Ce film s’inscrit dans une initiative ambitieuse visant à sensibiliser le public et les institutions à la nécessité de réformer les dispositions du Code pénal et du Code de la procédure pénale concernant les enfants en conflit avec la loi. Organisée par le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) et l’Association des rencontres méditerranéennes du cinéma et des droits de l’Homme (ARMCDH), cette projection a rassemblé des acteurs clés du domaine des droits de l’Homme, de la justice et de la culture.
Sous le thème évocateur « Une alliance des institutions, de la société civile et du monde du cinéma pour favoriser la réinsertion et la protection des enfants en conflit avec la loi et prévenir la récidive », l’événement a mis en lumière les défis complexes auxquels ces jeunes sont confrontés. Amina Bouayach, présidente du CNDH, a salué l’approche humaniste et réaliste adoptée par Faouzi Bensaïdi dans son œuvre. Selon elle, le film explore avec finesse les facteurs familiaux, sociaux et économiques qui conduisent certains mineurs à enfreindre la loi. Elle a également rappelé un principe fondamental : « Derrière chaque infraction, il y a une seconde chance à offrir. »
Daniele Dotto, chef de délégation adjoint de l’Union européenne (UE) au Maroc, a souligné l’importance des partenariats entre les institutions marocaines, comme la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR), et les organisations civiles. Il a notamment salué les projections de films organisées au profit de plus de 4 000 enfants incarcérés, une initiative qui vise à promouvoir une culture des droits de l’Homme et à utiliser le cinéma comme levier de réinsertion sociale.
Faouzi Bensaïdi, quant à lui, a décrit « The Kids » comme le fruit d’un dialogue approfondi avec l’ARMCDH sur les réalités des enfants en conflit avec la loi. À travers l’histoire d’un groupe d’enfants découvrant un film de Charlie Chaplin, le court-métrage capte leurs émotions et met en lumière leur vulnérabilité, tout en appelant à une prise de conscience collective.
Produit par l’ARMCDH et soutenu par des institutions telles que l’UE et le CNDH, ce projet s’inscrit dans une démarche plus large visant à utiliser le cinéma comme outil de réforme sociale et politique. « The Kids » n’est pas seulement un film ; c’est un plaidoyer pour une justice plus humaine et une société plus inclusive.
Sous le thème évocateur « Une alliance des institutions, de la société civile et du monde du cinéma pour favoriser la réinsertion et la protection des enfants en conflit avec la loi et prévenir la récidive », l’événement a mis en lumière les défis complexes auxquels ces jeunes sont confrontés. Amina Bouayach, présidente du CNDH, a salué l’approche humaniste et réaliste adoptée par Faouzi Bensaïdi dans son œuvre. Selon elle, le film explore avec finesse les facteurs familiaux, sociaux et économiques qui conduisent certains mineurs à enfreindre la loi. Elle a également rappelé un principe fondamental : « Derrière chaque infraction, il y a une seconde chance à offrir. »
Daniele Dotto, chef de délégation adjoint de l’Union européenne (UE) au Maroc, a souligné l’importance des partenariats entre les institutions marocaines, comme la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR), et les organisations civiles. Il a notamment salué les projections de films organisées au profit de plus de 4 000 enfants incarcérés, une initiative qui vise à promouvoir une culture des droits de l’Homme et à utiliser le cinéma comme levier de réinsertion sociale.
Faouzi Bensaïdi, quant à lui, a décrit « The Kids » comme le fruit d’un dialogue approfondi avec l’ARMCDH sur les réalités des enfants en conflit avec la loi. À travers l’histoire d’un groupe d’enfants découvrant un film de Charlie Chaplin, le court-métrage capte leurs émotions et met en lumière leur vulnérabilité, tout en appelant à une prise de conscience collective.
Produit par l’ARMCDH et soutenu par des institutions telles que l’UE et le CNDH, ce projet s’inscrit dans une démarche plus large visant à utiliser le cinéma comme outil de réforme sociale et politique. « The Kids » n’est pas seulement un film ; c’est un plaidoyer pour une justice plus humaine et une société plus inclusive.