Et si le Maroc devenait le prochain boss du gaming en Afrique ? Ce n’est pas un rêve, mais bien l’ambition affichée par la deuxième édition du Morocco Gaming Expo, qui se tient du 2 au 6 juillet au Palais des Sports – Complexe Sportif Moulay Abdellah à Rabat. Entre conférences, tournois e-sport, ateliers et networking, l’événement est un véritable terrain de jeu pour les gamers, les développeurs et les investisseurs.
Une industrie en pleine expansion
Le gaming, c’est bien plus qu’un passe-temps. Aujourd’hui, c’est une industrie mondiale pesant près de 300 milliards de dollars, et qui pourrait atteindre 535 milliards d’ici 2033. Smartphones, consoles, PC… Le jeu vidéo est partout, et le Maroc ne compte pas rester sur la touche.
Organisé par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, le Morocco Gaming Expo 2025 s’inscrit dans une vision plus large : celle de faire du Royaume un hub stratégique du gaming en Afrique et dans la région MENA. Et pour cela, tous les moyens sont bons : partenariats internationaux, formations spécialisées et infrastructures ambitieuses comme la Rabat Gaming City, pensée comme un cluster d’innovation et de créativité.
Focus local : Rabat, capitale du gaming ?
Sur le terrain, le Maroc commence à poser ses pions. Avec des initiatives comme la Rabat Gaming City, le pays veut attirer les entreprises nationales et internationales, tout en créant des emplois et en valorisant les talents locaux.
Lors de l’ouverture du salon, le ministre Mohamed Mehdi Bensaid a rappelé que cette industrie est un levier économique et culturel pour le Maroc. Il a également souligné l’importance d’intégrer le patrimoine marocain dans les jeux vidéo : “De nos légendes à notre musique traditionnelle, notre culture peut séduire un public international.”
Et ce n’est pas tout : grâce à un partenariat avec ISART Digital, une école de renommée mondiale dans la création de jeux vidéo, les jeunes Marocains auront bientôt accès à des formations de pointe en design, programmation et arts numériques.
Pour les visiteurs, le salon propose une immersion totale dans l’univers du gaming : tournois e-sport, démonstrations des dernières innovations technologiques, ateliers animés par des experts internationaux… Bref, une vraie fête pour les passionnés.
Un soutien de taille : Yoshiki Okamoto
Invité d’honneur de cette édition, le légendaire Yoshiki Okamoto, créateur de Street Fighter II et de Resident Evil, n’a pas caché son enthousiasme pour le potentiel marocain. Lors de son discours, il a comparé la situation actuelle du Maroc à celle du Japon des années 80 :
Une industrie en pleine expansion
Le gaming, c’est bien plus qu’un passe-temps. Aujourd’hui, c’est une industrie mondiale pesant près de 300 milliards de dollars, et qui pourrait atteindre 535 milliards d’ici 2033. Smartphones, consoles, PC… Le jeu vidéo est partout, et le Maroc ne compte pas rester sur la touche.
Organisé par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, le Morocco Gaming Expo 2025 s’inscrit dans une vision plus large : celle de faire du Royaume un hub stratégique du gaming en Afrique et dans la région MENA. Et pour cela, tous les moyens sont bons : partenariats internationaux, formations spécialisées et infrastructures ambitieuses comme la Rabat Gaming City, pensée comme un cluster d’innovation et de créativité.
Focus local : Rabat, capitale du gaming ?
Sur le terrain, le Maroc commence à poser ses pions. Avec des initiatives comme la Rabat Gaming City, le pays veut attirer les entreprises nationales et internationales, tout en créant des emplois et en valorisant les talents locaux.
Lors de l’ouverture du salon, le ministre Mohamed Mehdi Bensaid a rappelé que cette industrie est un levier économique et culturel pour le Maroc. Il a également souligné l’importance d’intégrer le patrimoine marocain dans les jeux vidéo : “De nos légendes à notre musique traditionnelle, notre culture peut séduire un public international.”
Et ce n’est pas tout : grâce à un partenariat avec ISART Digital, une école de renommée mondiale dans la création de jeux vidéo, les jeunes Marocains auront bientôt accès à des formations de pointe en design, programmation et arts numériques.
Pour les visiteurs, le salon propose une immersion totale dans l’univers du gaming : tournois e-sport, démonstrations des dernières innovations technologiques, ateliers animés par des experts internationaux… Bref, une vraie fête pour les passionnés.
Un soutien de taille : Yoshiki Okamoto
Invité d’honneur de cette édition, le légendaire Yoshiki Okamoto, créateur de Street Fighter II et de Resident Evil, n’a pas caché son enthousiasme pour le potentiel marocain. Lors de son discours, il a comparé la situation actuelle du Maroc à celle du Japon des années 80 :
“À l’époque, nous n’avions pas beaucoup de moyens, mais nous avions des idées. Aujourd’hui, la jeunesse marocaine a tout pour réussir : le talent, le courage et la volonté d’innover.”
Son conseil aux jeunes développeurs marocains ? “Shootez, même si vous ratez. Sans tentative, pas de succès.” Une philosophie qui résonne particulièrement dans un pays où la jeunesse représente une force créative immense.
Un game changer pour le Maroc ?
Avec le Morocco Gaming Expo, le Royaume confirme ses ambitions dans un secteur en plein boom. Mais au-delà des chiffres et des infrastructures, cet événement met en lumière une vérité essentielle : le gaming, c’est aussi une affaire de passion, de créativité et de partage.