À Paris, on ne lit plus Le Monde, on le dissèque… Jadis journal de référence, aujourd’hui feuilletoniste en chef, l’organe du boulevard Blanqui s’improvise paparazzi de palais exotiques… Son obsession ? Le Maroc… Sa cible préférée ? SM le Roi Mohammed VI… Ses armes ? La loupe déformante, l’encre acide et les insinuations recyclées…
Mais posons la question : quand le journal « Le Monde » s’est-il jamais penché avec une telle frénésie sur la jeunesse de Macron, ses complexes d’adolescent pianotant du piano au Touquet, ses querelles de famille et ses boîtes de nuit de province ? Silence… Circulez… Et l’on attend encore le roman-photo sur Juan Carlos et ses valises, Chirac et ses steaks-frites, ou les princes du Golf et leurs excès pétroliers... Rien… Nada... Omerta totale. Mais pour Sa Majesté le Roi Mohammed VI, là, miracle : les rotatives se transforment en microscope, les journalistes en commères de salon de coiffure…
La raison ? Simple comme une dépêche de l’AFP : le Maroc a cessé de jouer l’élève docile, a cessé de tendre l’oreille aux sermons du parrain parisien... Et depuis que Rabat et Paris ont enterré la hache de guerre diplomatique, il y en a que ça gratte, que ça démange, que ça fait tousser dans les colonnes… Urticaire éditorial : diagnostic vital engagé…
Car voilà le crime de lèse-journalisme : Mohammed VI n’est pas Hassan II… Moins tribun, plus bâtisseur… Moins micro, plus bulldozer… Pas de phrases flamboyantes pour faire vibrer les pupitres des éditorialistes... Juste des routes, des TGV, des ports, des câbles sous-marins, des entreprises marocaines qui plantent leurs drapeaux en Afrique… le Maroc de 2025 n’est pas celui de 1999… Les autoroutes parlent mieux que les éditos... Les satellites démentent les potins… Et la croissance, elle, ne bégaye pas… Bref : du concret. Et ça, à Paris, ça dérange… Un Roi qui ne fait pas de cinéma, qui fuit les micros, qui préfère les chantiers aux discours : forcément, ça fait mauvais papier…
Au fond, ce qui ronge Le Monde, c’est moins Sa Majesté le Roi Mohammed VI que ce Maroc qui ose exister sans permission parisienne... Un pays du Sud, monarchique qui plus est, qui ne demande plus l’accréditation des grands prêtres de la rive gauche pour avancer… Et c’est là, précisément, que réside le blasphème : on ne pardonne jamais aux anciens protégés de réussir sans maître…
Et pourtant, à chaque fois que Le Monde sort “l’enquête qui va ébranler Rabat”, la montagne accouche d’une souris… Pegasus ? Un roman de gare... Sahara ? Toujours la même rengaine néocoloniale… Droits de l’homme ? Sélectifs, version géopolitique… Au final, chaque tir sur le Maroc se transforme en pétard mouillé, chaque attaque médiatique en flop magistral…
Pendant ce temps, le Maroc avance… Résilient, constant, insaisissable… Le Royaume s’installe comme puissance régionale, consolide ses alliances africaines, attire investissements et partenariats, tout en consolidant son Sahara… Et Paris, qui croyait encore jouer au professeur, se retrouve recalé : Macron a tout essayé « bouder, sermonner, lever le sourcil.. » et il a fini par venir, penaud, reconnaître devant le Parlement marocain la souveraineté du Royaume... Une reconnaissance de l'Elysée, un renouveau et une modernisation des vieilles coutumes, et une preuve que Le Monde, lui, est resté coincé dans ses illusions perdues…
Mais posons la question : quand le journal « Le Monde » s’est-il jamais penché avec une telle frénésie sur la jeunesse de Macron, ses complexes d’adolescent pianotant du piano au Touquet, ses querelles de famille et ses boîtes de nuit de province ? Silence… Circulez… Et l’on attend encore le roman-photo sur Juan Carlos et ses valises, Chirac et ses steaks-frites, ou les princes du Golf et leurs excès pétroliers... Rien… Nada... Omerta totale. Mais pour Sa Majesté le Roi Mohammed VI, là, miracle : les rotatives se transforment en microscope, les journalistes en commères de salon de coiffure…
