Le comité souligne dans un communiqué que cette journée est une occasion de « mesurer le respect des droits de l’homme par les politiques publiques » et d’exiger des autorités qu’elles « corrigent les déséquilibres » qui affectent ces droits et libertés. Le comité déclare que l’année 2025 « restera marquée par une répression systématique, une injustice flagrante et l’arrestation de citoyens pour avoir simplement exprimé leurs opinions ou revendiqué leurs droits ». Comme il revient sur le « cas des martyrs de Leqliaa », réclamant « vérité et justice » pour les familles des victimes et accusant les forces de la Gendarmerie royale d’avoir utilisé des « balles réelles » contre les citoyens. Il demande également la « libération immédiate et inconditionnelle » des détenus du Mouvement GenZ, exprimant sa solidarité avec leurs familles.
Le comité critique ce qu’il considère comme « l’utilisation de la justice comme un outil de répression », soulignant « l’absence de normes de procès équitable », et mentionnant « la violence lors des arrestations et les conditions inhumaines pendant la détention» , ainsi que « la pression pour signer des déclarations sans les lire ».
Le comité conclut en appelant « les familles des détenus et des martyrs et tous les citoyens » à participer aux manifestations pacifiques et à élever leurs voix contre « les arrestations arbitraires ».
Plusieurs villes marocaines ont vécu au rythme des manifestations en septembre et octobre dernier, à l’appel d’un groupe de jeunes du mouvement « GenZ 212 ». Ces manifestations ont été marquées par des actes de vandalisme commis par des groupes isolés, mais aussi par une vague d’arrestations…
Le comité critique ce qu’il considère comme « l’utilisation de la justice comme un outil de répression », soulignant « l’absence de normes de procès équitable », et mentionnant « la violence lors des arrestations et les conditions inhumaines pendant la détention» , ainsi que « la pression pour signer des déclarations sans les lire ».
Le comité conclut en appelant « les familles des détenus et des martyrs et tous les citoyens » à participer aux manifestations pacifiques et à élever leurs voix contre « les arrestations arbitraires ».
Plusieurs villes marocaines ont vécu au rythme des manifestations en septembre et octobre dernier, à l’appel d’un groupe de jeunes du mouvement « GenZ 212 ». Ces manifestations ont été marquées par des actes de vandalisme commis par des groupes isolés, mais aussi par une vague d’arrestations…