Le 31 juillet 1962, des femmes de l'ensemble du continent africains se sont réunies pour la première fois et ont créé la toute première organisation dédiée aux femmes africaines : l'organisation panafricaine des femmes.
Malgré leurs différences ethniques et linguistiques, ces femmes se sont réunies afin d'atteindre ensemble l'amélioration significative des conditions de vie de la femme africaine et son émancipation.
La JIFA fut promulguée par les Nations Unies en 1962, suite à la rencontre des femmes africaines à Dar Es Salam, ancienne capitale de la Tanzanie, avant d'être officiellement consacrée le 31 juillet 1974, lors du premier Congrès de l'Organisation panafricaine des femmes qui s'est tenue au Sénégal.
Elle est célébrée dans plusieurs pays du continent malgré son étroite renommée, et c'est grâce à la JIFA que les droits de la femme en Afrique ont connu une grande amélioration.
Malgré leurs différences ethniques et linguistiques, ces femmes se sont réunies afin d'atteindre ensemble l'amélioration significative des conditions de vie de la femme africaine et son émancipation.
La JIFA fut promulguée par les Nations Unies en 1962, suite à la rencontre des femmes africaines à Dar Es Salam, ancienne capitale de la Tanzanie, avant d'être officiellement consacrée le 31 juillet 1974, lors du premier Congrès de l'Organisation panafricaine des femmes qui s'est tenue au Sénégal.
Elle est célébrée dans plusieurs pays du continent malgré son étroite renommée, et c'est grâce à la JIFA que les droits de la femme en Afrique ont connu une grande amélioration.
La JIFA vers le digital
Inspiré de la sage-femme militante Aoua Keita, première députée du Mali et initiatrice en 1962 avec d'autres militantes de la Journée Panafricaine des femmes aujourd'hui appelée "Journée Internationale de la Femme Africaine", que l'idée d'une contribution digitale à la JIFA a été proposée par Grace Bailhache en 2014.
Cette initiative a apporté visibilité aux femmes africaine inspirantes, pour en arriver à 1001 visages en 2015 leur permettant d'être présentes sur les réseaux sociaux.
Cette contribution bien sûr, cherche à relayer le travail et la créativité dont font preuve un grand nombre de femmes africaines dans tous les domaines.
Inspirer à travers portraits, récits, témoignages entretiens et couronnements symboliques de reines de cœur.
Féliciter celles qui innovent, atteignent leurs objectifs et mettent en valeur les autres.
Et enfin, innover en multipliant les initiatives comme la loterie solidaire ou encore le club de lecture.
ZOUGAGH Malak (Journaliste junior)
Cette initiative a apporté visibilité aux femmes africaine inspirantes, pour en arriver à 1001 visages en 2015 leur permettant d'être présentes sur les réseaux sociaux.
Cette contribution bien sûr, cherche à relayer le travail et la créativité dont font preuve un grand nombre de femmes africaines dans tous les domaines.
Inspirer à travers portraits, récits, témoignages entretiens et couronnements symboliques de reines de cœur.
Féliciter celles qui innovent, atteignent leurs objectifs et mettent en valeur les autres.
Et enfin, innover en multipliant les initiatives comme la loterie solidaire ou encore le club de lecture.
ZOUGAGH Malak (Journaliste junior)