La raison ? Simple comme une dépêche de l’AFP : le Maroc a cessé de jouer l’élève docile, a cessé de tendre l’oreille aux sermons du parrain parisien... Et depuis que Rabat et Paris ont enterré la hache de guerre diplomatique, il y en a que ça gratte, que ça démange, que ça fait tousser dans les colonnes… Urticaire éditorial : diagnostic vital engagé…
Car voilà le crime de lèse-journalisme : Mohammed VI n’est pas Hassan II… Moins tribun, plus bâtisseur… Moins micro, plus bulldozer… Pas de phrases flamboyantes pour faire vibrer les pupitres des éditorialistes... Juste des routes, des TGV, des ports, des câbles sous-marins, des entreprises marocaines qui plantent leurs drapeaux en Afrique… le Maroc de 2025 n’est pas celui de 1999… Les autoroutes parlent mieux que les éditos... Les satellites démentent les potins… Et la croissance, elle, ne bégaye pas… Bref : du concret. Et ça, à Paris, ça dérange… Un Roi qui ne fait pas de cinéma, qui fuit les micros, qui préfère les chantiers aux discours : forcément, ça fait mauvais papier…
Au fond, ce qui ronge Le Monde, c’est moins Sa Majesté le Roi Mohammed VI que ce Maroc qui ose exister sans permission parisienne... Un pays du Sud, monarchique qui plus est, qui ne demande plus l’accréditation des grands prêtres de la rive gauche pour avancer… Et c’est là, précisément, que réside le blasphème : on ne pardonne jamais aux anciens protégés de réussir sans maître…
Et pourtant, à chaque fois que Le Monde sort “l’enquête qui va ébranler Rabat”, la montagne accouche d’une souris… Pegasus ? Un roman de gare... Sahara ? Toujours la même rengaine néocoloniale… Droits de l’homme ? Sélectifs, version géopolitique… Au final, chaque tir sur le Maroc se transforme en pétard mouillé, chaque attaque médiatique en flop magistral…
Pendant ce temps, le Maroc avance… Résilient, constant, insaisissable… Le Royaume s’installe comme puissance régionale, consolide ses alliances africaines, attire investissements et partenariats, tout en consolidant son Sahara… Et Paris, qui croyait encore jouer au professeur, se retrouve recalé : Macron a tout essayé « bouder, sermonner, lever le sourcil.. » et il a fini par venir, penaud, reconnaître devant le Parlement marocain la souveraineté du Royaume... Une reconnaissance de l'Elysée, un renouveau et une modernisation des vieilles coutumes, et une preuve que Le Monde, lui, est resté coincé dans ses illusions perdues…
Alors, quand ce journal s’attaque à Rabat, il ne fait en réalité que se tirer une balle dans le pied… Il perd son crédit, sa réputation, et jusqu’à son lectorat, fatigué de voir transformée une “presse libre” en machine à régler des comptes… Car, ne nous y trompons pas : ce qui a été publié par Le Monde et les fuites attribuées à une poignée de fantômes mercenaires ne sont rien d’autre que des élucubrations, du chantage et de la provocation… L’objectif est clair : semer le doute, perturber la stabilité du Maroc, miner la confiance dans l’institution monarchique…
Mais c’est là que les plumitifs parisiens se heurtent à une muraille qu’ils ne comprendront jamais : la force du Maroc réside dans le lien indéfectible entre son peuple et ses Rois… Les campagnes de désinformation n’ont aucun écho auprès des Marocains, qui savent que leur avenir se construit dans la stabilité, sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et de l’institution monarchique légitime…
Le citoyen marocain, lui, n’est pas dupe… Il a toujours été « et demeure » le premier rempart contre les rumeurs, les complots, les manipulations... Avec patriotisme et fidélité, il fait face aux manœuvres hostiles et tourne en dérision les tentatives d’intimidation… Il sait que la seule source fiable, la seule parole qui compte, ce sont les communiqués et les discours de l’institution royale…
