À fin octobre 2025, le nombre de bénéficiaires a atteint plus de 152 951 femmes, soit quatorze fois plus que celles du précédent « Fonds de solidarité familiale ».
Fouzi Lekjaa, intervenant au parlement, a indiqué que les femmes divorcées ont bénéficié d’un « bond qualitatif » dans le programme.
La moyenne mensuelle s’établit à 152 443 bénéficiaires. Ce succès est attribué à la mise en place d’une procédure électronique simplifiant les démarches et à un système de ciblage transparent basé sur le « Registre social unifié » et le « Registre national de la population ». Le programme, initié en décembre 2023, résout les anciens problèmes de multiplicité des dispositifs et de coordination insuffisante, en intégrant divers mécanismes tels que le Fonds de solidarité familiale et l’aide aux veuves dans un système unique et cohérent.
Ce programme cible 60 % de la population non couverte par les allocations familiales, proposant divers services comme des allocations mensuelles pour les enfants (jusqu’à six), un soutien pour les orphelins et personnes en situation de handicap, ainsi que des allocations de naissance et de rentrée scolaire, dans le cadre de l’initiative « Un million de cartables ».
Une aide forfaitaire est aussi prévue pour les ménages sans enfants ou comptant des personnes âgées, en vue de renforcer leur pouvoir d’achat, tout en prenant en charge les orphelins résidant dans des structures sociales.
Il a été rappelé que ce dispositif est le fruit d’efforts continus, en regroupant notamment les anciens programmes d’aide directe aux veuves en précarité avec leurs enfants orphelins, et le Fonds de solidarité familiale destiné aux mères démunies divorcées et aux enfants bénéficiaires de pensions alimentaires.
La loi n° 58.23 a permis de surmonter les limites des anciens dispositifs : entre 2011 et 2022, le Fonds de solidarité familiale n’a aidé que 27 548 bénéficiaires sur trois ans, et le programme d’aide aux veuves entre 2015 et 2023 n’a compté que 132 649 bénéficiaires. Ces plafonds ont été dépassés en quelques mois avec le nouveau programme, témoignant de l’efficacité des orientations royales pour améliorer la protection sociale au Maroc.
Le ministre a conclu en affirmant que les résultats de ce programme confirment sa réussite et sa supériorité sur les initiatives similaires précédentes, notamment celles en faveur des femmes veuves et divorcées.
La moyenne mensuelle s’établit à 152 443 bénéficiaires. Ce succès est attribué à la mise en place d’une procédure électronique simplifiant les démarches et à un système de ciblage transparent basé sur le « Registre social unifié » et le « Registre national de la population ». Le programme, initié en décembre 2023, résout les anciens problèmes de multiplicité des dispositifs et de coordination insuffisante, en intégrant divers mécanismes tels que le Fonds de solidarité familiale et l’aide aux veuves dans un système unique et cohérent.
Ce programme cible 60 % de la population non couverte par les allocations familiales, proposant divers services comme des allocations mensuelles pour les enfants (jusqu’à six), un soutien pour les orphelins et personnes en situation de handicap, ainsi que des allocations de naissance et de rentrée scolaire, dans le cadre de l’initiative « Un million de cartables ».
Une aide forfaitaire est aussi prévue pour les ménages sans enfants ou comptant des personnes âgées, en vue de renforcer leur pouvoir d’achat, tout en prenant en charge les orphelins résidant dans des structures sociales.
Il a été rappelé que ce dispositif est le fruit d’efforts continus, en regroupant notamment les anciens programmes d’aide directe aux veuves en précarité avec leurs enfants orphelins, et le Fonds de solidarité familiale destiné aux mères démunies divorcées et aux enfants bénéficiaires de pensions alimentaires.
La loi n° 58.23 a permis de surmonter les limites des anciens dispositifs : entre 2011 et 2022, le Fonds de solidarité familiale n’a aidé que 27 548 bénéficiaires sur trois ans, et le programme d’aide aux veuves entre 2015 et 2023 n’a compté que 132 649 bénéficiaires. Ces plafonds ont été dépassés en quelques mois avec le nouveau programme, témoignant de l’efficacité des orientations royales pour améliorer la protection sociale au Maroc.
Le ministre a conclu en affirmant que les résultats de ce programme confirment sa réussite et sa supériorité sur les initiatives similaires précédentes, notamment celles en faveur des femmes veuves et divorcées.