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Le livre TAKAMOUL : Innovation et inclusion économique propose une vision ambitieuse pour un Maroc plus inclusif et solidaire.
Il s'inscrit dans un contexte stratégique, où le pays, en pleine transformation à travers des réformes économiques et des événements majeurs comme la Coupe du Monde 2030, se voit confronté à un défi majeur : l'intégration des jeunes, particulièrement ceux en situation de chômage ou en dehors du circuit éducatif et professionnel (les jeunes NEET).
Le projet TAKAMOUL cherche à répondre à ce défi en valorisant les métiers locaux, en modernisant l'économie informelle et en dynamisant les territoires. Il repose sur plusieurs piliers : la complémentarité des générations (seniors porteurs de savoir-faire et jeunes formés au numérique), la transmission de compétences intergénérationnelles, ainsi que l'inclusion des secteurs informels dans le circuit économique formel. Les Unités de Production Informelles (UPI) jouent un rôle central dans ce modèle, car elles sont omniprésentes dans le tissu économique du pays mais souvent négligées.
Le modèle prône une approche territorialisée, visant à structurer des écosystèmes locaux capables de générer des emplois durables et de renforcer la souveraineté productive. Parallèlement, l'économie circulaire est mise en avant comme un levier stratégique pour la création d'emplois, la réduction des importations et la valorisation des ressources locales.
Enfin, TAKAMOUL s'inspire de modèles réussis comme ceux de SONASID et JABALYATES, démontrant que la structuration des métiers traditionnels et la modernisation des UPI peuvent générer un impact social et économique massif. Il s'agit ainsi d'une réponse globale pour réduire le chômage et renforcer l'économie marocaine à la base, dans un cadre de développement inclusif et durable.
Le projet TAKAMOUL cherche à répondre à ce défi en valorisant les métiers locaux, en modernisant l'économie informelle et en dynamisant les territoires. Il repose sur plusieurs piliers : la complémentarité des générations (seniors porteurs de savoir-faire et jeunes formés au numérique), la transmission de compétences intergénérationnelles, ainsi que l'inclusion des secteurs informels dans le circuit économique formel. Les Unités de Production Informelles (UPI) jouent un rôle central dans ce modèle, car elles sont omniprésentes dans le tissu économique du pays mais souvent négligées.
Le modèle prône une approche territorialisée, visant à structurer des écosystèmes locaux capables de générer des emplois durables et de renforcer la souveraineté productive. Parallèlement, l'économie circulaire est mise en avant comme un levier stratégique pour la création d'emplois, la réduction des importations et la valorisation des ressources locales.
Enfin, TAKAMOUL s'inspire de modèles réussis comme ceux de SONASID et JABALYATES, démontrant que la structuration des métiers traditionnels et la modernisation des UPI peuvent générer un impact social et économique massif. Il s'agit ainsi d'une réponse globale pour réduire le chômage et renforcer l'économie marocaine à la base, dans un cadre de développement inclusif et durable.
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Débat - Podcast : les chroniqueurs de la Web Radio débattent des idées contenues dans ce livre à travers ses questions :
Débat sur les défis, auxquels TAKAMOUL apporte des solutions, sont principalement axés sur la fracture socio-économique et l'intégration de la jeunesse et de l'économie informelle,,.
Le modèle TAKAMOUL propose de répondre aux problèmes structurels du Maroc par les 14 recommandations finales suivantes, qui représentent les actions concrètes (les réponses) pour un développement inclusif, :
1. Créer un Programme National “TAKAMOUL – Économie de Proximité” qui sera transversal et impliquera l'État, les Régions, la FMJE, l'UGEP et l'OFPPT/CMC.
2. Créer un “Haut-Comité des Métiers et de l’Économie de Proximité” pour piloter le programme et coordonner les acteurs.
3. Territorialiser les politiques de l’emploi, en faisant des Régions les chefs d'orchestre, notamment pour la cartographie des métiers locaux et le financement des ateliers.
4. Instituer un réseau national d’Écosystèmes TAKAMOUL (visant 200 écosystèmes d’ici 2030), structuré autour d’un pôle FMJE (accompagnement), d’un pôle CMC (formation), d’un pôle UGEP (organisation métier) et de pôles de production/transmission,.
5. Structurer les métiers dans le cadre de l’UGEP, en la mandatant pour organiser les métiers, créer des fédérations sectorielles, normaliser les pratiques et encadrer les artisans seniors,.
