Le cinéma marocain continue de gravir les sommets et de captiver les audiences internationales. Cette fois, c’est Maryam Touzani qui fait briller les couleurs du Royaume à la Mostra de Venise avec son dernier long-métrage, “Calle Malaga”, récompensé par le prestigieux Prix du public dans la catégorie Spotlight. Tourné dans les ruelles de Tanger, ce film est une ode aux souvenirs, aux racines et à la lutte pour préserver ce qui nous est cher.
Maria, Tanger et les souvenirs : un voyage émotionnel
Dans “Calle Malaga”, Maryam Touzani nous entraîne dans l’intimité de Maria, une Espagnole de 79 ans installée seule à Tanger. Sa vie bascule lorsque sa fille Clara débarque de Madrid avec une mission : vendre l’appartement familial, témoin d’une vie entière. Ce lieu, imprégné de souvenirs et de moments suspendus, devient le théâtre d’une lutte poignante entre passé et présent, entre racines et détachement.
Le film navigue avec finesse entre les nuances de l’attachement et les tensions intergénérationnelles. Maria, incarnée avec profondeur par une actrice espagnole magistrale, fait écho à ces figures tangéroises que l’on croise parfois, assises sur un banc, le regard perdu vers la mer. À travers elle, Touzani explore des thématiques universelles : la mémoire, l’identité et le poids des lieux qui nous façonnent.
Une mise en scène qui respire Tanger
La réalisation de Maryam Touzani, saluée par son producteur Nabil Ayouch, est une véritable déclaration d’amour à Tanger. Les ruelles sinueuses, les murs blanchis par le sel marin et les fenêtres ouvertes sur l’infini deviennent des personnages à part entière. Le spectateur est plongé dans une ambiance où chaque détail compte : le bruit des vagues, le chant d’un muezzin lointain, et même le silence lourd des décisions difficiles.
Venise sous le charme, et après ?
Le Prix du public remporté à Venise témoigne de l’impact émotionnel du film. Les spectateurs, souvent exigeants dans ce festival prestigieux, ont été conquis par la profondeur et la sincérité de “Calle Malaga”. Sur les réseaux sociaux, les réactions ne se sont pas faites attendre : « Un chef-d’œuvre marocain qui parle à tout le monde », « Maryam Touzani, la voix des émotions universelles », peut-on lire sur X et Instagram.
La presse internationale n’a pas été en reste. Des critiques italiennes ont salué la “poésie visuelle” du film, tandis que des médias espagnols ont évoqué un “pont artistique entre deux cultures”.
Et ce n’est que le début. Après Venise, le film s’envolera pour le Festival international du film de Toronto (TIFF), où il promet de continuer à faire parler de lui. La reconnaissance internationale du cinéma marocain ne cesse de croître, portée par des talents comme Touzani et Ayouch qui redéfinissent les standards du 7e art national.
A voir absolument !
“Calle Malaga” est bien plus qu’un film. C’est une expérience, une plongée dans les méandres de l’âme humaine et dans les ruelles de Tanger. Maryam Touzani confirme son statut de réalisatrice incontournable, capable de toucher les cœurs avec des histoires simples mais universelles.
Alors, préparez-vous à embarquer dans ce voyage émotionnel. Que vous soyez fan de cinéma marocain, amateur de récits poignants ou simplement curieux, “Calle Malaga” est une œuvre à ne pas manquer.
Maria, Tanger et les souvenirs : un voyage émotionnel
Dans “Calle Malaga”, Maryam Touzani nous entraîne dans l’intimité de Maria, une Espagnole de 79 ans installée seule à Tanger. Sa vie bascule lorsque sa fille Clara débarque de Madrid avec une mission : vendre l’appartement familial, témoin d’une vie entière. Ce lieu, imprégné de souvenirs et de moments suspendus, devient le théâtre d’une lutte poignante entre passé et présent, entre racines et détachement.
Le film navigue avec finesse entre les nuances de l’attachement et les tensions intergénérationnelles. Maria, incarnée avec profondeur par une actrice espagnole magistrale, fait écho à ces figures tangéroises que l’on croise parfois, assises sur un banc, le regard perdu vers la mer. À travers elle, Touzani explore des thématiques universelles : la mémoire, l’identité et le poids des lieux qui nous façonnent.
Une mise en scène qui respire Tanger
La réalisation de Maryam Touzani, saluée par son producteur Nabil Ayouch, est une véritable déclaration d’amour à Tanger. Les ruelles sinueuses, les murs blanchis par le sel marin et les fenêtres ouvertes sur l’infini deviennent des personnages à part entière. Le spectateur est plongé dans une ambiance où chaque détail compte : le bruit des vagues, le chant d’un muezzin lointain, et même le silence lourd des décisions difficiles.
Venise sous le charme, et après ?
Le Prix du public remporté à Venise témoigne de l’impact émotionnel du film. Les spectateurs, souvent exigeants dans ce festival prestigieux, ont été conquis par la profondeur et la sincérité de “Calle Malaga”. Sur les réseaux sociaux, les réactions ne se sont pas faites attendre : « Un chef-d’œuvre marocain qui parle à tout le monde », « Maryam Touzani, la voix des émotions universelles », peut-on lire sur X et Instagram.
La presse internationale n’a pas été en reste. Des critiques italiennes ont salué la “poésie visuelle” du film, tandis que des médias espagnols ont évoqué un “pont artistique entre deux cultures”.
Et ce n’est que le début. Après Venise, le film s’envolera pour le Festival international du film de Toronto (TIFF), où il promet de continuer à faire parler de lui. La reconnaissance internationale du cinéma marocain ne cesse de croître, portée par des talents comme Touzani et Ayouch qui redéfinissent les standards du 7e art national.
A voir absolument !
“Calle Malaga” est bien plus qu’un film. C’est une expérience, une plongée dans les méandres de l’âme humaine et dans les ruelles de Tanger. Maryam Touzani confirme son statut de réalisatrice incontournable, capable de toucher les cœurs avec des histoires simples mais universelles.
Alors, préparez-vous à embarquer dans ce voyage émotionnel. Que vous soyez fan de cinéma marocain, amateur de récits poignants ou simplement curieux, “Calle Malaga” est une œuvre à ne pas manquer.