Le gouvernement a dévoilé ce jeudi son plan pour l’emploi, auquel il a alloué une enveloppe exceptionnelle de 14 milliards de dirhams pour la seule année 2025.
Lors du point de presse suivant la réunion hebdomadaire du Conseil de gouvernement, le porte-parole de l’Exécutif, Mustapha Baitas, a précisé que cette initiative vise à répondre aux nouveaux défis du marché du travail, en lien notamment avec les transformations structurelles induites par les changements climatiques.
Il a souligné que le gouvernement a mené de vastes consultations dans une démarche participative, impliquant les secteurs économiques et sociaux ainsi que les employeurs, notamment à travers la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM).
Les travaux, qui se sont étalés sur environ six mois, ont permis d’aboutir à des programmes ciblés. Le premier axe porte sur le soutien à l’investissement à travers une nouvelle offre gouvernementale, destinée à encourager les petites et moyennes entreprises à créer de l’emploi, dans la continuité de la mise en œuvre de la Charte de l’investissement, tout en poursuivant l’accompagnement des grands projets.
Le deuxième axe concerne la refonte et l’élargissement des programmes d’emploi actifs afin d’inclure les personnes sans diplôme. Une nouvelle offre gouvernementale sera ainsi déployée à travers l’Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences (ANAPEC), avec, en complément, un programme de formation en alternance dans plusieurs secteurs.
Quant au troisième volet, il prévoit un dispositif spécifique pour les populations rurales, en particulier les petits agriculteurs et les éleveurs, en soutenant des projets locaux générateurs de revenus et de nouveaux emplois.
Le ministre de l’Emploi, Younes Sekkouri, qui a présenté ce plan lors du Conseil de gouvernement, a par ailleurs indiqué que des mesures significatives seront mises en place pour lutter contre le décrochage scolaire, restructurer les parcours de formation et instaurer une gouvernance de nouvelle génération. Celle-ci reposera sur la collecte et l’analyse des données du marché du travail ainsi que sur la mobilisation des différents départements ministériels et partenaires dans le cadre d’engagements contractuels.
Lors du point de presse suivant la réunion hebdomadaire du Conseil de gouvernement, le porte-parole de l’Exécutif, Mustapha Baitas, a précisé que cette initiative vise à répondre aux nouveaux défis du marché du travail, en lien notamment avec les transformations structurelles induites par les changements climatiques.
Il a souligné que le gouvernement a mené de vastes consultations dans une démarche participative, impliquant les secteurs économiques et sociaux ainsi que les employeurs, notamment à travers la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM).
Les travaux, qui se sont étalés sur environ six mois, ont permis d’aboutir à des programmes ciblés. Le premier axe porte sur le soutien à l’investissement à travers une nouvelle offre gouvernementale, destinée à encourager les petites et moyennes entreprises à créer de l’emploi, dans la continuité de la mise en œuvre de la Charte de l’investissement, tout en poursuivant l’accompagnement des grands projets.
Le deuxième axe concerne la refonte et l’élargissement des programmes d’emploi actifs afin d’inclure les personnes sans diplôme. Une nouvelle offre gouvernementale sera ainsi déployée à travers l’Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences (ANAPEC), avec, en complément, un programme de formation en alternance dans plusieurs secteurs.
Quant au troisième volet, il prévoit un dispositif spécifique pour les populations rurales, en particulier les petits agriculteurs et les éleveurs, en soutenant des projets locaux générateurs de revenus et de nouveaux emplois.
Le ministre de l’Emploi, Younes Sekkouri, qui a présenté ce plan lors du Conseil de gouvernement, a par ailleurs indiqué que des mesures significatives seront mises en place pour lutter contre le décrochage scolaire, restructurer les parcours de formation et instaurer une gouvernance de nouvelle génération. Celle-ci reposera sur la collecte et l’analyse des données du marché du travail ainsi que sur la mobilisation des différents départements ministériels et partenaires dans le cadre d’engagements contractuels.