Une parole sans détour : Nizar Baraka, la politique de la vérité
Dans ses différentes interventions télévisées, Nizar Baraka, Secrétaire général du Parti de l’Istiqlal, a incarné cette parole directe et réfléchie que beaucoup de Marocains attendaient. Son ton n’était ni celui du responsable qui se défend, ni celui du technocrate qui justifie, mais celui d’un acteur politique conscient de la gravité du moment et de la nécessité d’un dialogue sincère avec la jeunesse.
Baraka a reconnu sans détour les limites des politiques publiques, notamment en matière d’éducation, d’emploi et d’équité territoriale. Il a souligné que le pays vit une phase cruciale où les attentes dépassent les moyens, mais où la volonté politique peut changer la donne.
« Le Maroc ne manque ni d’idées ni d’énergie, a-t-il affirmé, il a besoin de confiance. Et cette confiance doit se reconstruire à travers l’écoute, la transparence et des résultats concrets. »
Son propos a marqué par sa lucidité : le Maroc ne peut réussir sa transition économique et sociale sans mobiliser sa jeunesse, non comme spectatrice d’un système figé, mais comme partenaire du changement.
Baraka a également insisté sur un point essentiel : la réhabilitation du rôle des partis politiques comme espaces d’encadrement, de débat et de formation citoyenne. Pour lui, il n’y a pas d’alternative à la politique organisée :
« Le rejet du politique, c’est le rejet de la solution. Si les jeunes veulent transformer les choses, qu’ils investissent la politique, qu’ils y portent leur parole et leur ambition. »
Ce discours, empreint de réalisme et de conviction, a résonné comme un appel à la refondation du lien politique : un lien basé sur la reconnaissance des erreurs, la recherche collective de solutions et la mise en œuvre de politiques publiques plus équitables.
Baraka a reconnu sans détour les limites des politiques publiques, notamment en matière d’éducation, d’emploi et d’équité territoriale. Il a souligné que le pays vit une phase cruciale où les attentes dépassent les moyens, mais où la volonté politique peut changer la donne.
« Le Maroc ne manque ni d’idées ni d’énergie, a-t-il affirmé, il a besoin de confiance. Et cette confiance doit se reconstruire à travers l’écoute, la transparence et des résultats concrets. »
Son propos a marqué par sa lucidité : le Maroc ne peut réussir sa transition économique et sociale sans mobiliser sa jeunesse, non comme spectatrice d’un système figé, mais comme partenaire du changement.
Baraka a également insisté sur un point essentiel : la réhabilitation du rôle des partis politiques comme espaces d’encadrement, de débat et de formation citoyenne. Pour lui, il n’y a pas d’alternative à la politique organisée :
« Le rejet du politique, c’est le rejet de la solution. Si les jeunes veulent transformer les choses, qu’ils investissent la politique, qu’ils y portent leur parole et leur ambition. »
Ce discours, empreint de réalisme et de conviction, a résonné comme un appel à la refondation du lien politique : un lien basé sur la reconnaissance des erreurs, la recherche collective de solutions et la mise en œuvre de politiques publiques plus équitables.
Ryad Mezzour : un ton nouveau pour une économie de la confiance
Dans un podcast largement suivi, Ryad Mezzour, ministre de l’Industrie et du Commerce et membre éminent du parti, a offert une autre facette de cette ouverture istiqlalienne. Sans protocole ni jargon, il a abordé les réalités du marché du travail, les contraintes de la compétitivité et les défis de la réindustrialisation nationale.
Son message central : le Maroc doit miser sur ses jeunes talents. Mezzour a plaidé pour une industrie « inclusive, territoriale et humaine », capable de créer des opportunités d’emploi qualifié dans toutes les régions. Son ton spontané, mais rigoureux, a permis de réconcilier le discours économique avec la réalité sociale, en rappelant que le développement industriel n’a de sens que s’il profite à la jeunesse marocaine.
Son message central : le Maroc doit miser sur ses jeunes talents. Mezzour a plaidé pour une industrie « inclusive, territoriale et humaine », capable de créer des opportunités d’emploi qualifié dans toutes les régions. Son ton spontané, mais rigoureux, a permis de réconcilier le discours économique avec la réalité sociale, en rappelant que le développement industriel n’a de sens que s’il profite à la jeunesse marocaine.