6. Réformer la formation professionnelle pour intégrer les métiers UPI (Unités de Production Informelles), en incluant dans les cursus des CMC les métiers artisanaux, circulaires, du bâtiment, de la réparation, et en créant des parcours courts de 3 à 6 mois,.
7. Créer un Fonds National “TAKAMOUL – Métiers et UPI” dédié au financement de la modernisation des ateliers, des équipements légers, des coopératives et de la formation courte.
8. Formaliser progressivement les UPI grâce à des outils simples (auto-entrepreneuriat, coopératives, GIE, licences) de manière progressive et accompagnée, et non répressive,.
9. Mettre en place un système national de certification des compétences, piloté par les CMC, l'UGEP et la FMJE, pour donner à chaque jeune une certification métier reconnue.
10. Développer les filières territoriales à haute valeur ajoutée, en priorisant les Plantes Aromatiques et Médicinales (PAM)/Cosmétiques naturels, le Recyclage, le Bâtiment et la Pêche artisanale,.
11. Soutenir massivement les coopératives féminines (objectif de 3 000 coopératives structurées), notamment dans les domaines des PAM, de la cosmétique, du tissage et de l'agro-transformation.
12. Créer une plateforme digitale TAKAMOUL comprenant un annuaire national des UPI, une plateforme de formation en ligne et une marketplace des produits locaux.
13. Mettre en place des indicateurs nationaux obligatoires basés sur l'insertion, la modernisation des UPI, les filières créées, les revenus et l'autosuffisance locale.
14. Déployer TAKAMOUL dans toute l’Afrique, en proposant une assistance technique, de la formation et l'expertise FMJE/UGEP comme modèle de coopération Sud–Sud,.
L'objectif global de ces actions est d'unifier le progrès et de mettre fin à la rupture entre le "Maroc moderne" et le "Maroc profond",.
Le modèle TAKAMOUL propose de répondre aux problèmes structurels du Maroc par les 14 recommandations finales suivantes, qui représentent les actions concrètes (les réponses) pour un développement inclusif, :
1. Créer un Programme National “TAKAMOUL – Économie de Proximité” qui sera transversal et impliquera l'État, les Régions, la FMJE, l'UGEP et l'OFPPT/CMC.
2. Créer un “Haut-Comité des Métiers et de l’Économie de Proximité” pour piloter le programme et coordonner les acteurs.
3. Territorialiser les politiques de l’emploi, en faisant des Régions les chefs d'orchestre, notamment pour la cartographie des métiers locaux et le financement des ateliers.
4. Instituer un réseau national d’Écosystèmes TAKAMOUL (visant 200 écosystèmes d’ici 2030), structuré autour d’un pôle FMJE (accompagnement), d’un pôle CMC (formation), d’un pôle UGEP (organisation métier) et de pôles de production/transmission,.
5. Structurer les métiers dans le cadre de l’UGEP, en la mandatant pour organiser les métiers, créer des fédérations sectorielles, normaliser les pratiques et encadrer les artisans seniors,.
6. Réformer la formation professionnelle pour intégrer les métiers UPI (Unités de Production Informelles), en incluant dans les cursus des CMC les métiers artisanaux, circulaires, du bâtiment, de la réparation, et en créant des parcours courts de 3 à 6 mois,.
7. Créer un Fonds National “TAKAMOUL – Métiers et UPI” dédié au financement de la modernisation des ateliers, des équipements légers, des coopératives et de la formation courte.
8. Formaliser progressivement les UPI grâce à des outils simples (auto-entrepreneuriat, coopératives, GIE, licences) de manière progressive et accompagnée, et non répressive,.
9. Mettre en place un système national de certification des compétences, piloté par les CMC, l'UGEP et la FMJE, pour donner à chaque jeune une certification métier reconnue.
10. Développer les filières territoriales à haute valeur ajoutée, en priorisant les Plantes Aromatiques et Médicinales (PAM)/Cosmétiques naturels, le Recyclage, le Bâtiment et la Pêche artisanale,.
11. Soutenir massivement les coopératives féminines (objectif de 3 000 coopératives structurées), notamment dans les domaines des PAM, de la cosmétique, du tissage et de l'agro-transformation.
12. Créer une plateforme digitale TAKAMOUL comprenant un annuaire national des UPI, une plateforme de formation en ligne et une marketplace des produits locaux.
13. Mettre en place des indicateurs nationaux obligatoires basés sur l'insertion, la modernisation des UPI, les filières créées, les revenus et l'autosuffisance locale.
