Pour la première fois, le festival La Belle Hip Hop a posé ses valises à Marrakech, le vendredi 12 décembre, pour une édition inédite baptisée La Belle Bella Hip Hop. Pensé comme un hommage à la créativité féminine dans les cultures urbaines, l’événement a transformé la ville ocre en scène d’expression et de rencontre artistique.
Créé en Belgique en 2017 par Fatima Elajmi, La Belle Hip Hop n’a pas été qu’un festival: c’est un véritable mouvement mondial dédié à la visibilité des femmes dans le hip-hop et les arts urbains.
Au fil des éditions, il a rassemblé des artistes de plus de huit pays autour d’une programmation éclectique: concerts, battles, expositions, ateliers, conférences et échanges interculturels. Son ambition est restée claire: créer des ponts entre les scènes, défendre la diversité et promouvoir un message d’égalité, d’inclusion et d’empowerment.
Un mouvement international au service de la visibilité des femmes
Dans la continuité de sa vocation itinérante, le festival s’est installé cette année à Marrakech, ville carrefour entre l’Afrique et l’Europe, où la jeunesse, la créativité et le métissage culturel rythment le quotidien.
Jusqu’au 14 décembre, en partenariat avec la Fondation Ali Zaoua et la Positive School, la programmation a pris vie au Centre Culturel Les Étoiles de Jemaâ El Fna.
Entièrement gratuit, le programme a proposé concerts, battles de rap, de danse et de graffiti, ateliers participatifs, tables rondes et rencontres artistiques. Le projet a été soutenu par la Fédération Wallonie-Bruxelles et le Ministère marocain de la Culture.
Pour cette première édition africaine, des artistes venues de Belgique et du Maroc ont uni leurs disciplines: rap, danse, graffiti pour donner naissance à une rencontre inédite, créative et humaine.
Le festival a mis en lumière des femmes porteuses d’une énergie collective qui dépasse les frontières et redéfinit la place féminine dans la culture urbaine.
Fidèle à ses valeurs fondatrices, La Belle Hip Hop a réaffirmé son engagement pour la diversité, le respect et la lutte contre les violences faites aux femmes, en utilisant l’art comme vecteur de sensibilisation.
Cette édition a marqué une étape importante dans la volonté du festival de s’ancrer sur le continent africain et de contribuer au rayonnement international de la scène hip-hop féminine.
Créé en Belgique en 2017 par Fatima Elajmi, La Belle Hip Hop n’a pas été qu’un festival: c’est un véritable mouvement mondial dédié à la visibilité des femmes dans le hip-hop et les arts urbains.
Au fil des éditions, il a rassemblé des artistes de plus de huit pays autour d’une programmation éclectique: concerts, battles, expositions, ateliers, conférences et échanges interculturels. Son ambition est restée claire: créer des ponts entre les scènes, défendre la diversité et promouvoir un message d’égalité, d’inclusion et d’empowerment.
Un mouvement international au service de la visibilité des femmes
Dans la continuité de sa vocation itinérante, le festival s’est installé cette année à Marrakech, ville carrefour entre l’Afrique et l’Europe, où la jeunesse, la créativité et le métissage culturel rythment le quotidien.
Jusqu’au 14 décembre, en partenariat avec la Fondation Ali Zaoua et la Positive School, la programmation a pris vie au Centre Culturel Les Étoiles de Jemaâ El Fna.
Entièrement gratuit, le programme a proposé concerts, battles de rap, de danse et de graffiti, ateliers participatifs, tables rondes et rencontres artistiques. Le projet a été soutenu par la Fédération Wallonie-Bruxelles et le Ministère marocain de la Culture.
Pour cette première édition africaine, des artistes venues de Belgique et du Maroc ont uni leurs disciplines: rap, danse, graffiti pour donner naissance à une rencontre inédite, créative et humaine.
Le festival a mis en lumière des femmes porteuses d’une énergie collective qui dépasse les frontières et redéfinit la place féminine dans la culture urbaine.
Fidèle à ses valeurs fondatrices, La Belle Hip Hop a réaffirmé son engagement pour la diversité, le respect et la lutte contre les violences faites aux femmes, en utilisant l’art comme vecteur de sensibilisation.
Cette édition a marqué une étape importante dans la volonté du festival de s’ancrer sur le continent africain et de contribuer au rayonnement international de la scène hip-hop féminine.