Pendant que Rabat creuse des tunnels, Le Monde creuse sa tombe journalistique… À force de transformer la géopolitique en ragots, il finira fossoyeur de lui-même… À ce rythme-là, Le Monde ne sera bientôt plus vendu en kiosque politique mais rangé entre Voici et Public… Car Le Monde ne vit plus de journaux, il survit d’enchères… Ses articles se négocient comme des sacs contrefaits sur un marché de banlieue : à qui mieux-mieux, Qatar, lobbies, ONG de pacotille, officines opaques, barbouzes en manque de mission… Résultat : plus qu’un quotidien, c’est devenu un marché aux puces de la désinformation, où l’investigation a laissé place à la spéculation…
On y recycle à la tonne les rancunes coloniales, les vieilles obsessions post-impériales et les fantasmes d’espions ratés… On y vend du Pegasus sans preuves, du Sahara marocain sans contexte, du “scoop” formaté pour plaire aux nostalgiques d’une époque où Paris croyait encore régenter Rabat, Alger et Dakar comme ses arrière-cours… Mais voilà, la Françafrique n’est plus qu’un cadavre, et Le Monde a choisi de devenir son croque-mort attitré…
Ses reporters devenus mercenaires de la désinformation et ses éditorialistes devenus des VRP du chantage, plus occupés à servir des causes perdues qu’à informer... Ses stars de la plume devenus des Graciet et des Laurent, confondus en flagrant délit de mallette, pris la main dans le sac à billets comme de vulgaires pickpockets de gare… Autant dire que le “journal de référence” n’est plus qu’un journal de révérence… à ses sponsors…
Par Mohammed Yassir Mouline
Mais c’est là que les plumitifs parisiens se heurtent à une muraille qu’ils ne comprendront jamais : la force du Maroc réside dans le lien indéfectible entre son peuple et ses Rois… Les campagnes de désinformation n’ont aucun écho auprès des Marocains, qui savent que leur avenir se construit dans la stabilité, sous la conduite de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et de l’institution monarchique légitime…
Le citoyen marocain, lui, n’est pas dupe… Il a toujours été « et demeure » le premier rempart contre les rumeurs, les complots, les manipulations... Avec patriotisme et fidélité, il fait face aux manœuvres hostiles et tourne en dérision les tentatives d’intimidation… Il sait que la seule source fiable, la seule parole qui compte, ce sont les communiqués et les discours de l’institution royale…
Pendant que Rabat creuse des tunnels, Le Monde creuse sa tombe journalistique… À force de transformer la géopolitique en ragots, il finira fossoyeur de lui-même… À ce rythme-là, Le Monde ne sera bientôt plus vendu en kiosque politique mais rangé entre Voici et Public… Car Le Monde ne vit plus de journaux, il survit d’enchères… Ses articles se négocient comme des sacs contrefaits sur un marché de banlieue : à qui mieux-mieux, Qatar, lobbies, ONG de pacotille, officines opaques, barbouzes en manque de mission… Résultat : plus qu’un quotidien, c’est devenu un marché aux puces de la désinformation, où l’investigation a laissé place à la spéculation…
On y recycle à la tonne les rancunes coloniales, les vieilles obsessions post-impériales et les fantasmes d’espions ratés… On y vend du Pegasus sans preuves, du Sahara marocain sans contexte, du “scoop” formaté pour plaire aux nostalgiques d’une époque où Paris croyait encore régenter Rabat, Alger et Dakar comme ses arrière-cours… Mais voilà, la Françafrique n’est plus qu’un cadavre, et Le Monde a choisi de devenir son croque-mort attitré…
Ses reporters devenus mercenaires de la désinformation et ses éditorialistes devenus des VRP du chantage, plus occupés à servir des causes perdues qu’à informer... Ses stars de la plume devenus des Graciet et des Laurent, confondus en flagrant délit de mallette, pris la main dans le sac à billets comme de vulgaires pickpockets de gare… Autant dire que le “journal de référence” n’est plus qu’un journal de révérence… à ses sponsors…
Par Mohammed Yassir Mouline