Cet événement, qui célèbre les voix créatives du continent, a débuté avec une conférence captivante animée par Ananda Devi, poétesse et anthropologue sociale originaire de l’île Maurice. L’auteure, dont plusieurs œuvres comme "Le Voile de Draupadi" ou "Ève sort de ses ruines" ont été traduites en arabe, a partagé avec le public son riche parcours littéraire et les thématiques profondes qui traversent ses écrits. Une entrée en matière qui donne le ton d’un festival placé sous le signe de la diversité culturelle et de l’échange intellectuel.
Quand l’imaginaire féminin redessine les contours du pouvoir
La première journée a également été marquée par une table ronde passionnante tenue au centre culturel français. Sous le thème "Quand l’imaginaire féminin redessine le monde", cette discussion a exploré le rôle des femmes dans la création d’un nouveau récit collectif. Najat Vallaud-Belkacem, ancienne ministre française d’origine marocaine, a rappelé combien les femmes ont été historiquement marginalisées dans les sphères de pouvoir, soulignant l’urgence de leur donner davantage de visibilité. Ananda Devi, quant à elle, a mis en lumière l’influence fondamentale des femmes et des populations marginalisées sur les sociétés, appelant à une réflexion plus inclusive dans les cercles politiques et culturels. Modératrice de la session, la journaliste Fatimata Wane a dénoncé le cloisonnement géographique des œuvres littéraires africaines et plaidé pour une meilleure circulation des idées et des récits à travers le continent.
Une édition tournée vers les femmes et les luttes anticoloniales
Avec plus de cinquante écrivains et artistes venus de vingt pays africains, cette édition met un accent particulier sur les voix féminines. Les débats abordent la place des femmes dans la création littéraire et artistique, tout en rendant hommage à des figures emblématiques comme Frantz Fanon, penseur martiniquais dont on célèbre le centenaire de la naissance. Le festival propose également des projections cinématographiques, des spectacles musicaux et des expositions artistiques, offrant ainsi une expérience culturelle riche et variée.
Une ambition : démocratiser la culture africaine
Créé par Mahi Binebine, Younès Ajraï, Hanan Saidi et Fatimata Wane, le festival vise à promouvoir la littérature africaine tout en démocratisant l’accès à la culture. Gratuit et ouvert à tous, il invite le public à participer à des cafés littéraires, séances de dédicaces et autres activités interactives. Parmi les temps forts, une exposition des œuvres de l’artiste haïtienne Marie-Denise Douyon et de la plasticienne marocaine Najia Mehadji enrichit encore davantage cette célébration artistique.
Quand l’imaginaire féminin redessine les contours du pouvoir
La première journée a également été marquée par une table ronde passionnante tenue au centre culturel français. Sous le thème "Quand l’imaginaire féminin redessine le monde", cette discussion a exploré le rôle des femmes dans la création d’un nouveau récit collectif. Najat Vallaud-Belkacem, ancienne ministre française d’origine marocaine, a rappelé combien les femmes ont été historiquement marginalisées dans les sphères de pouvoir, soulignant l’urgence de leur donner davantage de visibilité. Ananda Devi, quant à elle, a mis en lumière l’influence fondamentale des femmes et des populations marginalisées sur les sociétés, appelant à une réflexion plus inclusive dans les cercles politiques et culturels. Modératrice de la session, la journaliste Fatimata Wane a dénoncé le cloisonnement géographique des œuvres littéraires africaines et plaidé pour une meilleure circulation des idées et des récits à travers le continent.
Une édition tournée vers les femmes et les luttes anticoloniales
Avec plus de cinquante écrivains et artistes venus de vingt pays africains, cette édition met un accent particulier sur les voix féminines. Les débats abordent la place des femmes dans la création littéraire et artistique, tout en rendant hommage à des figures emblématiques comme Frantz Fanon, penseur martiniquais dont on célèbre le centenaire de la naissance. Le festival propose également des projections cinématographiques, des spectacles musicaux et des expositions artistiques, offrant ainsi une expérience culturelle riche et variée.
Une ambition : démocratiser la culture africaine
Créé par Mahi Binebine, Younès Ajraï, Hanan Saidi et Fatimata Wane, le festival vise à promouvoir la littérature africaine tout en démocratisant l’accès à la culture. Gratuit et ouvert à tous, il invite le public à participer à des cafés littéraires, séances de dédicaces et autres activités interactives. Parmi les temps forts, une exposition des œuvres de l’artiste haïtienne Marie-Denise Douyon et de la plasticienne marocaine Najia Mehadji enrichit encore davantage cette célébration artistique.