🛠️ R&D à la marocaine, ambition mondiale :
Installé au cœur de l’écosystème industriel marocain, l’ATC n’est pas un simple maillon régional : il collabore avec les autres centres techniques du groupe dans le monde entier, de l’Europe à l’Amérique du Sud. Son effectif impressionne : plus de 900 ingénieurs en interne – et tout autant en externe – dont l’écrasante majorité sont Marocains. Une montée en puissance saluée par Sesia, fier de pouvoir affirmer aujourd’hui que son équipe est “à la même table que les plus grands centres de R&D du groupe”.
Mais ce n’est pas uniquement en volume que l’ATC progresse. C’est aussi – et surtout – dans la complexité des projets. Qu’il s’agisse de véhicules thermiques ou électriques, d’architecture électronique embarquée ou d’intelligence artificielle, les ingénieurs de Casablanca participent activement au développement de technologies de pointe. Avec une logique gagnante : un coût compétitif, une expertise locale, et un ancrage africain qui fait toute la différence.
En parallèle, l’ATC joue un rôle crucial dans l’intégration industrielle locale. Grâce à un modèle de co-développement avec les fournisseurs de rang 1 et 2, et des collaborations avec des centres d’essais comme le CETIEV ou Morocco Mobility à Oued Zem, l’écosystème automobile marocain monte en gamme. Le taux d’intégration atteint déjà 70 %, et Stellantis veut aller encore plus loin.
L’avenir, selon Sesia, est clair : faire du Maroc un hub d’innovation pour tout le continent africain, avec un pied bien ancré en Europe. La croissance n’est pas seulement en effectif, mais en ambition. Et dans les prochaines années, c’est bien la complexité des défis technologiques à relever – électrification, IA, modularité – qui définira le nouveau visage de l’ingénierie automobile, version marocaine.
Mais ce n’est pas uniquement en volume que l’ATC progresse. C’est aussi – et surtout – dans la complexité des projets. Qu’il s’agisse de véhicules thermiques ou électriques, d’architecture électronique embarquée ou d’intelligence artificielle, les ingénieurs de Casablanca participent activement au développement de technologies de pointe. Avec une logique gagnante : un coût compétitif, une expertise locale, et un ancrage africain qui fait toute la différence.
En parallèle, l’ATC joue un rôle crucial dans l’intégration industrielle locale. Grâce à un modèle de co-développement avec les fournisseurs de rang 1 et 2, et des collaborations avec des centres d’essais comme le CETIEV ou Morocco Mobility à Oued Zem, l’écosystème automobile marocain monte en gamme. Le taux d’intégration atteint déjà 70 %, et Stellantis veut aller encore plus loin.
L’avenir, selon Sesia, est clair : faire du Maroc un hub d’innovation pour tout le continent africain, avec un pied bien ancré en Europe. La croissance n’est pas seulement en effectif, mais en ambition. Et dans les prochaines années, c’est bien la complexité des défis technologiques à relever – électrification, IA, modularité – qui définira le nouveau visage de l’ingénierie automobile, version marocaine.