Selon les informations publiées, cette campagne aurait pour objectif de soigner l’image publique du joueur, d’amplifier sa visibilité médiatique et d’influencer subtilement les votants. Une pratique qui, si elle est confirmée, questionne la neutralité de ce prix, censé récompenser exclusivement les performances sportives.
À l’inverse, Achraf Hakimi se distingue par un parcours fondé sur la régularité et l’exemplarité. Pilier du Paris Saint-Germain, finaliste de la Ligue des champions et figure centrale des Lions de l’Atlas, le latéral marocain bénéficie d’un soutien massif au Maroc et au-delà, sans recours à des campagnes médiatiques artificielles.
Le contraste est net : d’un côté, certains candidats misent sur le lobbying et la communication, de l’autre, Hakimi voit son nom circuler grâce à ses performances et son impact réel sur le terrain. Alors que le vote approche, cette polémique pourrait renforcer sa position, faisant de lui le symbole d’un Ballon d’Or basé sur le mérite et le jeu, loin des coulisses obscures.