibré pour supporter l’afflux. Un défaut peut tourner au fiasco.
- Sécurité et organisation : de la billetterie jusqu’à l’accueil des supporters étrangers, l’expérience doit rester fluide. Les villes hôtes sont sous pression.
- Impact local et durabilité : avec sur-fréquentation des sites touristiques, hausse temporaire des prix, tension sur les ressources (eau, services, déchets).
L’enjeu : transformer l’évènement en bénéfice durable, pas en choc éphémère. L’équilibre sera délicat mais si le Maroc parvient à le maintenir, cela peut devenir un modèle pour les grandes manifestations internationales.
- Mobilité et hébergement : les transports inter-villes, la gestion des flux, le logement tout doit être calibré pour supporter l’afflux. Un défaut peut tourner au fiasco.
- Sécurité et organisation : de la billetterie jusqu’à l’accueil des supporters étrangers, l’expérience doit rester fluide. Les villes hôtes sont sous pression.
- Impact local et durabilité : avec sur-fréquentation des sites touristiques, hausse temporaire des prix, tension sur les ressources (eau, services, déchets).
L’enjeu : transformer l’évènement en bénéfice durable, pas en choc éphémère. L’équilibre sera délicat mais si le Maroc parvient à le maintenir, cela peut devenir un modèle pour les grandes manifestations internationales.
Ce que l’AFCON 2025 peut offrir au Maroc et ce qu’il faut savoir avant d’en attendre trop
Les opportunités :
- Redorer l’image internationale du pays, montrer qu’il sait accueillir un événement majeur.
- Booster tourisme & économie locale, en profitant d’un double effet sport + culture.
- Positionner le Maroc comme une plateforme panafricaine : sport, tourisme, diaspora, médias, soft-power.
Les enjeux :
- Gérer le choc de la demande sur les infrastructures : transports, stades, services.
- Préparer l’après-évènement : éviter les “villes fantômes”, maintenir l’investissement.
- Assurer un héritage positif : investissements durables, promotion du sport local, développement des talents.
- Redorer l’image internationale du pays, montrer qu’il sait accueillir un événement majeur.
- Booster tourisme & économie locale, en profitant d’un double effet sport + culture.
- Positionner le Maroc comme une plateforme panafricaine : sport, tourisme, diaspora, médias, soft-power.
Les enjeux :
- Gérer le choc de la demande sur les infrastructures : transports, stades, services.
- Préparer l’après-évènement : éviter les “villes fantômes”, maintenir l’investissement.
- Assurer un héritage positif : investissements durables, promotion du sport local, développement des talents.
L' AFCON 2025 n’est pas un simple tournoi :
C’est un pari pour le Maroc 2.0 Quand le sifflet final retentira en janvier 2026, la vraie compétition aura peut-être été ailleurs : dans la capacité du Maroc à transformer l’événement en levier de développement, d’attractivité et d’image.
L’AFCON peut devenir plus qu’un tournoi : le symbole d’un pays en mutation, prêt à affirmer son rôle de carrefour africain, sportif, culturel et médiatique. Si le pari est gagné, ce ne sera pas juste une victoire sur le terrain; ce sera un tournant historique.
L’AFCON peut devenir plus qu’un tournoi : le symbole d’un pays en mutation, prêt à affirmer son rôle de carrefour africain, sportif, culturel et médiatique. Si le pari est gagné, ce ne sera pas juste une victoire sur le terrain; ce sera un tournant historique.