Abdeljabbar Rachidi : le dialogue institutionnel au service de la jeunesse
Abdeljabbar Rachidi, Président du Conseil national du Parti de l’Istiqlal et Secrétaire d’État auprès de la Ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, chargé de l’intégration sociale, a apporté une contribution d’une grande clarté à ce débat national. Dans ses interventions médiatiques, il a mis en avant la nécessité pour les institutions politiques, et particulièrement les partis, d’ouvrir leurs structures et leurs instances à la jeunesse.
Rachidi a souligné que le Maroc traverse une phase où l’écoute ne suffit plus : il faut des mécanismes concrets de participation, permettant aux jeunes de traduire leurs revendications en propositions politiques. Il a plaidé pour une gouvernance d’ouverture, où les jeunes, au lieu de se sentir exclus du processus décisionnel, deviendraient des acteurs directs du changement.
« Ce n’est pas la rue qui doit remplacer la politique, a-t-il rappelé, c’est la politique qui doit retrouver la rue — dans son sens le plus noble, celui du lien vivant avec les citoyens. »
Cette position, empreinte de responsabilité et de respect, s’inscrit dans la continuité d’une tradition istiqlalienne qui a toujours cherché à ancrer le débat politique dans la réalité sociale du pays, tout en faisant de la jeunesse un levier de modernisation et d’équilibre démocratique.
Rachidi a souligné que le Maroc traverse une phase où l’écoute ne suffit plus : il faut des mécanismes concrets de participation, permettant aux jeunes de traduire leurs revendications en propositions politiques. Il a plaidé pour une gouvernance d’ouverture, où les jeunes, au lieu de se sentir exclus du processus décisionnel, deviendraient des acteurs directs du changement.
« Ce n’est pas la rue qui doit remplacer la politique, a-t-il rappelé, c’est la politique qui doit retrouver la rue — dans son sens le plus noble, celui du lien vivant avec les citoyens. »
Cette position, empreinte de responsabilité et de respect, s’inscrit dans la continuité d’une tradition istiqlalienne qui a toujours cherché à ancrer le débat politique dans la réalité sociale du pays, tout en faisant de la jeunesse un levier de modernisation et d’équilibre démocratique.
Vers une nouvelle pédagogie de l’écoute et de l’action
L’ensemble de ces prises de parole dessine les contours d’une nouvelle pédagogie politique. Le Parti de l’Istiqlal choisit de ne plus parler « pour expliquer », mais de parler pour comprendre. Cette méthode, profondément istiqlalienne dans son esprit, repose sur trois piliers :
L’écoute active des citoyens, surtout des jeunes, à travers des formats modernes et accessibles. La reconnaissance du réel, sans déni ni triomphalisme, en assumant les difficultés et les lenteurs du changement. L’engagement collectif pour transformer la colère en solutions institutionnelles concrètes. Le courage de dire la vérité
À travers les voix de Nizar Baraka, Ryad Mezzour et Abdeljabbar Rachidi, le Parti de l’Istiqlal démontre qu’il est possible de faire de la politique autrement : sans arrogance, sans slogans creux, mais avec le courage de dire la vérité et de bâtir la confiance.
Ce moment de lucidité politique n’est pas un exercice de communication, mais une tentative sincère de refonder le dialogue entre les institutions et la jeunesse.
Car l’avenir du Maroc dépend moins de la gestion du présent que de la capacité à partager la responsabilité du futur. Et sur ce terrain, le Parti de l’Istiqlal semble avoir choisi sa voie : celle de la franchise, de l’écoute et de l’action.
Ce moment de lucidité politique n’est pas un exercice de communication, mais une tentative sincère de refonder le dialogue entre les institutions et la jeunesse.
Car l’avenir du Maroc dépend moins de la gestion du présent que de la capacité à partager la responsabilité du futur. Et sur ce terrain, le Parti de l’Istiqlal semble avoir choisi sa voie : celle de la franchise, de l’écoute et de l’action.