Quand les cryptos défient l’économie marocaine :
Cette adoption massive, bien qu’en phase avec les tendances mondiales, pose de sérieux défis pour l’économie marocaine. En effet, l’absence de cadre légal pour le commerce et l’utilisation des cryptomonnaies dans le pays favorise des risques tels que le blanchiment d’argent, le déséquilibre de la monnaie nationale et l’aggravation du déficit en devises étrangères.
L’étude souligne que les cryptomonnaies sont principalement utilisées par les Marocains pour des achats, des transactions financières et des transferts internationaux d’argent, ces derniers étant moins coûteux que les réseaux traditionnels. Cette tendance s’inscrit dans un contexte global où l’utilisation des monnaies virtuelles connaît une adoption croissante, particulièrement en Afrique.
En effet, le continent africain comptait 104,8 millions d’utilisateurs de cryptomonnaies l’année dernière, avec une croissance impressionnante de 68 %. L’Égypte arrive en tête avec 21 millions d’utilisateurs (+138 %), suivie du Kenya avec 11 millions (+90 %) et de l’Afrique du Sud avec 13,9 millions (+38 %).
Face à ces chiffres, le Maroc doit accélérer la mise en place d’un cadre législatif pour encadrer l’utilisation des cryptomonnaies. Ce cadre permettra non seulement de protéger l’économie nationale, mais aussi de réguler un marché en pleine expansion et d’en tirer parti pour le développement économique du pays.
L’étude souligne que les cryptomonnaies sont principalement utilisées par les Marocains pour des achats, des transactions financières et des transferts internationaux d’argent, ces derniers étant moins coûteux que les réseaux traditionnels. Cette tendance s’inscrit dans un contexte global où l’utilisation des monnaies virtuelles connaît une adoption croissante, particulièrement en Afrique.
En effet, le continent africain comptait 104,8 millions d’utilisateurs de cryptomonnaies l’année dernière, avec une croissance impressionnante de 68 %. L’Égypte arrive en tête avec 21 millions d’utilisateurs (+138 %), suivie du Kenya avec 11 millions (+90 %) et de l’Afrique du Sud avec 13,9 millions (+38 %).
Face à ces chiffres, le Maroc doit accélérer la mise en place d’un cadre législatif pour encadrer l’utilisation des cryptomonnaies. Ce cadre permettra non seulement de protéger l’économie nationale, mais aussi de réguler un marché en pleine expansion et d’en tirer parti pour le développement économique du pays.