Pendant près de deux heures, la cérémonie promet un véritable spectacle, avec des performances d’artistes internationaux tels qu’Andrea Bocelli, Village People, Robbie Williams ou Nicole Scherzinger, animée par l’ancienne mannequin Heidi Klum et l’humoriste américain Kevin Hart. Mais l’invité de marque sera le président américain Donald Trump, revenu à la Maison Blanche en janvier et faisant de ce Mondial un événement central de son second mandat.
Malgré les tensions diplomatiques avec le Mexique et le Canada, Trump sera mis en avant lors de cette grand-messe, qui verra également l’attribution d’un Prix de la Paix de la FIFA en sa faveur, récompensant, selon Gianni Infantino, les efforts « d’individus qui unissent les gens et apportent l’espoir aux générations futures ».
Les co-organisateurs, Claudia Sheinbaum pour le Mexique et Mark Carney pour le Canada, assisteront à la cérémonie malgré les différends commerciaux, tandis qu’une délégation iranienne sera présente malgré les relations diplomatiques tendues avec les États-Unis.
Sur le plan sportif, le tirage définira les 12 groupes de quatre équipes, avec les 42 nations déjà qualifiées, rejointes en mars par six barragistes pour porter le total à 48 participants, une première dans l’histoire du Mondial. Les quatre meilleures nations au classement FIFA (Espagne, Argentine, France, Angleterre) seront réparties dans différentes parties du tableau afin de préserver l’équilibre sportif et éviter qu’elles ne s’affrontent avant les demi-finales si elles terminent premières de leur poule.
Les lieux et horaires des matches seront annoncés samedi, avec pour objectif de garantir des conditions optimales pour toutes les équipes et supporters, malgré les différents fuseaux horaires.