Diversification des sources : Une opportunité massive pour l'export marocain d'électricité verte.
Imaginez un câble géant sous la mer reliant nos barrages solaires à Lisbonne : c'est exactement ce que propose le Portugal. Selon des sources officielles portugaises, ce projet de connexion directe au réseau marocain vise à importer de l'électricité verte, comme le solaire de Ouarzazate ou l'éolien de Tarfaya. Ça s'inscrit dans une stratégie post-crise énergétique européenne, où le Portugal veut réduire sa dépendance au gaz russe ou aux imports instables. Le projet est en phase d'étude, avec des négociations techniques en cours entre les deux pays, et pourrait voir le jour d'ici 2027 si les accords sont signés.
Globalement, c'est un game-changer pour l'énergie en Europe-Afrique : ça promeut les renouvelables et renforce les interconnexions, un peu comme un "super tram" électrique transcontinental. Pour nous au Maroc, wach c'est bzzaf excitant ! On exporte déjà de l'énergie vers l'Espagne, et ça pourrait booster nos revenus avec des milliards de dirhams en plus. Pensez à l'impact sur l'emploi : plus de jobs dans les centrales solaires pour les jeunes ingénieurs de Casa ou Rabat. Ça touche aussi notre diplomatie, renforçant les liens avec l'UE après les accords de pêche ou agricoles, et positionne le Maroc comme leader vert en Afrique. Pour la diaspora MRE en Portugal (plus de 50.000), c'est une fierté et potentiellement des prix d'électricité plus bas là-bas.
Le Maroc a multiplié ses capacités renouvelables depuis 2010, avec des projets comme Noor Ouarzazate produisant des gigawatts. En 2022, la crise ukrainienne a poussé l'Europe à chercher des alternatives, et 2025 marque cette proposition portugaise pour une connexion dédiée, inspirée de liens existants avec l'Espagne.
Sur X, #EnergieMaroc buzz avec des memes sur "le Maroc qui allume l'Europe", et des experts comme ceux de l'ONEE saluent l'opportunité. Pas de citation officielle immédiate, mais des médias portugais rapportent l'enthousiasme du gouvernement. Les marchés de l'énergie ont vu une légère hausse des actions renouvelables, et des ONG écolos applaudissent ce pas anti-carbone.
À court terme, ça pourrait signifier des contrats immédiats et une hausse des investissements étrangers dans nos grids. À moyen terme, on diversifie nos exports au-delà des phosphates ou autos, créant des milliers d'emplois tech pour la jeunesse. Ça aide aussi contre les hausses de prix énergie locales, en stabilisant notre réseau.
Globalement, c'est un game-changer pour l'énergie en Europe-Afrique : ça promeut les renouvelables et renforce les interconnexions, un peu comme un "super tram" électrique transcontinental. Pour nous au Maroc, wach c'est bzzaf excitant ! On exporte déjà de l'énergie vers l'Espagne, et ça pourrait booster nos revenus avec des milliards de dirhams en plus. Pensez à l'impact sur l'emploi : plus de jobs dans les centrales solaires pour les jeunes ingénieurs de Casa ou Rabat. Ça touche aussi notre diplomatie, renforçant les liens avec l'UE après les accords de pêche ou agricoles, et positionne le Maroc comme leader vert en Afrique. Pour la diaspora MRE en Portugal (plus de 50.000), c'est une fierté et potentiellement des prix d'électricité plus bas là-bas.
Le Maroc a multiplié ses capacités renouvelables depuis 2010, avec des projets comme Noor Ouarzazate produisant des gigawatts. En 2022, la crise ukrainienne a poussé l'Europe à chercher des alternatives, et 2025 marque cette proposition portugaise pour une connexion dédiée, inspirée de liens existants avec l'Espagne.
Sur X, #EnergieMaroc buzz avec des memes sur "le Maroc qui allume l'Europe", et des experts comme ceux de l'ONEE saluent l'opportunité. Pas de citation officielle immédiate, mais des médias portugais rapportent l'enthousiasme du gouvernement. Les marchés de l'énergie ont vu une légère hausse des actions renouvelables, et des ONG écolos applaudissent ce pas anti-carbone.
À court terme, ça pourrait signifier des contrats immédiats et une hausse des investissements étrangers dans nos grids. À moyen terme, on diversifie nos exports au-delà des phosphates ou autos, créant des milliers d'emplois tech pour la jeunesse. Ça aide aussi contre les hausses de prix énergie locales, en stabilisant notre réseau.