Cet homme de lettres, qui a consacré sa vie à l’art des mots et à la poésie, a marqué plusieurs générations par son talent et son dévouement à l’écriture créative. Son décès représente une perte immense pour la culture marocaine, laissant derrière lui un héritage littéraire riche et intemporel.
Né en 1946 à Casablanca, Mohamed Aniba Al Hamri a grandi dans une époque où le Maroc vivait de grandes transformations sociales et politiques. Ces bouleversements ont sans doute nourri son imaginaire et son engagement poétique. Après avoir obtenu une licence en lettres en 1969 à la Faculté des lettres et des sciences humaines de Fès, il a poursuivi sa formation à l’École normale supérieure de Rabat, où il a décroché un certificat d’aptitude pédagogique. En 1976, il a complété son parcours académique avec un diplôme d’études approfondies, témoignant de son amour pour le savoir et la littérature.
Dès la publication de son premier recueil en 1968, intitulé "L’amour, la farce des siècles", Mohamed Aniba Al Hamri s’est affirmé comme un poète singulier, fidèle à l’esprit de l’écriture créative. Ses œuvres, empreintes d’un style unique mêlant introspection et engagement, ont captivé les lecteurs marocains et au-delà. Parmi ses recueils les plus marquants figurent "Le Désir de Naviguer" (1973), "Épitaphe pour les Crucifiés" (1977), "La Maladie des Amants" (1987), "Frissons du Lieu" (1996) ou encore "Le Goût de ce Blanc" (2000). En 2019, il publiait "Tartaoui Banjiaê Alqassid", une œuvre qui lui a valu le prestigieux Prix du Maroc du Livre en 2020 dans la catégorie poésie.
En plus de ses talents de poète, Mohamed Aniba Al Hamri était également un critique littéraire respecté. Ses études et analyses ont enrichi le paysage intellectuel marocain, faisant de lui une figure incontournable de la littérature nationale. Après une carrière dans l’éducation nationale, il s’était retiré pour se consacrer pleinement à l’écriture.
Avec sa disparition, le Maroc perd une voix poétique lumineuse qui a su transcender les époques et les frontières. Son œuvre continuera d’inspirer et de guider les amoureux des lettres.
Né en 1946 à Casablanca, Mohamed Aniba Al Hamri a grandi dans une époque où le Maroc vivait de grandes transformations sociales et politiques. Ces bouleversements ont sans doute nourri son imaginaire et son engagement poétique. Après avoir obtenu une licence en lettres en 1969 à la Faculté des lettres et des sciences humaines de Fès, il a poursuivi sa formation à l’École normale supérieure de Rabat, où il a décroché un certificat d’aptitude pédagogique. En 1976, il a complété son parcours académique avec un diplôme d’études approfondies, témoignant de son amour pour le savoir et la littérature.
Dès la publication de son premier recueil en 1968, intitulé "L’amour, la farce des siècles", Mohamed Aniba Al Hamri s’est affirmé comme un poète singulier, fidèle à l’esprit de l’écriture créative. Ses œuvres, empreintes d’un style unique mêlant introspection et engagement, ont captivé les lecteurs marocains et au-delà. Parmi ses recueils les plus marquants figurent "Le Désir de Naviguer" (1973), "Épitaphe pour les Crucifiés" (1977), "La Maladie des Amants" (1987), "Frissons du Lieu" (1996) ou encore "Le Goût de ce Blanc" (2000). En 2019, il publiait "Tartaoui Banjiaê Alqassid", une œuvre qui lui a valu le prestigieux Prix du Maroc du Livre en 2020 dans la catégorie poésie.
En plus de ses talents de poète, Mohamed Aniba Al Hamri était également un critique littéraire respecté. Ses études et analyses ont enrichi le paysage intellectuel marocain, faisant de lui une figure incontournable de la littérature nationale. Après une carrière dans l’éducation nationale, il s’était retiré pour se consacrer pleinement à l’écriture.
Avec sa disparition, le Maroc perd une voix poétique lumineuse qui a su transcender les époques et les frontières. Son œuvre continuera d’inspirer et de guider les amoureux des lettres.