14. Déployer TAKAMOUL dans toute l’Afrique, en proposant une assistance technique, de la formation et l'expertise FMJE/UGEP comme modèle de coopération Sud–Sud,.
L'objectif global de ces actions est d'unifier le progrès et de mettre fin à la rupture entre le "Maroc moderne" et le "Maroc profond",.
Whi is Mouncef Kettani, Saida Mawahib, Abdellah Mehrez et Kenza Tounssi
Les auteurs du projet TAKAMOUL sont des personnalités engagées dans la réflexion et la mise en œuvre de cette vision nationale inclusive et innovante. Le comité de rédaction est constitué de professionnels et d'experts ayant une longue expérience dans le domaine de l'économie, de l'insertion sociale et du développement territorial.
Mouncef Kettani : Un expert reconnu dans les domaines du développement territorial, de la stratégie économique et de la politique publique. Il est fortement impliqué dans des initiatives visant à favoriser l'inclusion sociale et économique, notamment pour les jeunes et les populations défavorisées. Sa vision s'inspire des grandes réformes en cours et de l'évolution de l'économie marocaine. Saida Mawahib : Une professionnelle spécialisée dans la gestion de projets économiques et sociaux. Elle a consacré une grande partie de sa carrière à la promotion de l'entrepreneuriat local et de la formation professionnelle, notamment dans les secteurs informels. Sa démarche se concentre sur la création d'opportunités économiques pour les jeunes, en particulier ceux en situation de précarité.
Abdellah Mehrez : Expert en économie sociale et solidaire, Abdellah a travaillé sur plusieurs projets de transformation sociale et d'accompagnement des acteurs de l'économie locale. Il est un défenseur des politiques qui favorisent une croissance inclusive, notamment à travers la modernisation des métiers traditionnels et l'intégration des jeunes dans des initiatives productives.
Kenza Tounssi : Spécialiste en développement durable et en économie circulaire, Kenza Tounssi a une expertise particulière dans l'accompagnement des entreprises locales pour les aider à s'intégrer dans des filières économiquement et socialement durables. Elle joue un rôle clé dans la structuration des systèmes de production locaux et dans l'encouragement de la transition vers des modèles de développement plus responsables et plus respectueux de l'environnement.
Ces auteurs se sont réunis autour de l'idée de proposer un modèle économique pour le Maroc qui soit à la fois durable, inclusif et fondé sur une forte mobilisation des ressources locales et humaines. Ils partagent l'ambition de réduire les inégalités sociales et territoriales tout en valorisant l'immense potentiel du Maroc dans des secteurs comme l'artisanat, l'agriculture familiale, et les métiers traditionnels.
Mouncef Kettani : Un expert reconnu dans les domaines du développement territorial, de la stratégie économique et de la politique publique. Il est fortement impliqué dans des initiatives visant à favoriser l'inclusion sociale et économique, notamment pour les jeunes et les populations défavorisées. Sa vision s'inspire des grandes réformes en cours et de l'évolution de l'économie marocaine. Saida Mawahib : Une professionnelle spécialisée dans la gestion de projets économiques et sociaux. Elle a consacré une grande partie de sa carrière à la promotion de l'entrepreneuriat local et de la formation professionnelle, notamment dans les secteurs informels. Sa démarche se concentre sur la création d'opportunités économiques pour les jeunes, en particulier ceux en situation de précarité.
Abdellah Mehrez : Expert en économie sociale et solidaire, Abdellah a travaillé sur plusieurs projets de transformation sociale et d'accompagnement des acteurs de l'économie locale. Il est un défenseur des politiques qui favorisent une croissance inclusive, notamment à travers la modernisation des métiers traditionnels et l'intégration des jeunes dans des initiatives productives.
Kenza Tounssi : Spécialiste en développement durable et en économie circulaire, Kenza Tounssi a une expertise particulière dans l'accompagnement des entreprises locales pour les aider à s'intégrer dans des filières économiquement et socialement durables. Elle joue un rôle clé dans la structuration des systèmes de production locaux et dans l'encouragement de la transition vers des modèles de développement plus responsables et plus respectueux de l'environnement.
Ces auteurs se sont réunis autour de l'idée de proposer un modèle économique pour le Maroc qui soit à la fois durable, inclusif et fondé sur une forte mobilisation des ressources locales et humaines. Ils partagent l'ambition de réduire les inégalités sociales et territoriales tout en valorisant l'immense potentiel du Maroc dans des secteurs comme l'artisanat, l'agriculture familiale, et les métiers traditionnels.