Un duo explosif derrière la caméra
Oubliez les blockbusters hollywoodiens, ce mois de septembre, c’est Casa Guira qui débarque dans nos salles obscures. Signé par Omar Lotfi (à la fois acteur et réalisateur) et produit par le Marocain le plus bankable de la planète musique, RedOne, ce film s’annonce comme l’ovni du cinéma marocain.
Un pitch digne d’une chasse au trésor made in Casa
Le scénario, signé Mehdi Chihab, nous plonge dans la peau d’Ismaïl, fraîchement sorti de prison après douze ans derrière les barreaux pour une affaire de vol d’or. À peine dehors, il embarque son pote d’enfance Nassim dans une quête improbable : retrouver un mystérieux coffre en or, guidés par une carte tatouée sur la peau d’un défunt. De quoi faire penser à un mélange entre La Casa de Papel et une soirée chaotique à Derb Sultan.
Au programme : enterrements qui virent au sketch, hôpitaux pas très nets, mariages qui tournent à la débâcle et faux médecins à la chaîne. Bref, une course-poursuite où les trahisons s’accumulent et où l’humour sert de carburant à une intrigue sous haute tension.
Un casting XXL entre cinéma, musique et réseaux
Pour donner vie à ce joyeux chaos, Lotfi et RedOne se sont entourés d’une dream team marocaine : Karima Gouit, Anas El Baz, Rachid Rafik, Tarek Boukhari, Hafssa Baourkadi, Rafiq Boubker, sans oublier la regrettée Naïma Bouhmala. Mais le coup de génie marketing, c’est d’avoir intégré deux figures bien connues des jeunes : la chanteuse Hanan El Khidr et le YouTuber Ilyass El Malki. Leur apparition dans la bande-annonce a fait le buzz, propulsant Casa Guira dans les tendances dès son premier teaser.
Réception et attentes
Sur les réseaux, les avis oscillent entre enthousiasme et curiosité. Certains saluent enfin un film marocain qui ose mêler humour populaire et mise en scène nerveuse, d’autres craignent un produit trop commercial, calibré “Netflix”. Mais la promesse est claire : 100 minutes de pur divertissement, en darija, avec une esthétique qui rappelle par moments Casa Negra, mais sous stéroïdes comiques.
Un pitch digne d’une chasse au trésor made in Casa
Le scénario, signé Mehdi Chihab, nous plonge dans la peau d’Ismaïl, fraîchement sorti de prison après douze ans derrière les barreaux pour une affaire de vol d’or. À peine dehors, il embarque son pote d’enfance Nassim dans une quête improbable : retrouver un mystérieux coffre en or, guidés par une carte tatouée sur la peau d’un défunt. De quoi faire penser à un mélange entre La Casa de Papel et une soirée chaotique à Derb Sultan.
Au programme : enterrements qui virent au sketch, hôpitaux pas très nets, mariages qui tournent à la débâcle et faux médecins à la chaîne. Bref, une course-poursuite où les trahisons s’accumulent et où l’humour sert de carburant à une intrigue sous haute tension.
Un casting XXL entre cinéma, musique et réseaux
Pour donner vie à ce joyeux chaos, Lotfi et RedOne se sont entourés d’une dream team marocaine : Karima Gouit, Anas El Baz, Rachid Rafik, Tarek Boukhari, Hafssa Baourkadi, Rafiq Boubker, sans oublier la regrettée Naïma Bouhmala. Mais le coup de génie marketing, c’est d’avoir intégré deux figures bien connues des jeunes : la chanteuse Hanan El Khidr et le YouTuber Ilyass El Malki. Leur apparition dans la bande-annonce a fait le buzz, propulsant Casa Guira dans les tendances dès son premier teaser.
Réception et attentes
Sur les réseaux, les avis oscillent entre enthousiasme et curiosité. Certains saluent enfin un film marocain qui ose mêler humour populaire et mise en scène nerveuse, d’autres craignent un produit trop commercial, calibré “Netflix”. Mais la promesse est claire : 100 minutes de pur divertissement, en darija, avec une esthétique qui rappelle par moments Casa Negra, mais sous stéroïdes comiques.
Le réalisateur confie : « On vit un nouvel espoir pour le cinéma marocain. Casa Guira est né d’un travail collectif, d’une vraie envie de donner au public un film qui lui parle et qui l’amuse. »
À voir ou à zapper ?
Avec un duo Lotfi-RedOne aux manettes, un casting blindé de stars et une histoire qui sent le popcorn autant que la débrouille casaouie, Casa Guira s’annonce comme LE film marocain événement de la rentrée. Reste à voir si le public suivra en masse, mais une chose est sûre : Casa n’a pas fini d’inspirer les cinéastes, entre noirceur réaliste et comédie déjantée. Un rendez-vous à ne pas manquer, surtout pour ceux qui aiment voir le cinéma marocain sortir de sa zone de confort.