Dans un monde dominé par l’instantanéité, le Maroc, à son rythme effervescent, semble pris entre traditions de lenteur et pression de la modernité. Entre le klaxon nerveux des taxis casablancais et les files d’attente sans fin dans les administrations, nous vivons sous tension constante.
Or, des voix s’élèvent doucement. « J’ai tout arrêté pendant deux mois : téléphone, réunions, stress. Je suis partie à Chefchaouen méditer et apprendre à respirer », confie Salma, cadre supérieure dans une multinationale. Comme elle, de plus en plus de Marocains redécouvrent le besoin fondamental de ralentir.
Dans les médinas, des cafés sans Wi-Fi affichent « Ici, on parle ». À Essaouira, des retraites de silence attirent cadres et créateurs. À Ouarzazate, certains villages relancent le concept de la tbaraa, le repos collectif du vendredi après-midi, loin des écrans.
Et si la lenteur n’était pas un frein, mais un levier ? Une sagesse ancienne que notre société moderne aurait simplement oubliée ? Entre urbanisation galopante et burn-out générationnel, le Maroc a peut-être une carte à jouer : celle d’un retour au temps long, au vrai lien humain, au silence qui guérit.
Or, des voix s’élèvent doucement. « J’ai tout arrêté pendant deux mois : téléphone, réunions, stress. Je suis partie à Chefchaouen méditer et apprendre à respirer », confie Salma, cadre supérieure dans une multinationale. Comme elle, de plus en plus de Marocains redécouvrent le besoin fondamental de ralentir.
Dans les médinas, des cafés sans Wi-Fi affichent « Ici, on parle ». À Essaouira, des retraites de silence attirent cadres et créateurs. À Ouarzazate, certains villages relancent le concept de la tbaraa, le repos collectif du vendredi après-midi, loin des écrans.
Et si la lenteur n’était pas un frein, mais un levier ? Une sagesse ancienne que notre société moderne aurait simplement oubliée ? Entre urbanisation galopante et burn-out générationnel, le Maroc a peut-être une carte à jouer : celle d’un retour au temps long, au vrai lien humain, au silence qui guérit.
Les signaux faibles du “slow life” marocain
Des écoles pilotes à Rabat et Marrakech testent des “journées sans écrans”.
Des startups proposent des “digital detox” dans les vallées de l’Ourika.
Des influenceurs prônent la productivité lente sur Instagram avec des hashtags comme #hana_wakha_bchwiya.
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