Le Maroc continue de faire parler de lui sur la scène internationale du cinéma d’animation. Cette année, c’est le projet "Harun & Mamun", un court-métrage en stop motion signé Jihane Joypaul, qui a été sélectionné parmi les meilleurs au prestigieux programme MIFA Pitches Partenaires du Festival d’Annecy. Une belle reconnaissance pour un secteur en pleine ébullition dans le royaume.
Un récit entre émotion et catastrophe
"Harun & Mamun", c’est l’histoire d’un père et de son fils, pris dans un monde figé par l’impact imminent d’une météorite. À travers cette suspension du temps, le film explore les blessures d’un lien familial à reconstruire. Inspiré par l’esthétique urbaine de Casablanca, ce court-métrage de 13 minutes mêle émotion et narration sensorielle.
La réalisatrice Jihane Joypaul, déjà saluée pour son audace artistique, a choisi le stop motion pour donner vie à son univers. Une technique exigeante mais qui, ici, sert parfaitement l’intensité de l’histoire. Avec des décors minutieusement fabriqués au sein du premier studio marocain de stop motion, installé à la Flow Motion School, ce projet fait preuve d’une ambition rare dans le paysage cinématographique marocain.
Un récit entre émotion et catastrophe
"Harun & Mamun", c’est l’histoire d’un père et de son fils, pris dans un monde figé par l’impact imminent d’une météorite. À travers cette suspension du temps, le film explore les blessures d’un lien familial à reconstruire. Inspiré par l’esthétique urbaine de Casablanca, ce court-métrage de 13 minutes mêle émotion et narration sensorielle.
La réalisatrice Jihane Joypaul, déjà saluée pour son audace artistique, a choisi le stop motion pour donner vie à son univers. Une technique exigeante mais qui, ici, sert parfaitement l’intensité de l’histoire. Avec des décors minutieusement fabriqués au sein du premier studio marocain de stop motion, installé à la Flow Motion School, ce projet fait preuve d’une ambition rare dans le paysage cinématographique marocain.
Un projet porté par des collaborations internationales
Produit par Ali Rguigue, figure clé du cinéma d’animation au Maroc, "Harun & Mamun" bénéficie de soutiens prestigieux. En plus du Centre Cinématographique Marocain (CCM), des institutions comme l’Institut Français du Maroc et le Festival Animasyros ont contribué à sa réalisation. Cette dynamique collaborative illustre la montée en puissance de l’animation marocaine sur la scène mondiale.
Présenté officiellement le 12 juin à l’Impérial Palace d’Annecy, le projet a été salué par des figures majeures de l’animation internationale, telles que Matt Groening (créateur des Simpsons) et Ron Clements (réalisateur d’Aladdin). Une reconnaissance qui confirme le potentiel du cinéma marocain à rivaliser avec les grands noms du secteur.
Un écosystème en pleine structuration
L’essor de l’animation au Maroc ne s’arrête pas là. Avec des projets comme "Malik" de Khalid Nait Zlay et la création d’un hub africain baptisé "Africa and Diaspora Animation", le royaume s’impose comme un acteur clé de l’animation sur le continent. Ce réseau panafricain, qui regroupe déjà plus de 50 membres, vise à renforcer la coopération et à créer des passerelles entre les talents de la diaspora et les professionnels africains.
Présenté officiellement le 12 juin à l’Impérial Palace d’Annecy, le projet a été salué par des figures majeures de l’animation internationale, telles que Matt Groening (créateur des Simpsons) et Ron Clements (réalisateur d’Aladdin). Une reconnaissance qui confirme le potentiel du cinéma marocain à rivaliser avec les grands noms du secteur.
Un écosystème en pleine structuration
L’essor de l’animation au Maroc ne s’arrête pas là. Avec des projets comme "Malik" de Khalid Nait Zlay et la création d’un hub africain baptisé "Africa and Diaspora Animation", le royaume s’impose comme un acteur clé de l’animation sur le continent. Ce réseau panafricain, qui regroupe déjà plus de 50 membres, vise à renforcer la coopération et à créer des passerelles entre les talents de la diaspora et les professionnels africains.