L’automobile, colonne vertébrale industrielle :
Le secteur aurait dépassé le seuil des 700.000 véhicules produits annuellement, principalement destinés aux marchés européens. Le classement met en avant la position exportatrice du Royaume et, d’après la plateforme, sa capacité à gagner des parts de marché face à des fournisseurs asiatiques sur certains segments. (Cette affirmation est rapportée telle quelle et relève de l’attribution à la source.)
“The African Exponent” attribue cette progression à une combinaison de politiques industrielles planifiées et d’investissements dans des écosystèmes dédiés : Zones d’accélération industrielle à Tanger (notamment autour du port Tanger Med) Zone franche et pôle aéronautico‑automobile “Midparc” à Casablanca Selon la plateforme, ces infrastructures offrent : Chaînes logistiques rationalisées (proximité portuaire réduisant délais et coûts) Accès fiable aux ressources énergétiques Effets d’agglomération (constructeurs, équipementiers, sous‑traitants) renforçant la compétitivité-coût et la réactivité à la demande européenne. Avantage géostratégique et compétitivité, le Maroc capitaliserait sur : Sa position de porte d’entrée Sud de l’Europe (temps de transit maritime court) Une main-d’œuvre formée via des instituts co‑construits avec les industriels Des incitations fiscales et douanières applicables dans les zones franches Un cadre d’intégration locale croissante (montée du taux d’intégration des composants) Prochaines marges de progression (selon l’analyse citée) Élargissement vers le véhicule électrique (chaînes de valeur batteries / cathodes) Renforcement des capacités d’ingénierie et R&D locale Diversification des marchés hors UE pour réduire la dépendance conjoncturelle. Les éléments chiffrés et comparatifs sont attribués à “The African Exponent”. Aucune donnée détaillée ventilée (taux d’intégration, part exacte par destination ou comparaison chiffrée avec les flux chinois ou japonais vers l’Europe) n’a été fournie dans l’extrait consulté.
“The African Exponent” attribue cette progression à une combinaison de politiques industrielles planifiées et d’investissements dans des écosystèmes dédiés : Zones d’accélération industrielle à Tanger (notamment autour du port Tanger Med) Zone franche et pôle aéronautico‑automobile “Midparc” à Casablanca Selon la plateforme, ces infrastructures offrent : Chaînes logistiques rationalisées (proximité portuaire réduisant délais et coûts) Accès fiable aux ressources énergétiques Effets d’agglomération (constructeurs, équipementiers, sous‑traitants) renforçant la compétitivité-coût et la réactivité à la demande européenne. Avantage géostratégique et compétitivité, le Maroc capitaliserait sur : Sa position de porte d’entrée Sud de l’Europe (temps de transit maritime court) Une main-d’œuvre formée via des instituts co‑construits avec les industriels Des incitations fiscales et douanières applicables dans les zones franches Un cadre d’intégration locale croissante (montée du taux d’intégration des composants) Prochaines marges de progression (selon l’analyse citée) Élargissement vers le véhicule électrique (chaînes de valeur batteries / cathodes) Renforcement des capacités d’ingénierie et R&D locale Diversification des marchés hors UE pour réduire la dépendance conjoncturelle. Les éléments chiffrés et comparatifs sont attribués à “The African Exponent”. Aucune donnée détaillée ventilée (taux d’intégration, part exacte par destination ou comparaison chiffrée avec les flux chinois ou japonais vers l’Europe) n’a été fournie dans l’extrait consulté.