Ce que le Maroc propose n’est pas un compromis politique, mais une théorie nouvelle de la souveraineté :
Une capabilité institutionnelle au sens d’Amartya Sen, une légitimation communicationnelle du droit au sens de Habermas, une modernisation enracinée au sens de Fukuyama.
Face à un droit international souvent prisonnier de ses dogmes postcoloniaux, le réalisme normatif marocain introduit une révolution silencieuse : celle d’un État capable d’intégrer la diversité sans renoncer à son unité, d’articuler l’histoire et la modernité, le pouvoir et la justice.
C’est là le véritable tournant du XXIᵉ siècle juridique : la fin de la souveraineté close, le début d’un droit international fondé sur la co-légitimité et la responsabilité partagée.
PAR LAHCEN HADDAD/LE360.MA
Thread de tweets sur le sujet par Lahcen HADDAD
Face à un droit international souvent prisonnier de ses dogmes postcoloniaux, le réalisme normatif marocain introduit une révolution silencieuse : celle d’un État capable d’intégrer la diversité sans renoncer à son unité, d’articuler l’histoire et la modernité, le pouvoir et la justice.
C’est là le véritable tournant du XXIᵉ siècle juridique : la fin de la souveraineté close, le début d’un droit international fondé sur la co-légitimité et la responsabilité partagée.
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