Une prévision optimiste signée Banque centrale
Bonne nouvelle pour ton portefeuille (et celui de tout le bled) : la Banque centrale vient d’annoncer une prévision de croissance à 4,6% pour 2025 ! Après des années un peu galère, le Maroc s’apprête à reprendre des couleurs, porté par une agriculture qui repart et des investissements publics qui pleuvent. De quoi donner le sourire, même au vendeur de café du coin.
C’est officiel : Bank Al-Maghrib voit l’avenir en vert. Selon ses experts, 2025 sera l’année du rebond, avec une croissance du PIB attendue à 4,6%. Un taux qui ferait rêver pas mal de voisins, surtout après les secousses économiques des dernières années (sècheresse, inflation, Covid, tu connais la chanson…). Cette embellie, c’est un peu comme voir la pluie tomber après un été trop sec : on souffle enfin !
Mais alors, c’est quoi le secret ? D’abord, la reprise de l’activité agricole. Après des saisons compliquées, les prévisions météo sont meilleures et les champs devraient à nouveau bien tourner. Quand l’agriculture va, tout le pays suit : emplois, exportations, marchés locaux… c’est l’effet domino. Ensuite, l’État met la main à la poche avec de gros investissements dans les infrastructures, l’énergie, et même la digitalisation. De quoi booster la machine économique et attirer encore plus d’investisseurs étrangers.
Ok, mais concrètement, ça veut dire quoi pour toi ? Plus de croissance, c’est plus d’emplois, des salaires qui peuvent (enfin) suivre, et un pouvoir d’achat qui arrête de se faire la malle. Les jeunes diplômés pourraient y voir une lueur d’espoir pour décrocher un taf sans avoir à s’exiler. Et pour les familles, un panier de courses un peu moins salé. Même les commerçants du souk sentent déjà que “l’argent circule mieux”.
Sur X, Insta et Facebook, les réactions ne se sont pas fait attendre. Certains applaudissent et voient déjà le Maroc jouer dans la cour des grands. D’autres restent prudents : “On veut voir avant de croire !” Les économistes rappellent qu’il faudra surveiller la météo, la stabilité mondiale et surtout que la croissance profite à tout le monde, pas juste à une élite.
La vraie question, c’est : cette dynamique peut-elle durer ? Si l’agriculture tient le coup et que l’État continue d’investir malin, tous les voyants pourraient rester au vert. Mais attention aux imprévus (climat, tensions internationales…). En attendant, le Maroc se remet en marche. À suivre, et à surveiller de près pour ne pas rater le train de la reprise !
C’est officiel : Bank Al-Maghrib voit l’avenir en vert. Selon ses experts, 2025 sera l’année du rebond, avec une croissance du PIB attendue à 4,6%. Un taux qui ferait rêver pas mal de voisins, surtout après les secousses économiques des dernières années (sècheresse, inflation, Covid, tu connais la chanson…). Cette embellie, c’est un peu comme voir la pluie tomber après un été trop sec : on souffle enfin !
Mais alors, c’est quoi le secret ? D’abord, la reprise de l’activité agricole. Après des saisons compliquées, les prévisions météo sont meilleures et les champs devraient à nouveau bien tourner. Quand l’agriculture va, tout le pays suit : emplois, exportations, marchés locaux… c’est l’effet domino. Ensuite, l’État met la main à la poche avec de gros investissements dans les infrastructures, l’énergie, et même la digitalisation. De quoi booster la machine économique et attirer encore plus d’investisseurs étrangers.
Ok, mais concrètement, ça veut dire quoi pour toi ? Plus de croissance, c’est plus d’emplois, des salaires qui peuvent (enfin) suivre, et un pouvoir d’achat qui arrête de se faire la malle. Les jeunes diplômés pourraient y voir une lueur d’espoir pour décrocher un taf sans avoir à s’exiler. Et pour les familles, un panier de courses un peu moins salé. Même les commerçants du souk sentent déjà que “l’argent circule mieux”.
Sur X, Insta et Facebook, les réactions ne se sont pas fait attendre. Certains applaudissent et voient déjà le Maroc jouer dans la cour des grands. D’autres restent prudents : “On veut voir avant de croire !” Les économistes rappellent qu’il faudra surveiller la météo, la stabilité mondiale et surtout que la croissance profite à tout le monde, pas juste à une élite.
La vraie question, c’est : cette dynamique peut-elle durer ? Si l’agriculture tient le coup et que l’État continue d’investir malin, tous les voyants pourraient rester au vert. Mais attention aux imprévus (climat, tensions internationales…). En attendant, le Maroc se remet en marche. À suivre, et à surveiller de près pour ne pas rater le train de la reprise !