C’est une avancée historique qui mérite d’être saluée : pour la première fois, le Maroc franchit le seuil symbolique de l’indice de développement humain (IDH) de 0,700 et rejoint officiellement la catégorie des pays à développement humain élevé, selon le Rapport mondial 2025 du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). Publié ce mardi 6 mai à New York, le rapport intitulé « Une question de choix : les personnes et les possibilités à l’ère de l’intelligence artificielle » consacre ainsi les efforts continus du Royaume en matière de santé, d’éducation et de qualité de vie.
Ce franchissement d’un palier décisif n’est pas le fruit du hasard, mais celui d’une dynamique de transformation profonde et soutenue. Le Maroc, longtemps classé dans les catégories inférieures du développement humain, a progressivement redressé ses indicateurs grâce à des politiques volontaristes orientées vers le renforcement du capital humain. L’amélioration de l’espérance de vie, la scolarisation accrue des jeunes générations, la lutte contre la pauvreté multidimensionnelle et les avancées notables dans les infrastructures éducatives et sanitaires en témoignent.
Le rapport du PNUD souligne également le rôle structurant de la gouvernance marocaine, citant les efforts de réforme conduits sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu L’Assiste. La stratégie de long terme en matière de développement humain, amorcée il y a plus de deux décennies, commence à porter ses fruits de manière tangible. Mieux encore : le Royaume figure désormais parmi les pays à faible taux de pauvreté multidimensionnelle, une avancée d’autant plus significative dans un contexte global où de nombreuses nations peinent à faire reculer durablement les inégalités.
Autre point positif : la réduction de l’Indice d’Inégalité de Genre (GII), qui marque une progression vers plus d’égalité entre les sexes, notamment à travers l'accès des femmes à l’éducation et à l’emploi. Bien que les défis restent nombreux, ces signaux positifs laissent entrevoir un Maroc plus inclusif et résilient, tourné vers un développement durable et équitable.
Pourtant, le rapport invite à ne pas baisser la garde. Il note que, malgré les progrès, le rythme mondial du développement humain tend à ralentir, en particulier à la suite des revers des années 2020-2021 liés à la pandémie de COVID-19. Si ce ralentissement se poursuit, il pourrait compromettre les objectifs de développement pour les décennies à venir. D’où l’importance, pour le Maroc, de maintenir le cap et d’accélérer les réformes pour que cette dynamique positive devienne irréversible.
Ce franchissement d’un palier décisif n’est pas le fruit du hasard, mais celui d’une dynamique de transformation profonde et soutenue. Le Maroc, longtemps classé dans les catégories inférieures du développement humain, a progressivement redressé ses indicateurs grâce à des politiques volontaristes orientées vers le renforcement du capital humain. L’amélioration de l’espérance de vie, la scolarisation accrue des jeunes générations, la lutte contre la pauvreté multidimensionnelle et les avancées notables dans les infrastructures éducatives et sanitaires en témoignent.
Le rapport du PNUD souligne également le rôle structurant de la gouvernance marocaine, citant les efforts de réforme conduits sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu L’Assiste. La stratégie de long terme en matière de développement humain, amorcée il y a plus de deux décennies, commence à porter ses fruits de manière tangible. Mieux encore : le Royaume figure désormais parmi les pays à faible taux de pauvreté multidimensionnelle, une avancée d’autant plus significative dans un contexte global où de nombreuses nations peinent à faire reculer durablement les inégalités.
Autre point positif : la réduction de l’Indice d’Inégalité de Genre (GII), qui marque une progression vers plus d’égalité entre les sexes, notamment à travers l'accès des femmes à l’éducation et à l’emploi. Bien que les défis restent nombreux, ces signaux positifs laissent entrevoir un Maroc plus inclusif et résilient, tourné vers un développement durable et équitable.
Pourtant, le rapport invite à ne pas baisser la garde. Il note que, malgré les progrès, le rythme mondial du développement humain tend à ralentir, en particulier à la suite des revers des années 2020-2021 liés à la pandémie de COVID-19. Si ce ralentissement se poursuit, il pourrait compromettre les objectifs de développement pour les décennies à venir. D’où l’importance, pour le Maroc, de maintenir le cap et d’accélérer les réformes pour que cette dynamique positive devienne irréversible.
Derrière cette bonne nouvelle se cache néanmoins une réalité plus contrastée.
Rejoindre la catégorie des pays à développement humain élevé est certes un pas de géant, mais cela ne doit pas masquer les inégalités internes persistantes, notamment entre zones urbaines et rurales, ou entre les régions les plus développées et les plus marginalisées du pays. De même, le simple seuil de 0,700 peut donner une impression de progrès linéaire alors que de nombreux Marocains restent confrontés à des services de base défaillants ou à un accès limité aux opportunités économiques. Il est donc urgent de transformer cette reconnaissance internationale en un levier d’exigence nationale.