Au Maroc, le secteur de l’édition et du livre vient de recevoir un coup de pouce bien mérité. Avec 379 projets soutenus et une enveloppe globale de 10,9 millions de dirhams, le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication semble vouloir écrire une nouvelle page pour la culture marocaine. Mais concrètement, ça veut dire quoi ? Et surtout, est-ce que ça va vraiment changer quelque chose pour les amoureux des mots et des pages ?
Une industrie qui tourne la page
Chaque année, le ministère dévoile les résultats de son soutien au secteur du livre. En 2025, la commission a étudié pas moins de 758 projets avant de retenir les plus prometteurs. Parmi les heureux élus, on retrouve des initiatives variées :
- 120 projets de publication de livres, pour un total de 2,3 millions de dirhams.
- 47 revues culturelles (papier ou numériques), soutenues à hauteur de 1 million de dirhams.
- Et même des projets adaptés aux personnes en situation de handicap visuel, parce que la lecture doit être accessible à tous.
Mais ce n’est pas tout ! Les écrivains marocains auront aussi la chance de participer à des résidences d’auteurs et à des salons internationaux du livre, avec un budget dédié de 4,2 millions de dirhams. De quoi faire rayonner les talents locaux au-delà des frontières.
Zoom sur le Maroc : des librairies au cœur de la vie culturelle
Au Maroc, les librairies sont bien plus que des lieux où on achète des bouquins. Ce sont des espaces de rencontre, de partage et parfois même de débat. En 2025, 71 projets liés aux librairies ont été soutenus, qu’il s’agisse de créations, de rénovations ou d’animations. Imaginez une librairie flambant neuve dans votre ville, avec des événements littéraires qui attirent du monde. Ça donne envie, non ?
Et puis, il y a les revues culturelles électroniques qui tentent de moderniser le paysage. Même si elles sont encore peu nombreuses, elles montrent que le numérique a sa place dans le monde de l’édition marocain.
Et demain ?
Alors, est-ce que ce soutien va vraiment transformer le secteur du livre au Maroc ? Si l’on en croit les chiffres, il y a de quoi être optimiste. Mais il faudra aussi que les lecteurs jouent le jeu. Parce qu’au final, un livre, c’est fait pour être lu, pas juste pour décorer une bibliothèque.
Une industrie qui tourne la page
Chaque année, le ministère dévoile les résultats de son soutien au secteur du livre. En 2025, la commission a étudié pas moins de 758 projets avant de retenir les plus prometteurs. Parmi les heureux élus, on retrouve des initiatives variées :
- 120 projets de publication de livres, pour un total de 2,3 millions de dirhams.
- 47 revues culturelles (papier ou numériques), soutenues à hauteur de 1 million de dirhams.
- Et même des projets adaptés aux personnes en situation de handicap visuel, parce que la lecture doit être accessible à tous.
Mais ce n’est pas tout ! Les écrivains marocains auront aussi la chance de participer à des résidences d’auteurs et à des salons internationaux du livre, avec un budget dédié de 4,2 millions de dirhams. De quoi faire rayonner les talents locaux au-delà des frontières.
Zoom sur le Maroc : des librairies au cœur de la vie culturelle
Au Maroc, les librairies sont bien plus que des lieux où on achète des bouquins. Ce sont des espaces de rencontre, de partage et parfois même de débat. En 2025, 71 projets liés aux librairies ont été soutenus, qu’il s’agisse de créations, de rénovations ou d’animations. Imaginez une librairie flambant neuve dans votre ville, avec des événements littéraires qui attirent du monde. Ça donne envie, non ?
Et puis, il y a les revues culturelles électroniques qui tentent de moderniser le paysage. Même si elles sont encore peu nombreuses, elles montrent que le numérique a sa place dans le monde de l’édition marocain.
Et demain ?
Alors, est-ce que ce soutien va vraiment transformer le secteur du livre au Maroc ? Si l’on en croit les chiffres, il y a de quoi être optimiste. Mais il faudra aussi que les lecteurs jouent le jeu. Parce qu’au final, un livre, c’est fait pour être lu, pas juste pour décorer une bibliothèque.