Iran : Khamenei dit non aux USA, les tensions persistes
Concrètement, dans un discours public, Khamenei a déclaré que "nos problèmes sont insolvables" sans dialogue direct, citant des divergences profondes sur des questions comme le nucléaire, les sanctions et les influences régionales. Cela survient après des spéculations sur un possible dégel post-élections US, mais confirme une ligne dure, sans ouverture immédiate. La déclaration est confirmée par des médias officiels iraniens, sans réaction immédiate de Washington.
Globalement, ce refus bloque une potentielle diplomatie, maintenant les sanctions US qui pèsent sur l'économie iranienne et influencent les marchés énergétiques mondiaux – pense à l'impact sur les prix du pétrole. Géopolitiquement, ça renforce les alliances anti-occidentales, avec des répercussions au Moyen-Orient. Pour nous au Maroc, c'est vigilant : nos relations équilibrées avec les USA et l'Iran (via des échanges commerciaux modestes) pourraient être affectées, surtout si les tensions font grimper les coûts énergétiques – wach tu imagines des hausses au Maroc comme en 2022 ? Ça touche aussi notre diplomatie neutre, alignée sur la non-ingérence, et notre diaspora en Iran ou aux USA, qui suit ces évolutions pour les opportunités d'affaires.
Il est important de garder en tête trois repères clés : d'abord, l'accord nucléaire de 2015 rompu par Trump en 2018. Ensuite, des tentatives de relance sous Biden en 2021-2023, échouées. Enfin, en 2025, les tensions persistent avec des incidents régionaux impliquant des proxies iraniens.
Les réactions sont polarisées : sur les réseaux, #IranUS et #Khamenei trending, avec des soutiens iraniens saluant la "fermeté" et des critiques occidentales regrettant une "occasion manquée". Washington n'a pas réagi officiellement, mais des analystes comme ceux du Brookings Institute parlent d'impasse. Des figures comme l'ONU appellent au dialogue, tandis que les marchés pétroliers fluctuent légèrement, impactant nos importations.
Globalement, ce refus bloque une potentielle diplomatie, maintenant les sanctions US qui pèsent sur l'économie iranienne et influencent les marchés énergétiques mondiaux – pense à l'impact sur les prix du pétrole. Géopolitiquement, ça renforce les alliances anti-occidentales, avec des répercussions au Moyen-Orient. Pour nous au Maroc, c'est vigilant : nos relations équilibrées avec les USA et l'Iran (via des échanges commerciaux modestes) pourraient être affectées, surtout si les tensions font grimper les coûts énergétiques – wach tu imagines des hausses au Maroc comme en 2022 ? Ça touche aussi notre diplomatie neutre, alignée sur la non-ingérence, et notre diaspora en Iran ou aux USA, qui suit ces évolutions pour les opportunités d'affaires.
Il est important de garder en tête trois repères clés : d'abord, l'accord nucléaire de 2015 rompu par Trump en 2018. Ensuite, des tentatives de relance sous Biden en 2021-2023, échouées. Enfin, en 2025, les tensions persistent avec des incidents régionaux impliquant des proxies iraniens.
Les réactions sont polarisées : sur les réseaux, #IranUS et #Khamenei trending, avec des soutiens iraniens saluant la "fermeté" et des critiques occidentales regrettant une "occasion manquée". Washington n'a pas réagi officiellement, mais des analystes comme ceux du Brookings Institute parlent d'impasse. Des figures comme l'ONU appellent au dialogue, tandis que les marchés pétroliers fluctuent légèrement, impactant nos importations.