Par Adnane Benchakroun
Dans l’ombre des années qui doucement s’enchaînent,
On apprend à devenir, pas à pas, un bon guide.
Parent, ce mot si grand, qui dans nos cœurs résonne,
Se façonne avec temps, patience, et puis s’élargit.
Nul n'est né avec l'art, ce savoir infini,
De bercer une âme dès sa toute première aurore.
C'est au fil des jours, en tâtonnant, qu'on apprend,
À aimer, à tenir, à lâcher, puis à comprendre.
Les erreurs, par mégarde, se glissent dans nos gestes,
Même les plus aimants font face à leurs tempêtes.
Trop choyer son enfant, dans un excès d'amour,
Peut le priver du goût de l'effort, du jour.
À trop vouloir compenser, on perd l'équilibre,
La surprotection enferme dans une bulle.
Dramatiser l'échec scolaire, c'est ignorer
Que chaque faute peut être un pont vers un avenir éclairé.
Dévaloriser, sans voir le potentiel enfoui,
C'est briser des ailes avant le premier envol.
Mauvais modèle parfois, par nos propres fautes,
On oublie que nos actes sont leur plus claire voûte.
Enfreindre nos règles, dans un souffle d'inconstance,
Montre un chemin trouble, pavé d'incohérence.
L’obsession d’être parfait, dans ce rôle si grand,
Nous éloigne de l’essence, du vrai, de l’éclatant.
La crainte de contrarier, de voir dans leurs yeux l'orage,
Ne doit pas nous empêcher d’être leur sage rivage.
On ne naît pas parent, c’est une vérité gravée,
On le devient, à travers épreuves et beautés.
Chaque jour est une page où l’on peut se racheter,
Apprendre de nos fautes, et ensemble, avancer.
Dans l’amour, la confiance, et l’écoute partagée,
Le parent, pas à pas, dans la lumière, est forgé.
Ibn Sînâ, en son temps, aurait peut-être souri,
Voyant que l’art de vivre se tisse dans l’infiniti.
Être parent, c’est naviguer dans l’incertain,
Avec la ferme espérance de tenir la bonne main.
Ainsi, dans ce voyage où l’on apprend sans cesse,
Acceptons nos défauts, nos faiblesses, avec sagesse.
Car être parent, c’est aussi accepter,
Que l’amour véritable est fait d’imperfections sacrées.
Que chaque jour soit l’occasion de s’élever,
De guider nos enfants, sans jamais les brider.
Dans leurs yeux, voyons la promesse des lendemains,
Et marchons à leurs côtés, main dans la main.
Laissons-les explorer, chuter, puis se relever,
Offrons-leur nos cœurs comme un refuge où rêver.
Ainsi, dans chaque épreuve, chaque sourire partagé,
Se forge le parent, dans l'amour et la vérité.
On apprend à devenir, pas à pas, un bon guide.
Parent, ce mot si grand, qui dans nos cœurs résonne,
Se façonne avec temps, patience, et puis s’élargit.
Nul n'est né avec l'art, ce savoir infini,
De bercer une âme dès sa toute première aurore.
C'est au fil des jours, en tâtonnant, qu'on apprend,
À aimer, à tenir, à lâcher, puis à comprendre.
Les erreurs, par mégarde, se glissent dans nos gestes,
Même les plus aimants font face à leurs tempêtes.
Trop choyer son enfant, dans un excès d'amour,
Peut le priver du goût de l'effort, du jour.
À trop vouloir compenser, on perd l'équilibre,
La surprotection enferme dans une bulle.
Dramatiser l'échec scolaire, c'est ignorer
Que chaque faute peut être un pont vers un avenir éclairé.
Dévaloriser, sans voir le potentiel enfoui,
C'est briser des ailes avant le premier envol.
Mauvais modèle parfois, par nos propres fautes,
On oublie que nos actes sont leur plus claire voûte.
Enfreindre nos règles, dans un souffle d'inconstance,
Montre un chemin trouble, pavé d'incohérence.
L’obsession d’être parfait, dans ce rôle si grand,
Nous éloigne de l’essence, du vrai, de l’éclatant.
La crainte de contrarier, de voir dans leurs yeux l'orage,
Ne doit pas nous empêcher d’être leur sage rivage.
On ne naît pas parent, c’est une vérité gravée,
On le devient, à travers épreuves et beautés.
Chaque jour est une page où l’on peut se racheter,
Apprendre de nos fautes, et ensemble, avancer.
Dans l’amour, la confiance, et l’écoute partagée,
Le parent, pas à pas, dans la lumière, est forgé.
Ibn Sînâ, en son temps, aurait peut-être souri,
Voyant que l’art de vivre se tisse dans l’infiniti.
Être parent, c’est naviguer dans l’incertain,
Avec la ferme espérance de tenir la bonne main.
Ainsi, dans ce voyage où l’on apprend sans cesse,
Acceptons nos défauts, nos faiblesses, avec sagesse.
Car être parent, c’est aussi accepter,
Que l’amour véritable est fait d’imperfections sacrées.
Que chaque jour soit l’occasion de s’élever,
De guider nos enfants, sans jamais les brider.
Dans leurs yeux, voyons la promesse des lendemains,
Et marchons à leurs côtés, main dans la main.
Laissons-les explorer, chuter, puis se relever,
Offrons-leur nos cœurs comme un refuge où rêver.
Ainsi, dans chaque épreuve, chaque sourire partagé,
Se forge le parent, dans l'amour et la vérité.