Par Abdelbassat El Hajoui
Le championnat marocain du football pourtant le nom du Botola-Pro INWI est arrivé ce dernier weekend à la vingtième journée marquée par la domination de l'équipe joue la RSB victorieuse à l'extérieur face passe à l'équipe de l’AS.FAR de Rabat au stade municipal de Kénitra un but à zéro but marqué par l’attaquant MELLIOUI, l’équipe de Berkane a gardé la même longueur de points face au dauphin AS.FAR qui a gagné difficilement à son tour l'équipe de l'IRT 3 à 2 grâce à un penalty transformé par Rabiaa HRIMATE à la 95ème minute.
Certes, le Maroc a transformé les grands stades en chantiers de travaux de construction, de rénovation et de modernisation, surtout des stades qui abriteront la Coupe d'Afrique des nations 2025 ou bien les stades d'entraînement dans les villes qui vont accueillir les concentrations des équipes nationales engagées dans la compétition africaine.
En effet, cette course contre-la-montre pour mettre à niveau les installations sportives au Maroc a fait une pression énorme sur certains stades qui abritent la majorité des matchs du Botola-Pro INWI, à l'instar du Stade El bachir de Mohammedia, Stade municipal de Kénitra, Stade Laarbi Zaouli à Casablanca, Stade Laabdi d'Eljadida et Stade de Berrechid.
Par conséquent, l'image véhiculée par notre championnat ne reflète pas le niveau réel du foot ball marocain, classé quatrième à la dernière édition de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, troisième dans les Jeux Olympiques 2024 à Paris et champion de la Coupe d'Afrique des Nations des U23 en 2023 au Maroc.
Évidemment, les clubs marocains sont pleinement touchés par cette régression aussi bien au niveau technique qu'au niveau économique et marketing, chose qui pousse les sponsors et les annonceurs à se désengager d'un championnat de plus en plus vidé des stars, du public et du spectacle à cause de la programmation anarchique de la LPF, l'endettement excessif des clubs considérés comme locomotive du foot ball national, et des problèmes liés à la bonne gouvernance et au management administratif et technique de ces clubs.
Certes, l'organisation de la Coupe du Monde 2030 et la Coupe d'Afrique des Nations en 2025 aura un effet booster sur la pratique footballistique au Maroc, mais la FRMF doit absolument se méfier de la dégradation du produit footballistique national surtout au niveau du championnat national qui est devenu un tremplin pour des championnats des pays voisins comme l’Egypte, la Tunisie et la Libye sans parler des pays de Golf.
Certes, le Maroc a transformé les grands stades en chantiers de travaux de construction, de rénovation et de modernisation, surtout des stades qui abriteront la Coupe d'Afrique des nations 2025 ou bien les stades d'entraînement dans les villes qui vont accueillir les concentrations des équipes nationales engagées dans la compétition africaine.
En effet, cette course contre-la-montre pour mettre à niveau les installations sportives au Maroc a fait une pression énorme sur certains stades qui abritent la majorité des matchs du Botola-Pro INWI, à l'instar du Stade El bachir de Mohammedia, Stade municipal de Kénitra, Stade Laarbi Zaouli à Casablanca, Stade Laabdi d'Eljadida et Stade de Berrechid.
Par conséquent, l'image véhiculée par notre championnat ne reflète pas le niveau réel du foot ball marocain, classé quatrième à la dernière édition de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, troisième dans les Jeux Olympiques 2024 à Paris et champion de la Coupe d'Afrique des Nations des U23 en 2023 au Maroc.
Évidemment, les clubs marocains sont pleinement touchés par cette régression aussi bien au niveau technique qu'au niveau économique et marketing, chose qui pousse les sponsors et les annonceurs à se désengager d'un championnat de plus en plus vidé des stars, du public et du spectacle à cause de la programmation anarchique de la LPF, l'endettement excessif des clubs considérés comme locomotive du foot ball national, et des problèmes liés à la bonne gouvernance et au management administratif et technique de ces clubs.
Certes, l'organisation de la Coupe du Monde 2030 et la Coupe d'Afrique des Nations en 2025 aura un effet booster sur la pratique footballistique au Maroc, mais la FRMF doit absolument se méfier de la dégradation du produit footballistique national surtout au niveau du championnat national qui est devenu un tremplin pour des championnats des pays voisins comme l’Egypte, la Tunisie et la Libye sans parler des pays de Golf.