La cérémonie de clôture de ce rendez-vous annuel, à laquelle a pris part notamment le gouverneur de la province d’El Kelaâ des Sraghna, Samir Lyazidi, a été marquée par des hommages rendus à plusieurs madihines et à des personnalités ayant contribué à la réussite de l’événement.
Placée sous le thème “Le Madih des zaouias, un patrimoine immatériel séculaire et préservateur de l’identité”, cette manifestation, initiée par l’Association El Kaoutar du Madih, Samaâ et préservation du patrimoine, vise à valoriser la diversité culturelle et spirituelle du Maroc. Elle entend également conforter la place d’El Kelaâ des Sraghna comme espace de célébration du patrimoine immatériel et de promotion des valeurs de tolérance et de coexistence.
L’événement ambitionne, par ailleurs, de sensibiliser le public à l’importance du madih et du samaâ soufis, et à la nécessité de sauvegarder cet héritage spirituel et culturel en le transmettant aux générations futures. Il se veut aussi une vitrine mettant en lumière la portée de ces arts en tant qu’expressions artistiques révélant la profondeur spirituelle de la société marocaine.
Dans une déclaration à la MAP, le président du festival, Jaouad Chari, a souligné que cette édition a su conjuguer spiritualité et création artistique, grâce à l’organisation de plusieurs conférences académiques consacrées aux discours et expressions soufis dans leurs dimensions poétiques, littéraires et rhétoriques.
Il a mis en avant l’importance de la dimension spirituelle et créative chez les artistes marocains, à travers des soirées et veillées réunissant le samaâ soufi marocain authentique et des expressions venues de l’étranger. Selon lui, ce brassage nourrit la culture spirituelle des jeunes et s’inscrit dans les efforts de sauvegarde du patrimoine immatériel du Royaume.
De son côté, le cheikh de la Tarika Habibiya à Kelaat M’Gouna, Mohamed Al Mourtada Al Boumsahouli, a insisté sur la valeur de cette édition, rythmée par des activités variées mettant l’accent sur le rôle du soufisme et les valeurs portées par les confréries. Il a appelé à s’inspirer de ceux qui excellent dans l’art du samaâ soufi, soulignant l’importance de telles rencontres pour préserver ce patrimoine spirituel et le transmettre aux générations montantes.
La clôture a également été marquée par un colloque dédié au projet intellectuel du penseur soufi Mohamed Thami Al Harak, dont les travaux ont enrichi la bibliothèque nationale par de nombreuses publications et ouvrages, en plus des interventions de plusieurs chercheurs et penseurs.
Le programme de cette 8e édition du Forum “Samaâ Tassaout”, organisée en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication (Département de la Culture), le Conseil régional de Marrakech-Safi et la préfecture de la province d’El Kelâa des Sraghna, comprenait plusieurs soirées artistiques, des conférences, ainsi que des activités destinées aux jeunes et aux passionnés de Madih et Samaâ.
Placée sous le thème “Le Madih des zaouias, un patrimoine immatériel séculaire et préservateur de l’identité”, cette manifestation, initiée par l’Association El Kaoutar du Madih, Samaâ et préservation du patrimoine, vise à valoriser la diversité culturelle et spirituelle du Maroc. Elle entend également conforter la place d’El Kelaâ des Sraghna comme espace de célébration du patrimoine immatériel et de promotion des valeurs de tolérance et de coexistence.
L’événement ambitionne, par ailleurs, de sensibiliser le public à l’importance du madih et du samaâ soufis, et à la nécessité de sauvegarder cet héritage spirituel et culturel en le transmettant aux générations futures. Il se veut aussi une vitrine mettant en lumière la portée de ces arts en tant qu’expressions artistiques révélant la profondeur spirituelle de la société marocaine.
Dans une déclaration à la MAP, le président du festival, Jaouad Chari, a souligné que cette édition a su conjuguer spiritualité et création artistique, grâce à l’organisation de plusieurs conférences académiques consacrées aux discours et expressions soufis dans leurs dimensions poétiques, littéraires et rhétoriques.
Il a mis en avant l’importance de la dimension spirituelle et créative chez les artistes marocains, à travers des soirées et veillées réunissant le samaâ soufi marocain authentique et des expressions venues de l’étranger. Selon lui, ce brassage nourrit la culture spirituelle des jeunes et s’inscrit dans les efforts de sauvegarde du patrimoine immatériel du Royaume.
De son côté, le cheikh de la Tarika Habibiya à Kelaat M’Gouna, Mohamed Al Mourtada Al Boumsahouli, a insisté sur la valeur de cette édition, rythmée par des activités variées mettant l’accent sur le rôle du soufisme et les valeurs portées par les confréries. Il a appelé à s’inspirer de ceux qui excellent dans l’art du samaâ soufi, soulignant l’importance de telles rencontres pour préserver ce patrimoine spirituel et le transmettre aux générations montantes.
La clôture a également été marquée par un colloque dédié au projet intellectuel du penseur soufi Mohamed Thami Al Harak, dont les travaux ont enrichi la bibliothèque nationale par de nombreuses publications et ouvrages, en plus des interventions de plusieurs chercheurs et penseurs.
Le programme de cette 8e édition du Forum “Samaâ Tassaout”, organisée en partenariat avec le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication (Département de la Culture), le Conseil régional de Marrakech-Safi et la préfecture de la province d’El Kelâa des Sraghna, comprenait plusieurs soirées artistiques, des conférences, ainsi que des activités destinées aux jeunes et aux passionnés de Madih et Samaâ.