Le modèle de la puissance à la demande gagne du terrain :
Volkswagen lance au Royaume-Uni un abonnement mensuel pour doper la puissance de certaines ID.3
L’« upgrade de puissance » est proposé: 16,50 £ par mois 165 £ par an 649 £ en paiement unique à vie (activation attachée au véhicule et non à la personne, selon Auto Express, premier média à avoir révélé l’information) Un porte‑parole, cité par la BBC, rapproche cette logique des pratiques historiques où des blocs moteurs identiques étaient commercialisés avec des calibrages de puissance différents. L’idée: permettre à un client de passer à une conduite plus « sportive » quand il le souhaite, au lieu de surpayer à l’achat pour une configuration dont il n’est pas certain d’avoir l’usage continu.
BMW a expérimenté des abonnements pour le chauffage des sièges ou du volant.
Mercedes a lancé en 2022, aux États‑Unis, une option payante en ligne pour améliorer l’accélération de certains modèles électriques.
Ces offres alimentent un débat récurrent: faut‑il payer pour débloquer des fonctionnalités matérielles déjà intégrées mais bridées logiciellement ?
Un sondage cité (source: S&P Global) montre un essoufflement de l’appétence pour les services connectés payants: la proportion de répondants se disant prêts à payer serait passée de 86 % en 2024 à 68 % en 2025. Le recul suggère une lassitude vis‑à‑vis de la multiplication des micro‑abonnements, surtout lorsque des fonctions perçues comme « basiques » sont fragmentées en paliers tarifaires.
Malgré ces réticences spécifiques à l’automobile, l’économie des souscriptions poursuit sa progression globale: Juniper Research estimait en 2024 que la valeur mondiale du modèle par abonnement pourrait frôler 1.000 milliards de dollars (environ 740 milliards de livres sterling) d’ici 2028.
Enjeux pour Volkswagen : Monétisation logicielle: accroître la marge post‑vente dans un contexte de pression sur les coûts des véhicules électriques. Fidélisation et données: suivre l’usage des activations pour ajuster la tarification future. Image de marque: arbitrer entre perception d’innovation « à la carte » et accusation de vendre deux fois le même produit. Cadre réglementaire futur: l’UE et le Royaume‑Uni surveillent les pratiques liées aux fonctions essentielles (sécurité, antipollution), ce qui pourrait limiter certains types de verrouillage logiciel. Les informations factuelles et citations proviennent des publications d’Auto Express et de la BBC, ainsi que des données mentionnées de S&P Global et Juniper Research. Aucune fiche technique détaillant l’incrément exact de puissance n’a été fournie dans les éléments reformulés ici.
L’« upgrade de puissance » est proposé: 16,50 £ par mois 165 £ par an 649 £ en paiement unique à vie (activation attachée au véhicule et non à la personne, selon Auto Express, premier média à avoir révélé l’information) Un porte‑parole, cité par la BBC, rapproche cette logique des pratiques historiques où des blocs moteurs identiques étaient commercialisés avec des calibrages de puissance différents. L’idée: permettre à un client de passer à une conduite plus « sportive » quand il le souhaite, au lieu de surpayer à l’achat pour une configuration dont il n’est pas certain d’avoir l’usage continu.
BMW a expérimenté des abonnements pour le chauffage des sièges ou du volant.
Mercedes a lancé en 2022, aux États‑Unis, une option payante en ligne pour améliorer l’accélération de certains modèles électriques.
Ces offres alimentent un débat récurrent: faut‑il payer pour débloquer des fonctionnalités matérielles déjà intégrées mais bridées logiciellement ?
Un sondage cité (source: S&P Global) montre un essoufflement de l’appétence pour les services connectés payants: la proportion de répondants se disant prêts à payer serait passée de 86 % en 2024 à 68 % en 2025. Le recul suggère une lassitude vis‑à‑vis de la multiplication des micro‑abonnements, surtout lorsque des fonctions perçues comme « basiques » sont fragmentées en paliers tarifaires.
Malgré ces réticences spécifiques à l’automobile, l’économie des souscriptions poursuit sa progression globale: Juniper Research estimait en 2024 que la valeur mondiale du modèle par abonnement pourrait frôler 1.000 milliards de dollars (environ 740 milliards de livres sterling) d’ici 2028.
Enjeux pour Volkswagen : Monétisation logicielle: accroître la marge post‑vente dans un contexte de pression sur les coûts des véhicules électriques. Fidélisation et données: suivre l’usage des activations pour ajuster la tarification future. Image de marque: arbitrer entre perception d’innovation « à la carte » et accusation de vendre deux fois le même produit. Cadre réglementaire futur: l’UE et le Royaume‑Uni surveillent les pratiques liées aux fonctions essentielles (sécurité, antipollution), ce qui pourrait limiter certains types de verrouillage logiciel. Les informations factuelles et citations proviennent des publications d’Auto Express et de la BBC, ainsi que des données mentionnées de S&P Global et Juniper Research. Aucune fiche technique détaillant l’incrément exact de puissance n’a été fournie dans les éléments reformulés ici.