Réactions au Maroc : Elbakkali, symbole d’une solidarité active
À Gaza, la faim ne connaît pas de pause. Ce week-end, 25 tonnes d’aide humanitaire ont été larguées par avion. Mais pendant que les colis tombent du ciel, une autre initiative a été brutalement stoppée en mer : le bateau Handala, parti pour briser le blocus et livrer des vivres, a été arraisonné par les forces israéliennes. À bord, des militants du monde entier… et un Marocain : le journaliste Mohamed Elbakkali.
25 tonnes d’aide, c’est mieux que rien, mais c’est loin de suffire. Les familles gazaouies survivent au jour le jour, parfois avec un seul repas, parfois rien du tout. Les images des enfants courant après les colis largués font le tour des réseaux. Mais pendant que les gouvernements se contentent de miettes, des citoyens, eux, décident d’agir autrement.
C’est là qu’intervient l’initiative Handala. Ce bateau, parti de Grèce, transportait des vivres et des médicaments pour Gaza. À son bord, des militants venus de plusieurs pays, parmi eux Mohamed Elbakkali, journaliste marocain engagé. Leur objectif : franchir le blocus illégal et apporter un peu de répit à une population affamée. Mais avant même d’atteindre la côte, le Handala a été intercepté par la marine israélienne. L’équipage a été arrêté, Elbakkali compris. Un acte qui a choqué et mobilisé jusqu’au Maroc.
Pendant que le Handala tentait l’impossible, la plupart des pays arabes restaient silencieux, se contentant de communiqués sans effet. Ce silence, ici au Maroc, fait grincer des dents. Où est passée la solidarité arabe ? Heureusement, des voix marocaines s’élèvent, portées par l’exemple d’Elbakkali, devenu symbole d’une résistance active et courageuse.
Sur les réseaux, l’arrestation d’Elbakkali a déclenché une vague d’indignation. Beaucoup saluent son courage et celui de l’équipage du Handala. Dans les cafés, on en parle comme d’un match truqué où certains refusent de quitter le terrain. La solidarité marocaine se manifeste : collectes, prières, hashtags, tout y passe pour soutenir Gaza et réclamer la libération du journaliste.
Que va-t-il se passer maintenant ? Les largages d’aide et les initiatives citoyennes montrent que la résistance ne faiblit pas, malgré la répression et le blocus. Tant qu’il y aura des Elbakkali pour porter la voix des sans-voix, l’espoir restera vivant. Ici au Maroc, on garde les yeux rivés sur Gaza, prêts à soutenir, à dénoncer et à résister, coûte que coûte.
25 tonnes d’aide, c’est mieux que rien, mais c’est loin de suffire. Les familles gazaouies survivent au jour le jour, parfois avec un seul repas, parfois rien du tout. Les images des enfants courant après les colis largués font le tour des réseaux. Mais pendant que les gouvernements se contentent de miettes, des citoyens, eux, décident d’agir autrement.
C’est là qu’intervient l’initiative Handala. Ce bateau, parti de Grèce, transportait des vivres et des médicaments pour Gaza. À son bord, des militants venus de plusieurs pays, parmi eux Mohamed Elbakkali, journaliste marocain engagé. Leur objectif : franchir le blocus illégal et apporter un peu de répit à une population affamée. Mais avant même d’atteindre la côte, le Handala a été intercepté par la marine israélienne. L’équipage a été arrêté, Elbakkali compris. Un acte qui a choqué et mobilisé jusqu’au Maroc.
Pendant que le Handala tentait l’impossible, la plupart des pays arabes restaient silencieux, se contentant de communiqués sans effet. Ce silence, ici au Maroc, fait grincer des dents. Où est passée la solidarité arabe ? Heureusement, des voix marocaines s’élèvent, portées par l’exemple d’Elbakkali, devenu symbole d’une résistance active et courageuse.
Sur les réseaux, l’arrestation d’Elbakkali a déclenché une vague d’indignation. Beaucoup saluent son courage et celui de l’équipage du Handala. Dans les cafés, on en parle comme d’un match truqué où certains refusent de quitter le terrain. La solidarité marocaine se manifeste : collectes, prières, hashtags, tout y passe pour soutenir Gaza et réclamer la libération du journaliste.
Que va-t-il se passer maintenant ? Les largages d’aide et les initiatives citoyennes montrent que la résistance ne faiblit pas, malgré la répression et le blocus. Tant qu’il y aura des Elbakkali pour porter la voix des sans-voix, l’espoir restera vivant. Ici au Maroc, on garde les yeux rivés sur Gaza, prêts à soutenir, à dénoncer et à résister, coûte que coûte.