Plus d’un Palestinien sur cinq de la bande de Gaza a perdu la vie depuis le 8 octobre 2023, selon les résultats d’un modèle statistique développé par la revue médicale « The Lancet ».
Après avoir rompu, le 18 mars, le cessez-le-feu conclu avec le Hamas, le 19 janvier, Israël a imposé des restrictions à l’entrée de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, entraînant une famine qui tue à petit feu les Gazaouis, outre ceux qui sont directement éliminés par l’armée israélienne.
74 Palestiniens sont morts de faim dans la bande de Gaza, d’après l’Organisation Mondiale de la Santé, ou le taux de malnutrition a atteint des niveaux « alarmants ». Un euphémisme pour signifier que les dégâts occasionnés par la malnutrition sur les organes humains augurent d’une prochaine hausse brutale et massive de la mortalité parmi les Gazaouis.
Seules les personnes particulièrement stupides ou mal intentionnées peuvent encore répéter la propagande israélienne tentant de justifier le bombardement et le meurtre quotidiens des Gazaouis en quête de nourriture par la guerre contre le Hamas.
Israël tue et affame les Palestiniens de la bande de Gaza pour pousser les survivants à quitter leur terre et ne s’en cache même plus. Qu’a telle à craindre, en effet, alors qu’elle jouit du soutien actif des Etats-Unis et de la complicité passive de la communauté internationale qui assiste, muette, au génocide du 21ème siècle ?
« Plus jamais ça » disait-on à propos du génocide des Juifs perpétrés par les Nazis, le siècle dernier. Pourtant, ce sont les descendants des victimes de la Shoah qui se sont transformés en bourreaux. Hitler aurait-il, en fin de compte, réussi en façonnant les descendants de ses victimes à son image ?
Il n’est même plus possible de prétendre que « l’on ne savait pas », comme il a été dit du génocide des Juifs par les Nazis. Le monde entier suit, en direct à travers les réseaux sociaux, le génocide des Palestiniens perpétré par les Sionistes.
Auschwitz a été dupliquée à Gaza, au vu et au su de l’ensemble de l’humanité. Même les Juifs y perdent le capital de sympathie généré par l’Holocauste, cruellement ravagé par les Sionistes.
Le réalisme politique qui détermine le comportement des Etats ne saurait justifier l’absence totale de pitié et de compassion. Les condamnations verbales, démenties par l’inaction face au crime, rendent encore plus écœurante l’hypocrisie de la communauté internationale.
Le droit international ne joue même plus son rôle de feuille de vigne pour dissimuler la complicité par inertie face au génocide en cours dans la bande de Gaza.
Encore une fois, l’humanité a perdu, tétanisée par le Mal. Une fois de plus, elle va se chercher des excuses pour taire sa lâcheté.
Pardon aux Gazaouis de n'avoir qu'un clavier pour exprimer l'indignation, pour dire "Non au génocide".
Après avoir rompu, le 18 mars, le cessez-le-feu conclu avec le Hamas, le 19 janvier, Israël a imposé des restrictions à l’entrée de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, entraînant une famine qui tue à petit feu les Gazaouis, outre ceux qui sont directement éliminés par l’armée israélienne.
74 Palestiniens sont morts de faim dans la bande de Gaza, d’après l’Organisation Mondiale de la Santé, ou le taux de malnutrition a atteint des niveaux « alarmants ». Un euphémisme pour signifier que les dégâts occasionnés par la malnutrition sur les organes humains augurent d’une prochaine hausse brutale et massive de la mortalité parmi les Gazaouis.
Seules les personnes particulièrement stupides ou mal intentionnées peuvent encore répéter la propagande israélienne tentant de justifier le bombardement et le meurtre quotidiens des Gazaouis en quête de nourriture par la guerre contre le Hamas.
Israël tue et affame les Palestiniens de la bande de Gaza pour pousser les survivants à quitter leur terre et ne s’en cache même plus. Qu’a telle à craindre, en effet, alors qu’elle jouit du soutien actif des Etats-Unis et de la complicité passive de la communauté internationale qui assiste, muette, au génocide du 21ème siècle ?
« Plus jamais ça » disait-on à propos du génocide des Juifs perpétrés par les Nazis, le siècle dernier. Pourtant, ce sont les descendants des victimes de la Shoah qui se sont transformés en bourreaux. Hitler aurait-il, en fin de compte, réussi en façonnant les descendants de ses victimes à son image ?
Il n’est même plus possible de prétendre que « l’on ne savait pas », comme il a été dit du génocide des Juifs par les Nazis. Le monde entier suit, en direct à travers les réseaux sociaux, le génocide des Palestiniens perpétré par les Sionistes.
Auschwitz a été dupliquée à Gaza, au vu et au su de l’ensemble de l’humanité. Même les Juifs y perdent le capital de sympathie généré par l’Holocauste, cruellement ravagé par les Sionistes.
Le réalisme politique qui détermine le comportement des Etats ne saurait justifier l’absence totale de pitié et de compassion. Les condamnations verbales, démenties par l’inaction face au crime, rendent encore plus écœurante l’hypocrisie de la communauté internationale.
Le droit international ne joue même plus son rôle de feuille de vigne pour dissimuler la complicité par inertie face au génocide en cours dans la bande de Gaza.
Encore une fois, l’humanité a perdu, tétanisée par le Mal. Une fois de plus, elle va se chercher des excuses pour taire sa lâcheté.
Pardon aux Gazaouis de n'avoir qu'un clavier pour exprimer l'indignation, pour dire "Non au génocide".