Réseaux sociaux : amplificateurs de la mobilisation
Le Népal est en proie à des troubles sociaux majeurs. Depuis une semaine, des milliers de manifestants descendent dans les rues pour dénoncer la corruption endémique et la mauvaise gestion du gouvernement. Les affrontements avec les forces de l’ordre ont déjà coûté la vie à 15 personnes et fait plus de 200 blessés, selon les derniers bilans.
La crise actuelle trouve ses racines dans des scandales de corruption qui ont éclaté au sein des hautes sphères du gouvernement népalais. Les fonds destinés à la reconstruction après le tremblement de terre de 2015, ainsi que les budgets pour des projets d'infrastructures critiques, auraient été détournés, selon des enquêtes indépendantes.
Cette corruption, couplée à une inflation galopante et à une hausse du chômage, a exacerbé les frustrations des citoyens. Les réseaux sociaux ont joué un rôle majeur dans la mobilisation, permettant aux manifestants de coordonner leurs actions et de partager des images choquantes des violences policières.
Les manifestations, initialement pacifiques, ont rapidement dégénéré en affrontements violents. À Kathmandu, la capitale, des barricades ont été érigées, et les forces de l’ordre ont utilisé des gaz lacrymogènes et des balles en caoutchouc pour disperser les foules.
Le bilan humain est lourd : 15 morts, dont plusieurs jeunes, et plus de 200 blessés. Les hôpitaux de la capitale sont débordés, tandis que les familles des victimes réclament justice.
Les réseaux sociaux ont amplifié la portée des manifestations. Des hashtags tels que #JusticeForNepal et #StopCorruption ont gagné en popularité, attirant l’attention internationale sur la crise. Des vidéos montrant les violences policières ont suscité l’indignation et renforcé la détermination des manifestants.
Cependant, le gouvernement népalais accuse ces plateformes d’alimenter les tensions et envisage des restrictions sur leur utilisation, une mesure qui pourrait aggraver la situation.
Face à l’ampleur des manifestations, le gouvernement est sous pression. Le Premier ministre népalais a promis des réformes, mais la confiance des citoyens est ébranlée. Les experts craignent que la crise actuelle ne débouche sur une instabilité politique prolongée, compromettant les efforts de développement du pays.
Le Népal, déjà fragile économiquement, risque de voir ses perspectives de croissance s’effondrer si une solution rapide n’est pas trouvée.
La crise actuelle trouve ses racines dans des scandales de corruption qui ont éclaté au sein des hautes sphères du gouvernement népalais. Les fonds destinés à la reconstruction après le tremblement de terre de 2015, ainsi que les budgets pour des projets d'infrastructures critiques, auraient été détournés, selon des enquêtes indépendantes.
Cette corruption, couplée à une inflation galopante et à une hausse du chômage, a exacerbé les frustrations des citoyens. Les réseaux sociaux ont joué un rôle majeur dans la mobilisation, permettant aux manifestants de coordonner leurs actions et de partager des images choquantes des violences policières.
Les manifestations, initialement pacifiques, ont rapidement dégénéré en affrontements violents. À Kathmandu, la capitale, des barricades ont été érigées, et les forces de l’ordre ont utilisé des gaz lacrymogènes et des balles en caoutchouc pour disperser les foules.
Le bilan humain est lourd : 15 morts, dont plusieurs jeunes, et plus de 200 blessés. Les hôpitaux de la capitale sont débordés, tandis que les familles des victimes réclament justice.
Les réseaux sociaux ont amplifié la portée des manifestations. Des hashtags tels que #JusticeForNepal et #StopCorruption ont gagné en popularité, attirant l’attention internationale sur la crise. Des vidéos montrant les violences policières ont suscité l’indignation et renforcé la détermination des manifestants.
Cependant, le gouvernement népalais accuse ces plateformes d’alimenter les tensions et envisage des restrictions sur leur utilisation, une mesure qui pourrait aggraver la situation.
Face à l’ampleur des manifestations, le gouvernement est sous pression. Le Premier ministre népalais a promis des réformes, mais la confiance des citoyens est ébranlée. Les experts craignent que la crise actuelle ne débouche sur une instabilité politique prolongée, compromettant les efforts de développement du pays.
Le Népal, déjà fragile économiquement, risque de voir ses perspectives de croissance s’effondrer si une solution rapide n’est pas trouvée.