À 53 ans, il se livre sans filtre sur sa vision du temps qui passe, sa quête d’acceptation de soi et les leçons tirées de son parcours. Joué notamment au Dôme de Paris jusqu’au 15 février, « Lui-même » s’inscrit dans une tournée qui traverse la France, la Suisse et la Belgique.
Un regard mature sur le temps et l’humour
Depuis ses débuts modestes en 1994 sur une scène de Montréal devant une poignée de spectateurs, Gad Elmaleh a parcouru un chemin impressionnant. Aujourd’hui, il se dit fier et reconnaissant du parcours accompli. Cependant, ce nouveau spectacle reflète une évolution notable : fini l’humour insouciant et les blagues faciles des débuts. Gad confie avoir gagné en maturité et en exigence. Son humour est désormais plus réfléchi, influencé par le temps et les expériences de vie. Il compare son travail à celui des artisans marocains qu’il admire pour leur précision et leur patience, une métaphore qui illustre sa volonté de perfectionner son art.
L’autodérision comme moteur principal
Sur scène, Gad Elmaleh explore des thèmes variés avec une bonne dose d’autodérision. Il évoque son rapport à l’argent, son célibat et même des situations cocasses comme les formalités liées au consentement dans les relations amoureuses. Toujours prêt à rire de lui-même, il revient également sur les accusations de plagiat dont il a fait l’objet en 2017. Avec humour, il détourne ces critiques en expliquant qu’il n’a pas volé des blagues à des humoristes canadiens… mais américains ! Cette confession teintée d’ironie est aussi une manière pour lui d’aborder les notions de pardon et de repentance.
Une main tendue vers la nouvelle génération
Au-delà de la scène, Gad Elmaleh s’investit dans la transmission. En rachetant le célèbre cabaret Michou à Montmartre pour le transformer en comedy-club, il offre une plateforme aux jeunes talents. Un deuxième établissement a également vu le jour à Marseille. Pour lui, cette démarche est une manière de redonner à la communauté humoristique ce qu’il a reçu.
Un regard mature sur le temps et l’humour
Depuis ses débuts modestes en 1994 sur une scène de Montréal devant une poignée de spectateurs, Gad Elmaleh a parcouru un chemin impressionnant. Aujourd’hui, il se dit fier et reconnaissant du parcours accompli. Cependant, ce nouveau spectacle reflète une évolution notable : fini l’humour insouciant et les blagues faciles des débuts. Gad confie avoir gagné en maturité et en exigence. Son humour est désormais plus réfléchi, influencé par le temps et les expériences de vie. Il compare son travail à celui des artisans marocains qu’il admire pour leur précision et leur patience, une métaphore qui illustre sa volonté de perfectionner son art.
L’autodérision comme moteur principal
Sur scène, Gad Elmaleh explore des thèmes variés avec une bonne dose d’autodérision. Il évoque son rapport à l’argent, son célibat et même des situations cocasses comme les formalités liées au consentement dans les relations amoureuses. Toujours prêt à rire de lui-même, il revient également sur les accusations de plagiat dont il a fait l’objet en 2017. Avec humour, il détourne ces critiques en expliquant qu’il n’a pas volé des blagues à des humoristes canadiens… mais américains ! Cette confession teintée d’ironie est aussi une manière pour lui d’aborder les notions de pardon et de repentance.
Une main tendue vers la nouvelle génération
Au-delà de la scène, Gad Elmaleh s’investit dans la transmission. En rachetant le célèbre cabaret Michou à Montmartre pour le transformer en comedy-club, il offre une plateforme aux jeunes talents. Un deuxième établissement a également vu le jour à Marseille. Pour lui, cette démarche est une manière de redonner à la communauté humoristique ce qu’il a reçu.
« Je préfère créer des comedy-clubs où des talents vont être découverts, plutôt que d’avoir un jour une rue à mon nom », confie-t-il avec humilité.